Marcel Lagesse

QUESTION D’ENSEMBLE: Ci-contre nous sont presentés quatre extraits de textes appartenants a des romans écrits entre le 19eme et le 20eme siecle.Premierement on a “Madame Bovary” de Gustave Flaubert ,“A la recherche du temps perdu” (Tome XVII) de Marcel Proust,”La jalousie” d’Alain Robbe-Grillet, et en dernier ”L’amant” de Marguerite Duras.Les textes qu’on étudiera ont été concus pendant des époques qui ont été touchés par des courants culturels et littéraires tres variés.Cependant nous pouvons constater

façon inattendue. Ils se perdent ou semblent se perdre. Quand ils réapparaissent, ils ne sont plus les mêmes. Les deux sont des codes. Les deux sont l’essence de quelque chose qui les dépasse et à quoi ils renvoient. Le souvenir, dans l’observation de Marcel Proust, devient le le lien entre deux temps qui s’ignorent et crée ainsi un continuité qui n’existait pas auparavant. De la même manière, l’odeur constitue un lien entre celui qui l’aspire et l’objet dont elle émane. On incorpore l’odeur sans que

particulièrement rondes. Mona Lisa à l'âge de 12 ans date de 1959. Enjeux de l'oeuvre : Botero cherche ici à rajeunir la Joconde et à atténuer son côté mystérieux et intriguant, en proposant une caricature naïve de l'oeuvre de De Vinci. 3) Marcel Duchamp est un peintre né le 28 juillet 1887 et mort le 2 octobre 1968. Inventeur des ready-made (concept qui a pour but de considérer un objet trouvé comme un objet d'art), il appartient aux mouvements dadaiste et surréaliste. L.H.O.O.Q. appartient

Le narrateur, lorsqu'il ne trouve pas le sommeil, laisse vagabonder son esprit. Dès le début, on a affaire à un personnage hanté par le temps (étendu, raccourci voire aboli), par la veille, le sommeil ou le rêve éveillé durant lequel il se fond aux éléments, il recrée son propre monde où tous les sens sont en éveil : De là à imaginer le château de Guermantes comme l'allégorie du monde des Lettres. Ainsi lorsqu’il a l'heur de contempler Mme de Guermantes lors de la cérémonie du mariage de sa fille

Marcel Duchamp (1887- 1968) Marcel Duchamp est un peintre célèbre du XXème siècle, il est né le 28 Juillet 1887 en Seine Maritime. Issu d’une famille d’artistes, se sont ses frères plus âgés qui lui enseignent l’art. A partir de 1910, Marcel Duchamp influencé par Paul Cézanne ou encore Georges Braque, peint quelques œuvres sous le style du cubisme. Lorsque la Première Guerre Mondiale éclate, il se réfugie à New York, où il fait la connaissance de personnalités artistiques très importantes comme

toutes les bonnes choses ont une fin… sans que cela comporte quoi que ce soit de tragique. Jacques Ferron : « Il vaut mieux garder la nostalgie d’un paradis en le quittant que de le transformer en enfer en y restant » (Le Ciel de Québec). Exemple: Marcel Proust A la recherche du temps perdu. Dans Du côté de chez Swann, il évoque son enfance qui lui revient en souvenirs lorsqu’il mange une madeleine, ce qui renvoie à la nostalgie de l’enfance et des goûters généreux entre deux parties de jeu. Parfois

leur mal de vivre. Dans les pièces Tit-Coq et Un simple soldat la solitude est montrée par l’auteur. Par ailleurs, la solitude éprouvée par Arthur Saint-Jean dans Tit-Coq de Gratien Gélinas et celle vécue par Joseph Latour dans Un simple soldat de Marcel Dubé sont semblables. Ce sont avec la famille et les relations sociales que dépend la solitude éprouvée. La famille est un sujet qui revient fréquemment parce que la solitude des personnages dépend de leurs situations familiales. En effet, Tit-Coq

alors en Allemagne avec Enrich Maria Remarque qui publie en 1929 un roman pacifiste, A l’ouest rien de nouveau, qui contraste clairement avec l’apologie militaire que contient Orage d’acier publié par Ernst Jünger. En France, l’opinion est outrée que Marcel Proust obtienne en 1919 le prix Goncourt avec A l’ombre des jeunes filles en fleurs, devant un autre ouvrage porteur des douleurs de cette guerre. Pourtant l'esprit de paix s'installe peu à peu, une paix idéalisée que l'on voudrait réalité mais qui

« C'est là un des grands et merveilleux caractères des beaux livres (…) que par l'auteur, ils pourraient s'appeler « conclusion » et pour le lecteur « incitations ». Nous sentons très bien que notre sagesse commence où celle de l'auteur finit et nous voudrions qu'il nous donnât des réponses quand tout ce qu'il peut faire est de donner des désirs. » Proust La liberté laissée au lecteur dans son interprétation d'une œuvre est-elle le principal critère de ce qui constitue un beau livre ? I

> Le poète essaie tout d’abord de résoudre le problème de la fuite du temps de manière dialectique (= avec la seule force de son esprit) mais c’est insuffisant pour faire revivre Elvire. Il se lance alors à la recherche du « temps perdu » (de Marcel Proust) grâce au pouvoir incantatoire et puissant de la poésie. I. LA RESOLUTION DIALECTIQUE DE LA FUITE DU TEMPS 1. Constat de l’ éphémère et de l’inéluctable > On va dans une direction donnée - Temps métaphores par l ‘eau : champs