Marelle

des assistants. Georges, affolé de joie, se croyait un roi qu'un peuple venait acclamer. Il serrait des mains, balbutiait des mots qui ne signifiaient rien, saluait, répondait aux compliments : " Vous êtes bien aimable. " Soudain il aperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu'il lui avait donnés, qu'elle lui avait rendus, le souvenir de toutes leurs caresses, de ses gentillesses, du son de sa voix, du goût de ses lèvres, lui fit passer dans le sang le désir brusque de la reprendre

Diapositive 1Rappel : structure du paragraphe argumenté Français-2nde NB : il débute par un alinéa/ utiliser des mots de liaison pour structurer tout son développementABCUne phrase introductive qui annonce l’idée directrice ou l’argumentLa justification : un ou deux procédés d’écriture analysés extraits d’une citation Une phrase conclusive de synthèse qui reprend l’argument qui vient d’être démontré.Qu’est-ce qu’un commentaire composé?1) c’est une analyse littéraire qui permet d’expliquer un texte

Ironie du texte Les sentiments du personnage (l. 1 à 12) : le personnage est débordé / l'émotion, le triomphe - presque croyant, rythme ample et majeur => montée de l'émotion "balbutier" (l. 10) G.D retrouve vite ses esprits lorsqu'il voit Mme de Marelle - capable de prononcer des paroles mondaines (l. 29) chargées de non-dit - "gaiement" : le personnage reprend le dessus - Maîtrise absolue. Le comportement dissocié de Bel-Ami  Succès grâce à sa capacité d'adaptation à l'hypocrisie ambiante Dissociation

dernière phrase du roman : « Mais il ne les voyait point ; sa pensée maintenant revenait en arrière, et devant ses yeux éblouis par l’éclatant soleil flottait l’image de Mme de Marelle rajustant en face de la glace les petits cheveux frisés de ses tempes, toujours défaits au sortir du lit. » On peut sous-entendre que Mme de Marelle et Duroy vont entretenir encore une liaison secrète « je t’aime toujours, je suis à toi! ». Cependant rien ne nous le prouve, le lecteur peut donc échafauder sa fin, selon

espérer que je pourrais, grâce à lui, pénétrer dans le journalisme. » Elle eut un sourire plus visible, plus bienveillant ; et elle murmura en baissant la voix : « Je sais. » Le timbre avait tinté de nouveau. Le valet annonça : - 27 - « Mme de Marelle. » C’était une petite brune, de celles qu’on appelle des brunettes. Elle entra d’une allure alerte ; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs. attirait

Forestier m'a laissé espérer que je pourrais, grâce à lui, pénétrer dans le journalisme. Elle eut un sourire plus visible, plus bienveillant ; et elle murmura en baissant la voix : - Je sais. Le timbre avait tinté de nouveau. Le valet annonça : - Mme de Marelle. C'était une petite brune, de celles qu'on appelle des brunettes. Elle entra d'une allure alerte ; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs, attirait

laissé espérer que je pourrais, grâce à lui, pénétrer dans le journalisme. » Elle eut un sourire plus visible, plus bienveillant ; et elle murmura en baissant la voix : « Je sais. » Le timbre avait tinté de nouveau. Le valet annonça : « Mme de Marelle. » C’était une petite brune, de celles qu’on appelle des brunettes. Elle entra d’une allure alerte ; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs. attirait

Forestier m'a laissé espérer que je pourrais, grâce à lui, pénétrer dans le journalisme.» Elle eut un sourire plus visible, plus bienveillant; et elle murmura en baissant la voix: «Je sais.» Le timbre avait tinté de nouveau. Le valet annonça «Mme de Marelle.» C'était une petite brune, de celles qu'on appelle des brunettes. Elle entra d'une allure alerte; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs, attirait

laissé espérer que je pourrais, grâce à lui, pénétrer dans le journalisme. Elle eut un sourire plus visible, plus bienveillant ; et elle murmura en baissant la 44 voix : – Je sais. Le timbre avait tinté de nouveau. Le valet annonça : – Mme de Marelle. C’était une petite brune, de celles qu’on appelle des brunettes. Elle entra d’une allure alerte ; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs, attirait

espérer que je pourrais, grâce à lui, pénétrer dans le journalisme. " Elle eut un sourire plus visible, plus bienveillant ; et elle murmura en baissant la voix : " Je sais. " Le timbre avait tinté de nouveau. Le valet annonça : " Mme de Marelle. " C'était une petite brune, de celles qu'on appelle des brunettes. Elle entra d'une allure alerte ; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs