Marx Reprend Ricardo

classique Historique Cette théorie date de la fin du 19ème siècle. On l’appelle néo car elle reprend les mêmes idées et même conclusion que la théorie tout court. Cette dernière date du 18ième siècle. Elle est notamment fabriquée par A. Smith, Malthus, Say Les néoclassiques sont donc des gens ont modernisé la théorie classique. Ils ont intégrés les maths à la théorie classique. Walras, Pareto, Ricardo A leur époque il y a un capitalisme pur et dur et leur théorie va leur montrer que ce système

marché pousse chacun, l’individu chez Smith et la nation chez Ricardo à se spécialiser dans une tache unique, celle ou il excelle relativement aux autres. La spécialisation est nécessaire même dans le cas ou la théorie Ricardienne la rendrait inutile. Le centre est riche non pas parce qu’il est spécialisé mais parce qu’il est propice à la spécialisation de chacun de ses membres. Le schéma qui émerge n’est pas celui imaginé par Ricardo ou chaque région se spécialise pour le bonheur de tous mais celui

économistes classiques (A. Smith, D. Ricardo, R. Malthus) ne vont guère témoigner d’intérêt pour l’entrepreneur. Leur analyse est macroéconomique. Ils se préoccupent du mouvement d’ensemble de l’économie, sans s’attacher au rôle particulier de tel ou tel agent économique. Le vocable d’entrepreneur est quasiment absent de leurs écrits. Ils ont de plus tendance à employer le terme de « capitaliste » pour celui de l’entrepreneur. Comme le fera également K. Marx. Pour les économistes classiques la

plusieurs approches théoriques : • Vision classique libérale (Ricardo ; Malthus) : On est dans une économie de marché, donc le salaire se fixe par la loi O/D sur le marché du travail. On considère que l'offre de travail est fonction croissante du salaire réel. Inversement, la demande de travail est fonction décroissante du salaire réel. La rencontre entre ces deux logiques détermine le prix d'équilibre, en concurrence pure et parfaite. Ricardo et Malthus considèrent que le plus souvent, les salaires

que ce créé le commerce triangulaire. Ici, il y a une imbrication très forte entre politique et économie. L'économie va imposer des décisions politiques. A partir du milieu du 18ème siècle, il va y avoir la révolution industrielle. D'ailleurs, Karl Marx dira que c'est grâce à la colonisation que la révolution industrielle apparaît. Il va y avoir une nouvelle structure sociale avec l'apparition des bourgeois (non pas les habitants de Bourg) économique, celui qui dispose du capital. Ce développement

Granovetter (séance 8) 3.7.1 Les formes d’intégration de l’économie 3.7.2 La grande transformation (1944) 3.7.3 Les marchandises fictives IV. Quelques thèmes abordés par la sociologie économique 4.1 L’argent (Séance 9) 4.1.1 Les économistes et l’argent 4.1.2 Marx et le fétichisme de l’argent 4.1.3 Les sociologues classiques et l’argent (fin 19e-début 20e) 4.1.4 Polanyi : l’argent marchandise fictive 4.1.5 L’analyse de Viviana A. Zelizer 4.1.6 Aglietta et Orléan : la monnaie et le sacré 4.2 La consommation (Séance

Introduction Chapitre I : Histoire, Histoire économique. Say, Smith, Ricardo, sont des contemporains de la révolution industrielle, mais on ne parle pas encore de révolution industrielle à l'époque (terme des années 30). Ricardo montre ici, que l’incapacité des gens à satisfaire leurs besoins vitaux les mène à la violence et cela passe ici par la casse de machine. C’est l’avènement du mouvement luddite. Pour Ricardo, ces comportements sont compréhensibles au niveau de l’analyse économique

responsable de ses actes qui décident de ses actions. La liberté de décision, c’est ce qui tient debout le système capitaliste. On n’est pas inséré dans un déterminisme social. Cette idée de liberté a été critiquée de 3 manières, et notamment par Carl Marx, en disant qu’il faut distinguer entre la liberté réelle et la liberté formelle. Ce que donne le capitalisme, c’est la liberté formelle. Sigmund Freud va dire que comme il y a l’inconscient lorsqu’on fait quelque chose, on n’a jamais vraiment une liberté

les controverses autour de la valeur de la monnaie qui ont eu une portée universelle et qui ont donné corps à la pensée classique. Ces controverses ont été dominées par Ricardo alors même qu’il est mort en 1823. Cette dominance de la pensée de Ricardo sur la pensée économique fera dire à Keynes, un siècle plus tard que « Ricardo avait conquis l’Angleterre du 19ème siècle comme la Sainte Inquisition l’Espagne du 16ème siècle ». Quand on parle de la valeur de la monnaie, l’usage est de distinguer la

................................................................................84 Section 1. Section 2. Section 3. Section 4. Les néokeynésiens .............................................................................84 La combinaison Marx-Keynes ............................................................85 La combinaison Keynes-néoclassiques : l’école de la synthèse .......86 Les économistes inspirés par les néoclassiques ...............................87 test et exercices aUtocorrigés