Marizibill

l’écoulement de la Seine. La Chanson du Mal-Aimé succession de quintils −→ une forme plus adaptée à la chanson ? quintils d’octosyllabes → 1 quintil = un moment, une action figée 1. Léo Ferré a d’ailleurs mis en musique ce poème, ainsi que Les Cloches, Marizibill, La Tzigane et La chanson du Mal Aimé 1 =⇒ octosyllabe : vers courts, donc phrases souvent partagées entre 2/3 vers → permet de former des strophes homogènes (continuité et simplicité de l’action) → ou, permet de « tenir en haleine » le lecteur/l’auditeur

sous l’influence de l’alcool et à la poursuite de son amour perdu dans les rues mal famées de Londres. Dans cet ensemble, la “Réponse des cosaques Zaporogues” peut être interprétée comme les imprécations vulgaires d’un homme ivre. Ailleurs, dans “Marizibill” l’alcool est lié à une figure féminine dégradée (une prostituée). Cependant, en face de cette image souvent négative de l’alcool, on peut aussi y voir une métaphore de l’aspiration à la vie

de l'eau. 3. .... et les autres ! Annie et Marie ne sont pas évoquées directement, personnellement. Ce sont les ombres de femmes aimées, comme d'autres l'ont été ou le seront. Il existe d'autres traces de formes d'amour dans le recueil : - "Marizibill" (Marie-Sybil), une jeune prostituée ; l'amour physique ; une silhouette évanescent, immortalisée par le poème. (cf. le couplet de "Zone" sur la prostituée). - cf. "Marie" : confusion entre Marie Laurencin et un amour de jeunesse, Marie Dubois

« La chanson du Mal Aimé », « Le Brasier », « Rhénanes », « Les fiançailles » ou encore « A la santé. » D’un point du vue thématique, on remarque un certain nombre de thèmes : Bien sûr les femmes, comme par exemple « Annie », «  Clotilde », « Marizibill », «  Marie », « Rosemonde »), dont la désignation par le prénom témoigne d'une intimité et de leur importance Le thème du voyage (« Le Voyageur », « Saltimbanques », « La Tzigane », « L'Émigrant du Landor Road », « Rhénanes »). Les légendes

réécriture - "Les yeux d'Elsa", Aragon : un texte d'amour et engagé - "Union libre" de Breton : l'écriture surréaliste Lecture cursive : Lecture de la section "Rhénanes", Apollinaire, in Alcools , ainsi que des poèmes suivants : "Colchiques", "Marizibill", "Automne", "Automne malade". => L'élève a réalisé une affiche destinée à illustrer les diverses thématiques évoquées dans les textes soumis à sa lecture, ou alors à illustrer un seul poème parmi la sélection proposée. Il doit donc être capable

décrire, finalement dans la dernière strophe il nous communique les sens qu'elle stimule en lui. Les formes incitent le poète à pousser son inventivité, à adopter une écriture plus élaborée. Les figures de style contribuent à cette poussée. Dans « Marizibill » Apollinaire utilise l'expression « les brasserie borgnes », c'est une association quelques peu étrange dont le sens reste à découvrir. L'effet final est pourtant très agréable et plutôt élégant. La poète est un artiste entier, il lie fond et

poète. Présence de Marie dans "Zone", "Le Pont Mirabeau", "Marie" p. 55. Un amour lié au thème de la fuite du temps et à celui de l'eau. D’autres ombres de femmes apparaissent : Il existe d'autres traces de formes d'amour dans le recueil : - "Marizibill" p. 51 (Marie-Sybil), une jeune prostituée ; l'amour physique ; une silhouette évanescent, immortalisée par le poème. (cf. le couplet de "Zone" sur la prostituée). - cf. "Rosemonde" p. 88 : une inconnue parmi d'autres... • La femme maléfique

l’industrialisation, lui qui en « assez de vivre dans l’antiquité grecque etromaine ».Il s’inspire d’individus qu’il défend ou qu’il admire, qui sont rarementcités dans les poésies traditionnels, il fait l’éloge de ces individus tel que : lesprostituées dans « Marizibill », un poème en dédicace à la prostituée Marie Sibille,les travailleurs du cirque dans « Les Saltaimbanques », une tzigane dans « LaTzigane » et les femmes de vignerons dans « Femmes ». Touts ces thèmes délaisserpar les poètes du passé, et qui sont

lumière sanglante / Les nuages coulaient comme un flux menstruel ». Le sang représente la nature néfaste de la femme. Femmes du monde réel : Les prostituées dans "Zone" : «  j’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche ». Dans « Marizibill », l’auteur parle d’une prostitué « exotique » : « Dans la haute rue de Cologne / Elle allait et venait le soir / Offerte à tous en tout mignonne » , « Tirée d’un bordel de Changaï ». Mais aussi dans l’  « Ermite » : quand elles viennent confesser

Ensuite, Apollinaire dans ses poèmes utilise des personnages réels qu’il a connu, certaines qu’il a aimé et d’autres personnes irréelles.En effet, Apollinaire dans ses poèmes parle souvent de personnes rencontrées comme en témoigne son poème « Marizibill » où il décrit la vie d’une jeune prostituée qu’il a connue à Cologne. Ce poème explique le portrait atypique d’une figure féminine rhénane. Cette femme qui vit dans la pauvreté extrême est dévalorisée par l’auteur et il peut donc ressentir de la