Maréchal d'Empire

notables sont la bourgeoisie, qui a largement tiré profit de la révolution. C'est la bourgeoisie qui a le plus profité de la vente des biens du clergé. Parmi les notables, il y a aussi les noblesses : la noblesse d'ancien régime, la noblesse d'empire. Cette domination des notables repose sur un monopole économique et politique. Elle est évidente jusqu'en 1848. L'instauration du suffrage universel marque un tournant symbolique, il ne va pas bouleverser les habitudes politiques et l'ordre social

corps du royaume qui est partagé que lui-même. Section 2 : LE GOUVERNEMENT MEROVINGIEN DU ROYAUME Le gouvernement central du royaume Le gouvernement est constitué du palais= c’est une institution, plus tard appelé la cours, où l’on trouve le maréchal (armée du roi), le camérier, le comte du palais (=il rend la justice du roi). Au sein de ce palais un personnage dépasse tous les autres membres, c’est le maire (le major=1er), dans la tradition franque le maire du palais est celui qui a en charge

(on reconnaît Voltaire parmi les invités). «Le roi avait de l’esprit et en faisait avoir », dit Voltaire. Il part en juin 1750 pour la cour de Prusse. Le 27 juillet, il est à Berlin. C’est l’enchantement. Magnifiquement logé dans l’appartement du maréchal de Saxe, il travaille deux heures par jour avec le roi qu’il aide à mettre au point ses œuvres. Le soir, des soupers délicieux avec la petite cour très francisée de Potsdam où il retrouve Maupertuis, président de l’Académie des sciences de Berlin

insoutenables», d’être «obscur et embarrassé dans ses principes, souvent futile et plat») une lettre de rupture. Le 10 décembre, il en reçut une autre de Mme d’Épinay qui, influencée par Grimm, l’accusait d’ingratitude et lui donnait son congé. Le maréchal de Luxembourg l’hébergea alors à Montlouis, une dépendance de son château de Montmorency. Au terme de cette année, il avait perdu toutes ses amitiés anciennes. D’où l’état de «tristesse sans fiel » dans lequel, en trois semaines, il rédigea une

France est plongé dans la guerre de Cent Ans depuis 1337. Une fois au pouvoir, Charles V envisage de mener le combat contre l’Angleterre par petites unités. Il recrute des soldats (rémunérés par une solde) et met à leur tête le courageux et compétent maréchal Du Guesclin. Le résultat est probant. À la fin de son règne, l’emprise anglaise recule. Toutefois, les luttes constantes, sous forme de guérillas, ravagent les campagnes, désormais repliées autour des châteaux protecteurs. Les Français au XVe

chambres, le 6 juillet 1879. Grévy dans son message dit « je n'entrerai jamais en lutte contre la volonté nationale ». Ceci s'explique parce qu'en 1877, le maréchal de Mac-Mahon (Président de la République) avait décidé de dissoudre l'assemblée nationale qui lui était hostile, et les élections avaient ramené une majorité de républicains hostiles au maréchal. Son successeur, lorsqu'il dit qu'il n'entera jamais en lutte contre la volonté, dit en réalité « il n'y a un article de la constitution que je n'appliquerai

possédants donc fidèle soutien du nouveau régime. L'égalité civile (juridique) : les Français tout au long régimes napoléoniens demeurent égaux devant la loi. Pas de restauration de la noblesse pas de société à ordres. NB crée nouvelle noblesse d'Empire pourtant mais qui ne possède aucune différence juridique. NB a compris qu'il s'agissait d'un legs essentiel et qu'il ne pouvait porter atteinte à égalité civile. Toutes autres libertés publiques vont être entamées, mises à mal par Premier Consul

Napoléon III obtient pour la France des territoires alpins francophones : la Savoie + le comté de Nice en 1860. Des fiascos retentissants : Mexique et Prusse L’entourage de Bonaparte avait conçu un projet à contre-courant de l’évolution historique d’empire latin au Mexique avec à sa tête Maximilien, frère de l’empereur d’Autriche François-Joseph. Préparé diplomatiquement par l’alliance espagnole et anglaise, des troupes débarquent au Mexique en 1861 pour renverser le gouvernement républicain de Juarez

d’eux même : le jus soli, une libre association des individus, l’appartenance nationale est conçue comme « un plébiscite de chaque jour », une volonté commune de vivre ensemble constamment réactualisée. Le Congrès de Vienne a conduit à la formation d’empires multinationaux (l’Autriche par exemple) et de nations morcelées en plusieurs Etats (les polonais, les italiens ou encore les allemands) : les mouvements nationalistes cherchent à faire coïncider Etat et nation. B/ Les leçons de 1830 Le tournant

référendaires pour rédiger les actes législatif du roi, administratif (institution romaine). Certains conseillers vont intervenir dans le domaine privé (serviteurs du roi) et dans le domaine public (administrer certaines charges). Ce sont les maréchaux (comes stabuli) : ils ont la charge de l’écurie royale. Ils vont aussi être utilisé pour l’armée. Il y a aussi le chambrier pour servir le roi dans sa chambre et gérer le trésor royal. Le maire du palais (major domus), personnage chargé de la