Maraîchage

d’eutrophisation). En avalle pompage abusif des eaux du lac, à partir d’une station de relevage, indique en moyenne une extraction annuelle d’eau de 2,5 à 3 Hm3 (Agence Nationale des Ressources Hydriques - 2003) pour irriguer environ 1500 hectares de maraîchage dans les terres avoisinantes (carte 3). Photos 1 à 11 : Un ensemble hydro géomorphologique côtier, et une biodiversité insérés dans une région connaissant une littoralisation accélérée 16Cette situation menace à la longue le potentiel hydrique

nouvelles relations entre les agriculteurs, les ruraux et les citadins. 1.2. L’historique de l'exploitation: 1.2.1.  Situation de départ et évènements clés: Création : 1892 : exploitation plus école : viticulture, arboriculture, maraichage, céréalier, lait, porcins, 51 ha de SAU. 1er période : 1971 à 1983 : -développement et modernisation de l’exploitation -CAP-BEP -drainage 75% parcelle -développement bovins lait : stabulation libre à logettes pour 15 vaches -pas

Réforme agraire (mwalin iblàn, shàb tuzià). On peut encore partager les propriétaires selon la taille de leurs superficies moyennant quelques nuances selon que l’on se trouve en zone irriguée ou sèche, en montagne ou en plaine, en grande culture ou en maraîchage. Ces dernières distinctions plus délicates en classes statistiques peuvent avoir souvent peu de réalité sociologique. Mais ces observations et descriptions savantes ne repéreront que très rarement des classes sociales réelles ayant conscience d’elles-mêmes

l’arachide ne s’épanouit plus dans ce que l’on appelait le bassin arachidier. En cela, nous pensons au niveau des régions de Louga, Thiès et Diourbel la priorité devrait être accordée à la mise au repos des sols, et qu’on devrait privilégier le maraîchage, les cultures vivrières et l’élevage dans sa forme intensive. Aujourd’hui, pour que la rentabilité d’une culture arachidière puisse être en mesure de permettre le remboursement d’un crédit, elle doit se faire dans les localités où, on dispose de

évolué et la modernisation est en fait extrêmement lente. La part de la paysannerie véritablement indépendante n’atteint pas les 5 % et les anciens lopins individuels continuent à assurer la moitié de la production dans des secteurs clés : élevage, maraîchage par exemple. Ces changements ont désorganisé l’économie, qui s'est rapidement effondrée dans les années 1990. Des pans entiers de l'économie russe ont connu des difficultés considérables (industrie lourde, construction mécanique.. .). Les commandes

Québec. 8 GERBRANDA, Wicki. La culture des plantes aromatiques et médicinales en bio.,2004, Éditions de Fraysse, France. 9 GROUPE DE RECHERCHE EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE (GRAB). Les techniques de désherbage utilisables en agriculture biologique, maraîchage et plantes à parfum, aromatiques et médicinales, Avril 2000, France. 10 MARIE-VICTORIN, Frère. Flore laurentienne, 1964, édition révisée par E .Rouleau, Les Presses de l’Université de Montréal, Montréal. 11 MCGUFFIN, Michael, J. KARTESZ, John

même, parfois sortie de l’estuaire (Antifer, aménagement audacieux). L’industrie n’a cependant pas fait disparaître toute activité primaire. Utilisation agricole ancienne, qui persiste. Atouts naturels et stimulants historiques. Prés-salés et maraîchage (exemple : Marais Vernier). Pêche maritime anime certains ports ligériens. Exemple. En bordure de mer, le tourisme s’est développé. Plages souvent hors estuaires, où conditions moyennes (marais, industries). Principales stations souffrent

crédit au logement ; - Importantes unités de production de matériaux de construction et un important réseau de distribution de ces matériaux. - Atouts - Agriculture - Possibilités considérables d'amélioration des rendements des cultures (maraîchage, fourrage et céréales) et de la production animale et avicole. - Pêche maritime Il s'agit d'un secteur d'avenir, qui présente un fort potentiel de croissance. Avec son capital humain très performant, la pêche maritime constitue une source

économique de l’activité. Or la pérennité du modelage des espaces par l’agriculture, qui structure les territoires et les paysages, dépend de la viabilité économique de l’activité agricole. Souvent, ces espaces, aux systèmes productifs fragiles (maraîchage, arboriculture) sont susceptibles de changer de vocation. La rentabilité moyenne des exploitations n’est souvent pas suffisante pour que l’investissement en terres cultivables agricoles soit rentable si on le compare aux profits dégagés par la vente

Saly Portudal, pittoresque village de pêcheurs toujours en activité. Ce secteur côtier est organisé autour de deux centres urbains : Mbour et Joal. Aujourd’hui, les activités traditionnellement pratiquées dans la zone (agriculture, élevage et maraîchage) se sont considérablement réduites en raison de la multiplication des hôtels et résidences privées aussi bien dans la station balnéaire de Saly qu’à ses environs immédiats. Par conséquent, les activités liées à la pêche restent la principale source