Marxisme Capitalisme

répartition équitable des ressources, la solidarité, la lutte contre l'individualisme, l'intérêt général prévalant sur les intérêts particuliers...Dans la théorie politique marxiste, le socialisme est la période de transition entre l'abolition du capitalisme et l'avènement du communisme avec la disparition de l'Etat. Pendant cette période, la "dictature du prolétariat" s'exerce par l’intermédiaire de l'Etat sur l'ensemble de la société.Chez les non marxistes, le socialisme est la dénomination générale

disciples à tendre l’autre joue ? Quant aux enfants de Dieu, ils considèrent le communisme au mieux comme absurde sinon comme une diablerie. En effet, l’Eglise a affirmé dès la fin du XIXème siècle, que l’égalité par la lutte des classes, objectif du marxisme, est une aberration. Il suffit en effet de mesurer la taille des doigts de la main pour s’apercevoir que l’égalité n’est pas de ce monde. De plus, parce qu’il prêche la violence comme moteur de la révolution s’appuyant sur la dictature du prolétariat

reformiste qu'on appelle aussi revisionniste. D'apres Eduard Bernstein il vaudrait mieux faire des reformes plutot que du reformisme afin d'avancer,ainsi il propose une révision fondamentale du marxisme : le révisionnisme. Selon lui, le schéma marxiste des évolutions des sociétés est infirmé par les faits, le capitalisme ne va pas succomber car il a trouvé depuis la grande dépression les moyens de limiter les crises conjoncturelles, car la hausse du niveau de vie contredit la thèse de la paupérisation de

stérilisation des couples ne pouvant répondre à leurs besoins financiers. C- Le Marxisme - la lutte des classes : nos sociétés sont régies par la lutte de 2 classes, les prolétaires et les bourgeois. Le premier qui détient les forces de production et les autres détenant les moyens de production. Chacun tente de faire valoir ses droits. Cette thèse associée à l’accumulation du capital donne naissance au capitalisme. Ce système capitaliste utilise l’argent pour acheter, vendre ou produire ce dans

néo-gramsciens nord-américains, autour de Robert Cox et un peu plus tard Stephen Gill[3] et de l’autre, les néo-gramsciens de l’école d’Amsterdam, principalement autour des travaux de Kees van der Pijl[4]. Leur principale préoccupation est de développer un marxisme qui rompe avec ce qu’ils conçoivent comme un économisme stérile. D’où leur intérêt pour Gramsci et son concept d’hégémonie, ce régime de domination politique où la bourgeoisie assied sa domination plus sur le consentement des classes dominées et

adhérant au marxisme et devient le secrétaire d’Engels. ✓ Evolution par opposition : Bernstein est conduit à remettre en cause la doctrine de ses maîtres. Il fait paraître en 1899 Socialisme théorique et social-démocratie pratique où il remet en cause la prédiction de Karl MARX quant à l’effondrement du capitalisme ainsi que l’aggravation de la lutte des classes (il nuance la concentration du capital et l’idée de prolétarisation). En effet il estime que le développement du capitalisme offre des

Allemand présidé par BEBEL, LIEBKNECHT, d’inspiration marxiste décident de fusionner pour donner naissance au parti social-démocrate des ouvriers Allemands → SPD. Document 1, Q1 page 95. Le programme de GOTHA fixe comme priorité la condamnation du capitalisme. En pleine crise économique « La grand dépression ». Objectifs, buts idéologiques : • Eliminer les inégalités sociales et politiques. • Fonder un état libre, instaurer une démocratie en Allemagne. • Renoncer à la Révolution pour instaurer

rapidement encadrée par le régime qui fixe les limites du dicible. Ex : Deng Xiaoping explique le 16 mars 1979 qu’il faut défendre la voie socialiste, accepter le rôle dirigeant du parti et de la « dictature démocratique du peuple », respecter le marxisme-léninisme et la pensée de Mao. La répression reprend. Ex : Wei Jingsheng. La Chine délaisse le socialisme autoritaire de Mao pour un néo-autoritarisme plus proche de ceux en vogue dans le reste de l’Asie orientale (Singapour, Taiwan, Malaisie). Des

Introduction I- Origines de la décolonisation II- Fondements de la décolonisation A- Fondements philosophiques ou idéologiques 1- La force des idées républicaines de démocratie et de liberté 2- La force des idées marxistes(le marxisme léninisme) 3- La force des idées religieuses B- Fondements politiques 1- L’impact des deux guerres 2- Le rôle de l’ONU 3- L’anticolonialisme de deux super puissances : USA et URSS 4- Les mouvements nationalistes a- Le panafricanisme b- L’Afro-asiatisme

heures de pauses… C. La scission au sein du parti socialiste. 2 gds divergences sur methode s et finalités : Revolutionnaires : Aile gauche de la gauche, idealistes, revolut° sociale pr aneantir bourgeoisie et capitalisme. Reformistes : Revisionnisme du marxisme, plus pragmatiques ; ->être au pvoir, instaurer reformes par le vote de lois. Reconnaissance suffrage universel et democratie bourgeoise (capitaliste) La 1ere GM va créer la scission entre 2 partis de gauche. -USPD :