Marchandisation

Il va s'agir ici d'analyser l'idée proposée par Benjamin d'un nouveau régime d'existence de l'oeuvre d'art par rapport à sa compréhension antérieure. Nous mobiliserons dans cette analyse les concepts développés par Benjamin d' « aura », de « marchandisation » et de « valeur d'exposition » pour saisir ce qui oppose l'époque « classique » et l'époque contemporaine. 1 Cf : BENJAMIN Walter, Oeuvres III, Paris, Gallimard, 2000 2 Cf : BENJAMIN Walter, Ecrits français, Paris, Gallimard, 2003 3 Benjamin

d'avoir été produit ; la marchandisation de toutes les sphères des activités humaines et de toutes les ressources naturelles, qui permet d'accroître le PIB : privatisation de l'eau, de l'énergie, des terres, des ressources naturelles, des services publics (santé, éducation, sécurité, etc.), marchandisation des relations sociales et même des corps humains. Et plus récemment, avec la lutte contre les changements climatiques, une marchandisation de l’atmosphère ; Cette marchandisation a pour corollaire une

sa famille derrière elle. 3.3.2 La marchandisation des corps Pour comprendre la marchandisation des corps, il est nécessaire de faire appel à plusieurs concepts de sociologie. Tout d'abord, nous vivons dans des sociétés individualistes qui nous incitent à céder à nos désirs, nos pulsions. Le choc de l'individualisme et de la constante expansion de l'industrie du sexe, légale ou illégale, où tous les fantasmes peuvent être assouvis, implique une marchandisation des corps. Toute chose doit avoir une

fait le passage du bien à valeur non marchande à un bien a valeur marchande fait augmenter le PIB du PI sans qu’il n’y est de création de richesse mais au contraire perte de richesse. C’est ce qu’on appelle le processus de marchandisation  De plus ce processus de marchandisation ne s’applique pas seulement au PVD mais aussi au PI développé qui voient une partie des activités qui se faisait autrefois au sein des entreprises s’externaliser. C’est la sous-traitance.  En ce qui concerne l’environnement

économique du sport se situe aujourd'hui entre 0,5 et 2% de l'économie nationale. Hors bénévolat, le poids économique du sport dans l'économie française est évalué à 1,77% du PIB, soit 30,4 milliards d'euros en 2005. Comme on s'en doute, c'est cette « marchandisation » du sport qui le soumet à une logique économique souvent incompatible avec son éthique. Dès lors, le sport est aussi concerné par les affaires de négligence, de dopage, de corruption, ou encore par d’étranges liens qui se nouent parfois avec

que tout n'est pas de l'art et qu'il convient de faire, là encore, le tri. Comme toute forme culturelle n'est pas forcément civilisée, toute prétendue œuvre d'art n'est pas forcément de l'art. Pour que l’art soit totalement accessible à la marchandisation et à la spéculation, il fallait que les critères permettant de distinguer s’évanouissent, deviennent « vaporeux ». Comme dans le conte d’Andersen, le roi est nu, et c’est celui qui est le moins contaminé par la vanité absolument démente qui règne

besoins sociaux croissants. L'Association est ainsi placée en équilibre fragile au milieu d'un triangle, entre trois pôles qui sont autant de mirage et que de redoutables écueils et qui sont l'institutionnalisation l'instrumentalisation et la marchandisation. L'institutionnalisation tout d'abord : pour répondre à la complexité sociale l'intervention nécessite des acteurs du terrain formé cela suppose la professionnalisation et par la même le salariat. Les réponses sociales exigent un véritable métier

❖ Dans toute l'Europe à la fin du 15e apparaît une « législation draconienne et sanglante contre le vagabondage » →Le droit va sceller l’émergence du capitalisme en interdisant droits d’usage pr favoriser le capitalisme  Marchandisation des terres ❖ Marchandisation du monde, fini l’autoproduction → Tout un ensemble d’individu ne va plus avoir de capacité de subsistance à la campagne.  Contraint d’aller vendre leur bras à la ville (ni patrimoine, ni terrain) ❖ L’expropriation des petits

nouveau graal documentaire : celui du graphe social le plus complet possible de l'humanité connectée. Notre exposé tentera de questionner le lent mais inexorable mouvement de redocumentarisation qui après avoir ouvert le processus d'indexation à la marchandisation (liens sponsorisés), après avoir paré ce même processus de vertus « sociales » (folksonomies et indexation sociale), place aujourd'hui l'homme au centre même du cycle documentaire, mais l'y place non plus comme sujet-acteur, mais comme un

prévoit l’enregistrement et la publication du brevet par l’institut national de la propriété intellectuelle (INPI). Le marché a besoin de confiance. C – Les limites de la logique marchande 1) La marchandisation des activités Nous avons assisté ces dernières décennies à la marchandisation de la société. C’est-à-dire, c’est le processus par lequel des biens et des services non-marchand (tels que le corps humain, l’école, ect…) passe dans la sphère marchande 2) Des limites Elles sont