Marivaux Le Spectateur Français

PÉDAGOGIQUELA DISPUTE d'après le texte de Marivaux L’histoire Qui de l’homme ou de la femme a commis la première infidélité en amour ? Afin de répondre à cette question, deux filles : Églé et Adine, et deux garçons : Azor et Mesrin, ont été élevés dans la forêt, isolés les uns des autres, hors de toute société. Ils ne connaissent que le couple que forme Carise et Mesrou qui, dès le berceau, a pris soin d’eux.

Intro : Je vais vous présenter la scène 10 de l’acte II des fausses confidences, etudié en Francais dans le cadre théatre et stratagème. C’est une piece ecrite par Marivaux, né en 1688 et mort en 1763. L’intrigue est centrée sur le langage et sur les farces, pièce typique du mouvement appelé le marivaudage. Pour résumer rapidement, Dorante, un jeune noble qui a perdu sa fortune, aime Araminte, une riche héritière. L’ancien valet de dorante, donc dubois, qui se retrouve au service d’araminte, a

théâtre purge les passions par le moyen de la représentation dramatique : en assistant à un spectacle, l’être humain se libère de ses pulsions, angoisses ou fantasme en les vivant à travers le héros ou les situations représentées sous ses yeux. Un spectateur d’une tragédie qui s’identifie aux personnages dont les passions coupables sont punies par le destin se verra délivré, purgé des sentiments inavouables qu’il peut éprouver secrètement. La tragédie d’Œdipe roi de Sophocle illustre bien cette définition

comédies sont jouées pendant les Néméennes et les dyonisies (fête du début et et de la fin de la moisson), fête marquées par une abondante consommation de vin. Ces célébrations sont obscènes et paillardes, comptent des cortèges dyonnisiaques, les spectateurs participent aux spectacles comme lors des processions dans les villages. La comédie satirique brise l’illusion référentielle : dès l’origine elle est auto-référentielle.Les différentes parties de la comédie : -le prologue, dit par un esclave, occasion

bavarde beaucoup au parterre On se contemple d'une loge à l'autre ect... LES CONDITIONS DU SPECTACLE : La scène est rectangulaire ou trapézoïdale, les risques d'incendie sont élevés, la scène étant en bois et éclairée par des bougies. Les spectateurs sont debout sur le parterre, on trouve des places sur la scène même, et ce, jusqu'en 1759. Il n'y a pas de metteur en scène, souvent le dramaturge est le chef de troupe. BEAUMARCHAIS, sera le premier metteur en scène à se nommer comme tel. Les représentations

      DR Pierre MARIVAUX Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux est issu d’une famille de noblesse de robe. Il naît à Paris en 1688, mais grandit à Riom (Auvergne) où son père Nicolas Carlet occupe la charge de contrôleur puis de directeur de la Monnaie (1704-1719), charge obtenue grâce au soutien de la famille de son épouse, plus aisée : Anne-Marie Bullet, dont le frère, Pierre Bullet, est architecte royal. Après des études classiques, Pierre Carlet revient à Paris

| |Tartuffe. | | |Le texte B est la scène 1 de L’île des esclaves écrit par Marivaux en 1725. Iphicrate et Arlequin| | |(son valet) sont sur une île déserte, ce qui supprime le droit d’autorité d’Iphicrate sur son | | |valet. Ici, Arlequin

Introduction Comédie en un acte et en prose, Les Acteurs de bonne foi, publiée en 1757, est, exceptée La Provinciale publiée en 1761, la dernière pièce de Marivaux. Le vieux maître y révèle encore un doigté éblouissant, notamment dans la comédie des valets. C’est le passage qui nous préoccupe ici. Le passage à étudier est situé à la deuxième scène de la pièce. Eraste, grâce à la générosité de sa tante Mme Amelin et de son valet Merlin, va pouvoir épouser Angélique, fille de Mme Argante. La comédie

Peut-on dire que dans la pièce de Marivaux, Les Fausses Confidences , l’honnêteté triomphe grâce au mensonge? Les Fausses Confidences est une œuvre théâtrale de Marivaux, une comédie en trois actes et en prose. Elle fut jouée pour la première fois le 16 mars 1737 par des Comédiens italiens à l’Hôtel de Bourgogne, puis reçut un accueil plus favorable à sa reprise au Théâtre-Français en 1793. Dans cette pièce, Marivaux

la bouffonnerie d’Arlequin et son jeu a un but comique o Finalement, dans la scène 7, ou Cléanthis utilise l’ironie par antiphrase filée pour seul but, une fois de plus de ridiculisé les nobles. A cause de la censure, et du rang de son public, Marivaux n’a pas pu critiquer librement le jeu amoureux, il a donc du le faire jouer par les esclaves, afin qu’il paraisse drôle et ridicule. 2. L’auteur utilise le marivaudage pour critiquer tout autant les maîtres que les esclaves. Le marivaudage dans