Marceau Pivert

économie dirigée, sont exclus en 1934 suite à l’Affaire Stravinsky et au retombé de février 1934. Marcel Déat rejoindra le nazisme français en 1940. Un autre courant de gauche de la SFIO, la Bataille socialiste, dirigée par Jean Zyromski et Marceau Pivert, se rapproche davantage du communiste, l’une des raisons qui pousse ce courant à se détacher de la SFIO en 1935 pour fonder la Gauche révolutionnaire qui s’inscrit quant à elle dans un syndicalisme révolutionnaire. Léon Blum reste fidèle

Juin 1936 les 1ères tensions politiques se font jour dans le majorité La PCF (M.Thorez) souhaite s’arrêter là dans les réformes, peur d’être débordé par la bas («il faut savoir arrêter une grève quand l’essentiel est acquis») Socialiste : Marceau Pivert («Tout est possible») 3) L’échec du FP a) les problèmes économiques L’échec économique la crise s’aggrave ce qui provoque 2 dévaluations de franc L Blum doit démissionner sur le refus par le sénat de lui octroyer les pleins pouvoirs

face à l’échec de cette proposition il va fonder le Parti populaire français. Des manifestations ouvrières ont aussi lieu à Bordeaux le 6 février 1934. Les socialistes et les communistes prennent conscience de l’existence du danger fasciste. Marceau Pivert et Jean Zyromski, deux socialistes, s’étaient déjà rendus compte du danger imminent. Enfin, en mai 1934 avec l’Internationale, Staline demande un front commun contre le fascisme. Le 27 juillet 1934 est signé un pacte d’union contre le fascisme

apparu en France, entre 1936 et 1938, un mouvement de chrétiens révolutionnaires qui rassemblait plusieurs milliers de militants qui soutenaient activement le mouvement ouvrier, en particulier son aile plus radicale (les socialistes de gauche de Marceau Pivert). Leur mot d’ordre principal était : « Nous sommes socialistes parce que nous sommes chrétiens »... Parmi les dirigeants et penseurs du mouvement communiste, Gramsci est probablement celui qui a manifesté le plus grand intérêt pour les questions

gouvernement et de sa politique incarné par la clique cavalienne (Taittinger, Philippe Herriot). A gauche, on a des dissensions politiques avec les socialistes avec Léon Blum qui s’oppose à une réaction énergique de la France avec notamment Marceau Pivert protestaient énergiquement contre l’attitude « provocatrice » du gouvernement français qui avait osé envoyer des troupes…dans la ligne Maginot tandis que Paul Faure dans le Journal le populaire étaye ses positions résolument pacifistes en étant

joie » : on fête la victoire électorale de la gauche, la dignité ouvrière retrouvée après une longue période de compression39. L'aile gauche de la SFIO soutient pleinement la grève générale : dans un article publié dans Le Populaire le 27 mai, Marceau Pivert presse Léon Blum de s'appuyer sur ces mouvements sociaux pour envisager une vraie conquête du pouvoir, clamant que « tout est possible ». C'est bien l'opinion de l'actuel Président du Conseil, le radical Albert Sarraut, qui invite Blum à prendre

joie » : on fête la victoire électorale de la gauche, la dignité ouvrière retrouvée après une longue période de compression39. L'aile gauche de la SFIO soutient pleinement la grève générale : dans un article publié dans Le Populaire le 27 mai, Marceau Pivert presse Léon Blum de s'appuyer sur ces mouvements sociaux pour envisager une vraie conquête du pouvoir, clamant que « tout est possible ». C'est bien l'opinion de l'actuel Président du Conseil, le radical Albert Sarraut, qui invite Blum à prendre

joie » : on fête la victoire électorale de la gauche, la dignité ouvrière retrouvée après une longue période de compression39. L'aile gauche de la SFIO soutient pleinement la grève générale : dans un article publié dans Le Populaire le 27 mai, Marceau Pivert presse Léon Blum de s'appuyer sur ces mouvements sociaux pour envisager une vraie conquête du pouvoir, clamant que « tout est possible ». C'est bien l'opinion de l'actuel Président du Conseil, le radical Albert Sarraut, qui invite Blum à prendre

quittent le parti, mais ils sont discrédités  en raison de leur complaisance envers le modèle fasciste. En contrecoup, on assiste à un gauchissement du parti et l’affirmation de deux tendances de gauche, l’une autour de Zyromski, et l’autre avec Marceau Pivert.  L’offensive de la droite et la menace fasciste, à partir du 6 février 1934, ouvrent les voies à un mouvement populaire d’ampleur, et bientôt, avec le changement d'orientation décidé par l'Internationale communiste, à l’unité d’action avec le

« tâches immédiates » faisait clairement allusion aux réformes de structure que la SFIO et le PC avaient proposé en septembre 1935 Les négociations furent d’autant plus dures qu’une fraction de la SFIO, la Gauche révolutionnaire, dirigée par Marceau Pivert, avait en octobre 35, ne comptait pas participer à un programme de réforme avec les radicaux, un programme « bourgeois ». Mais le PC tint bon sur un certain nombre de points qui pouvaient modérer les nuances des Radicaux. Voir le TD sur le