Masque de plongée

larges et abondantes. Je constate la complémentarité dans la discussion. A ce moment précis, je sens alors le compas devenir symbole d’ouverture de l’esprit, de la compréhension et de l’entendue de la connaissance. Le silence, dans lequel je suis plongée, ne m’a-t-il pas aidé à m’exprimer à travers ces trois vertus ? J’ai appris à ouvrir mon esprit sur un monde initiatique dont j’ignorais tout. J’ai appris, toujours dans le silence, à comprendre l’autre et j’ai pu mesurer l’étendue de ma connaissance

femmes soumises à la tentation du péché et invite sa fille à une « extrême défiance de soi-même ». Mme de Chartres se consacre ainsi à un enseignement complet et très habile car elle ne cache pas à sa fille les malheurs à être infidèle mais elle ne lui masque pas non plus ce qu'il peut y avoir « d'agréable ». Tout cela pour la « persuader » de choisir la vertu en pesant le bonheur face au malheur. III. Un portrait annonciateur d'un destin tragique A. Une arrivée remarquée à la cour présageant un destin

scène, on distingue plusieurs plans, le premier se situe dans le milieu de l’image, le second est proche de nous et enfin le dernier plan apparaît comme le plus éloigné de notre regard. Au premier plan, on aperçoit un miroir dans lequel se trouve un masque blanc sans expression et ses mains posées à plat contre la vitre en verre du miroir. Au second plan, on peut apercevoir une bulle flottant dans l’air, dans laquelle une personne apparaît enfermée, une main contre la paroi sans que la bulle n’éclate

 "[1] Mais, il est exposé au jugement de son jeune fils qui a volé ses lettres privées, envoyées par une maîtresse. Son épouse, Pauline Molinier, est faible face aux enfants, elle est trop protectrice, a trop peur de perdre leur confiance. Elle masque les fautes de son mari pour sauver son prestige paternel aux yeux des enfants. Mais elle reste seule, sans l’autorité de son mari dont les enfants ont besoin. C’est pour cela que ses enfants, à leur tour, lui échappent. Leur fils ainé, Vincent

verticale qui s’oppose aux nombreuses lignes obliques et horizontales de la composition et qui introduit la aussi une idée de symétrie. Enfin, l’arrière-plan est composé par d’autres bâtiments plus éloignés. George Grosz a choisi un point de vue en plongée pour montrer une vision panoramique de la ville, accentuant ainsi son étendue. En somme, les compositions de ces deux œuvres sont différentes mais toutes les deux hiérarchisées selon une notion d’éloignement et demandent donc au spectateur une lecture

père de notre théâtre, Eschyle est loin de nous dans le temps mais notre culture est fille de la sienne. Notre morale, notre regard sur le monde, nos lois sont issus du travail des génies du monde helléniste. On peut donc définir l’Orestie comme une plongée dans nos racines, une explication de l’origine de notre monde contemporain. La raison pour laquelle on joue cette pièce depuis 2500 ans, est que l’on ressent toujours la même stupéfaction à voir que « le miroir placé devant le visage de L’Homme

soumises à la tentation du péché et invite sa fille à une « extrême défiance de soi-même ». Mme de Chartres se consacre ainsi à un enseignement complet et très habile car elle ne cache pas à sa fille les malheurs à être infidèle mais elle ne lui masque pas non plus ce qu'il peut y avoir « d'agréable ». Tout cela pour la « persuader » de choisir la vertu en pesant le bonheur face au malheur. III. Un portrait annonciateur d'un destin tragique En dépit de cette perfection qu'incarne Mlle de

lecteur. Le dessin semble être là pour à la fois mettre un peu de distance entre nous et d'effroyables événements mais aussi pour nous y attirer. Art Spiegelman utilise aussi différentes vues pour faire réagir le lecteur comme celle encontre plongée pour donner un air menaçant et dominateur au nazi, par rapport au juifs rentrant toujours dans l'opposition chat/souris ainsi que des quadrillages pour donner un effet de «prison» lors des passages ou les juifs apparaissent dans le récit marquant

ravin, le vertige est alors souligné par la surprise de Harker découvrant le vide par la fenêtre de la calèche ainsi que par un plan en plongée parfaite ; le château du comte est situé sur une corniche semblant prête à s'effondrer ; Harker surprendra le comte a marcher tel une araignée sur les murs verticaux du château, verticalité alors soulignée par un plan en plongée très accentuée. Le personnage de Dracula inquiète également à cause de son apparence : il est présenté comme un vieil homme à la peau

soumises à la tentation du péché et invite sa fille à une « extrême défiance de soi-même ». Mme de Chartres se consacre ainsi à un enseignement complet et très habile car elle ne cache pas à sa fille les malheurs à être infidèle mais elle ne lui masque pas non plus ce qu'il peut y avoir « d'agréable ». Tout cela pour la « persuader » de choisir la vertu en pesant le bonheur face au malheur. III. Un portrait annonciateur d'un destin tragique En dépit de cette perfection qu'incarne Mlle de Chartres