Marie-Georges Picquart

affilié(e) aux régimes de retraite, de prévoyance complémentaire et de complémentaire santé en vigueur dans la société (affiliation effectuée concernant la retraite auprès de l’organisme Klesia retraite dont le siège social se situe au 4-22 RUE Marie Georges Picquart 75017 PARIS, auprès du groupe AG2R PREVOYANCE concernant la prévoyance, situé au 104-110 BD HAUSSMANN 75008 PARIS , et auprès de l’organisme VIA SANTE MUTUELLE situé au 42 rue Gabriel Lamé 75012 PARIS pour les frais de santé). Mademoiselle

accusateur de Dreyfus;  erreur judiciaire dont il faut refaire le procès. Alfred Dreyfus est un capitaine major (juif alsacien) accusé a tord d’avoir dérobé un bordereaux et de l’avoir remis a un allemand (de l'espionnage) . En 1896, le colonel Picquart certain de son innocence à découvert le vrai coupable; Esterhazy. En 1896, l’affaire éclate au grand jour avec la parution d’une lettre écrite par Zola au président Français;  J’accuse. Les passions française se déchainent et les esprits sont visés

transmis des documents secrets à l’Allemagne après la découverte, dans une corbeille, d’un bordereau d’envoi aux services allemands de notes relatives aux activités militaires de la France. En 1896, une contre-enquête menée par le lieutenant-colonel Picquart du service de Renseignement établit la culpabilité du commandant Esterhazy et démontre la fabrication d’un faux accusant injustement le capitaine Dreyfus. Le 11 janvier 1898, Esterhazy est acquitté par un conseil de guerre. Le 13 janvier est publié

n'est pas tenable, surtout que la question des institutions politiques n'est pas réglée. Il tente de reprendre la ville aux Communards. Le 3 avril 1871, c'est le début les combats dans la ville de Paris. Un homme essaie de proposer une 3ème voix, Georges Clémenceau, maire de Montmartre, mais ses propositions restent un échec. Les 21-28 mai 1871 se déroule la « Semaine Sanglante » qui se traduit par des combats très violents. Elle est essentiellement due à la haine des paysans à l'encontre de Paris

disponible. Guides de lecture Combray Dans "Combray", le narrateur raconte son enfance à Combray, sa relation à sa mère dont il réclame la présence le soir avant de se coucher. Il évoque ses premières lectures, notamment François le Champi de Georges Sand. On voit se dessiner l'univers culturel et affectif d'un personnage dont on va suivre la vie et l'évolution pendant le reste de la Recherche. C'est aussi dans "Combray" qu'apparaît le personnage de Swann et surtout c'est là que naît la fascination

leur participation aux manifestations du Quartier Latin7 ou au mouvement Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 93.152.144.171 - 24/02/2013 16h02. © L'Harmattan 8 Christophe Charle, « Les étudiants et l’affaire Dreyfus », Cahiers Georges Sorel, n°4, 1986, pp. 61-78 et Naissance des « intellectuels », Paris, Éditions de Minuit, 1990. 9 A. Reiss, 10 février 1898, Archives Émile Zola, CNRS-ITEM, Centre d’études sur Zola et le naturalisme (ci-après AEZ). 10 « M. Zola et le vote de la

ami, comme régnait à Combray un « côté castes » (III, page 658), la mère de Marcel rappela que « la mère Moser », la grand-mère de Swann, disait : « Ponchour Mezieurs » (III, page 659). Mais il fut révélé que cette grand-mère était une « protestante mariée à un juif » qui « avait été la maîtresse du duc de Berri » (II, page 668), ce qui permettait une légende qui voulait que Swann soit son petit-fils, légende à laquelle voulait croire l’antisémite qu’était le prince de Guermantes pour se permettre de

il suit une cure thermale. Il y achève le recueil L'Année terrible. Il retourne en France fin 1871 puis à Guernesey où il écrit en 1872, le roman Quatre-vingt-treize. En 1873, il est à Paris et se consacre à l'éducation de ses deux petits enfants, Georges et Jeanne qui lui inspirent le recueil L'Art d'être grand-père. Il reçoit beaucoup, hommes politiques et littéraires, les Goncourt, Lockroy, Clemenceau, Gambetta... Le 30 janvier 1876, il est élu sénateur et milite pour l'amnistie des communards.

transmis des documents secrets à l’Allemagne après la découverte, dans une corbeille, d’un bordereau d’envoi aux services allemands de notes relatives aux activités militaires de la France. En 1896, une contre-enquête menée par le lieutenant-colonel Picquart du service de Renseignement établit la culpabilité du commandant Esterhazy et démontre la fabrication d’un faux accusant injustement le capitaine Dreyfus. Le 11 janvier 1898, Esterhazy est acquitté par un conseil de guerre. Le 13 janvier est publié

description et répercussions des documents sur l’Affaire. 3 4 © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. Tableau 2.9 – Personnages principaux de l’affaire Dreyfus : tableau synoptique par opposition Dreyfusards Principaux acteurs Georges Clemenceau Madame de Boulancy Fonctions Homme politique, directeur de L’Aurore Ex-maîtresse d’Esterhazy ayant proposé à la presse les lettres de celui-ci hostiles à la France Premier avocat de Dreyfus Frère d’Alfred Dreyfus, moteur de la réhabilitation