Marivaux La Vie De Marianne

HYPERLINK http//www.comptoirlitteraire.com www.comptoirlitteraire.com Andr Durand prsente Les fausses confidences (1737) comdie en trois actes de MARIVAUX pour laquelle on trouveun rsum des notes puis successivement lexamen de les sources (page 11) lintrt de laction (page 12) lintrt littraire (page 16) lintrt documentaire (page 17) lintrt psychologique (page 18) lintrt philosophique (page 24) la destine de luvre (page 25) la scne I, 14 (page 27) la scne II, 15 (page 29). Bonne lecture Rsum

possible Michel de Montaigne, pour le suicide (c’est ma vie), contre les médecins, contre le colonialisme, « Tout home porte la forme entière de l’humaine condition » ; (tous ont les mêmes possibilités d’arriver aux mêmes buts dans la vie), la vérité absolue échappe à l’être humain, Les Essais Baroque  instabilité politique et religieuse, (barocco ; perle irrégulière), on aime mélanger les genres Thèmes : FROM-T F : Fragilité de la vie (on peut mourir n’importe quand) R : Refus des règles

Bertrand VAC (Québec) : Médecin, il fut aussi, sous ce pseudonyme, romancier et nouvelliste : 1 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les fausses confidences’’ (1737) comédie en trois actes de MARIVAUX pour laquelle on trouve un résumé des notes puis successivement l’examen de : les sources (page 11) l’intérêt de l’action (page 12) l’intérêt littéraire (page 16) l’intérêt documentaire (page 17) l’intérêt psychologique (page 18) l’intérêt philosophique

violence et le thème de la vengeance, fascination pour la mort, le goût des déguisements, … Ses sources d'inspiration sont variées : l'antiquité ; l'histoire de l'Angleterre ; le théâtre Elisabéthain s'inspire des faits historiques récents soit de la vie quotidienne ; des sombres histoires de sorciers qui forment de sanglantes tragédies. Les costumes sont somptueux et permettent de situer socialement le personnage. Les accessoires sont d'un réalisme parfait. Chaque couleur à sa fonction : une couleur

avec des auteurs latins comme Plaute et Térence. Mais c’est aux XVIIe et XVIIIe s. que des dramaturges talentueux comme Molière, Beaumarchais ou Marivaux définissent les Lettres de Noblesse de la comédie, en s’intéressant plus particulièrement à un thème : les relations entre maîtres et valets. Selon un critique contemporain, dans le théâtre de Marivaux, on assiste à « l’affrontement théâtral de deux langues au moins : la langue des maîtres, dans son élégante simplicité ; la langue plus bariolée

corps à celle du coeur, enfin. Pour qu’un nouveau public, une nouvelle troupe, s’emparent de cette pièce et la fassent vivre, s’en saisissent, lui insufflent ce que personne encore ne lui avait insufflé, se l’approprient, lui offrent une nouvelle vie à travers leurs imaginaires jamais épuisés. Riche d’autant d’images, d’émotions, de sensations originales qu’il y a de nouveaux comédiens-danseurs et de nouveaux spectateurs… compagnie théâtre-danse 05 Survolez les vignettes pour visualiser

gestes, de la farce grossière qui faisait sourire à l’époque des spectateurs peu cultivés. Ex : Le quiproquo provoque lui aussi le rire dans L’Ecole des femmes, avec Horace qui ne connaît pas la véritable identité d’Arnolphe et lui confie toute sa vie amoureuse comme le prouve le vers suivant : « J’ai d’amour en ces lieux eu certaines aventures, et l’amitié m’oblige à vous en faire part » (Acte I, scène 4). Le comique de geste est également très présent comme on peut le voir dans l’acte II, à la

censure (Tartuffe de Molière : Le Mariage de Figaro de Beaumarchais], elle élargit son propos à une satire du monde social : satire de l'hypocrisie des grands dans Dom Juan, de l'imposture religieuse dans Tartuffe, des abus du temps chez Beaumarchais. Marivaux, lui, peint les conflits du cœur et des barrières sociales (Le Jeu de l'amour et du hasard . Cette visée polémique se retrouve dans le drame romantique hugolien qui montre de manière pathétique le divorce entre les aspirations de ses héros et les

folies des sens. En même temps, elle adoucit l’ironie ; elle enlève à la parole railleuse ce qu’elle a toujours d’un peu sec ; elle enrichit le spectacle de tout le luxe mondain des danses et des sons. Elle fait du théâtre le reflet de la vie, mais d’une vie joyeuse et élégante, ornée de tout ce que la réalité a de parure pour les sens, et où le ridicule, la maladie, la mort même, ne sont que jeux plaisants, propres à donner à l’homme le rire fort et saint » (Romain Rolland, Histoire de l’opéra

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les fausses confidences’’ (1737) comédie en trois actes de MARIVAUX pour laquelle on trouve un résumé des notes puis successivement l’examen de : les sources (page 11) l’intérêt de l’action (page 12) l’intérêt littéraire (page 16) l’intérêt documentaire (page 17) l’intérêt psychologique (page 18) l’intérêt philosophique (page 24) la destinée de l’œuvre (page 25) la scène I, 14 (page 27) la scène II, 15 (page 29). Bonne lecture