Marivaux La Dispute Rencontre Amoureuse

l’obscurantisme aux lumières de la raison » Le corpus de textes : ➢ Montesquieu, « De l’esclavage des nègres » tiré de L’esprit des lois [essai]  + prolongement : de l’esclavage racial à l’esclavage social (injustice et inégalité) : l’île des esclaves de Marivaux [théâtre] ➢ Montesquieu, les Lettres persanes (1721) [roman épistolaire] + comparaison avec lettre XXIV (manuel p.36) ➢ Beaumarchais, Le Mariage de Figaro acte V, scène 3[théâtre] ➢ Voltaire, Micromégas (1752)[conte philosophique] 

s’affranchit graduellement de son état dépendant, et prend possession du récit en s’affirmant par la parole. L’exotisme de cette femme est en effet la source de son charme. Il y avait avant elle bien des femmes fictives faisant partie d’intrigues amoureuses, éprises d’un prince séduisant, mettant en jeu leurs sentiments27 ; mais avec l’Orientale, le lecteur se trouve devant un nouveau personnage féminin, faisant partie d’une narration inattendue où s’entremêlent le tragique et le comique, le merveilleux

insensibles. Si nous jetons un coup d‟oeil chez les plus grands écrivains de notre temps, nous constatons que la femme est souvent un des thèmes abordés. Aussi nous voyons que des dramaturges tels que Molière et Racine au 17ème siècle ou encore Marivaux au 18ème siècle, exploitent le thème de la femme. Du côté des poètes nous voyons de même que la femme est source d‟inspiration, par exemple chez Baudelaire dans La chevelure . Dans des récits plus récents tels Le blé en herbe de Colette ( 1923)

narrateur se présente comme un témoin, ce qui atteste de la vérité de son récit. ¨ Le narrateur s’adresse à son personnage, Mateo Falcone, en lui disant « vous ». ¨ Le pronom « vous » représente un personnage de l’histoire que le narrateur a rencontré. ¨ Cela permet au lecteur de se représenter dans ce décor, et de s’imaginer être témoin de ce qui va lui être raconté. ᕢ Quels éléments participent à la mise en place réaliste du décor de l’histoire qui va être racontée ? ¨ La référence à la

on oublie » : Le risque de l’oubli c) Lignes 24 à 27 : « si on s’rappelait » : L’intérêt du témoignage d) Lignes 28 à la fin : « il ne faut plus qu’il y ait de guerre » : La volonté que la guerre ne se reproduise pas 4- Les différents obstacles rencontrés sont l’impossibilité de se représenter l’horreur de ce qu’on n’a pas vécu et l’oubli inévitable. 5- L’unique espoir des soldats est qu’il s’agisse de la « der des ders », de la dernière guerre. Dans la dernière partie du texte, les soldats reprennent

hypocrite de renard me laissera faire. N'est-ce que cela qui t'arrête? Me dis-tu vrai? me repartit-elle. Assurément! lui dis-je. Eh bien! je vais travailler à te mettre en repos là-dessus, me répondit-elle, et à te prouver qu'on n'a pas envie de te disputer ta poule. Je serais fâchée qu'on te surprît dans ma chambre, séparons-nous; mais je te garantis notre affaire faite. Là-dessus je la quittai un peu inquiet des suites de cette aventure, et avec quelque repentir d'avoir accepté de son argent; car

30 sÉQuenCe 1 La comédie classique et ses précurseurs ➜ Livre de l’élève, p. 31 Analyse d’image Le poète d’Hadrumetum ➜  p. 32 Question de synthèse 7. Rôle social : théâtre = lieu de rassemblement public qui permet aux hommes de se rencontrer et de discuter, moment de divertissement populaire. Mosaïque sur le théâtre dans une demeure romaine => il fait partie intégrante de la vie des citoyens romains. Objectif : Étudier une représentation de l’acteur de théâtre dans l’Antiquité.

perfides ? Et devez-vous haïr ses innocents appas ? HIPPOLYTE. Si je la haïssais, je ne la fuirais pas. 60 65 70 THÉRAMÈNE. Seigneur, m'est-il permis d'expliquer votre fuite ? Pourriez-vous n'être plus ce superbe Hippolyte, Implacable ennemi des amoureuses lois, Et d'un joug que Thésée a subi tant de fois ? Vénus par votre orgueil si longtemps méprisée, Voudrait-elle à la fin justifier Thésée ? Et vous mettant au rang du reste des mortels, Vous a-t-elle forcé d'encenser ses autels ? Aimeriez-vous

qu’effarouchent les ouvrages nouveaux et romantiques, que les classiques anciens, dont ils recommandent chaque jour la lecture et l’imitation, les surpassent de beaucoup en gaillardise et en immoralité. À Molière nous pourrions aisément joindre et Marivaux et La Fontaine, ces deux expressions si opposées de l’esprit français, et Régnier, et Rabelais, et Marot, et bien d’autres. Mais notre intention n’est pas de faire ici, à propos de morale, un cours de littérature à l’usage des vierges du feuilleton

qu’effarouchent les ouvrages nouveaux et romantiques, que les classiques anciens, dont ils recommandent chaque jour la lecture et l’imitation, les surpassent de beaucoup en gaillardise et en immoralité. À Molière nous pourrions aisément joindre et Marivaux et La Fontaine, ces deux expressions si opposées de l’esprit français, et Régnier, et Rabelais, et Marot, et bien d’autres. Mais notre intention n’est pas de faire ici, à propos de morale, un cours de littérature à l’usage des vierges du feuilleton