Manufacture Concentrée

Paul BAIROCH Révolution : industrielle et sozls-développeme~zt, SEDES, Paris, 1964. binaison ces de facteurs entraîne une structure concentrée qui empêche la formationd'une classe nombreuse d'entrepreneurs semblable 'à celle qui avait résulté du démarrage dans les paysdévcloppés.. Or,onretrouveau contraire à peu près ces mêmes structures faiblement concentrées dans les paysd'Amérique latine dont le processus d'indusde la trialisation adémarré à la suite crise des années 30 (3). SamirAmin (4) signaleque

bases endogènes (commerce hors Europe inférieur à 10% du commerce extérieur total de tous les pays jusqu'au XVIIIeme siècle). Le circuit commercial du croissant fertile : Problème espagnol de l'achat, via les commerçants italiens, de produits manufacturés du Nord (des Flandres notamment) contre or et produits tropicaux (grande inflation du XVIeme siècle, paradoxe de Malestroit). Stimulation de l'industrie des autres, aggravées par des politiques maladroites d'un point de vue économique (expulsion

matériel agricole, aéronautique, diésélisation… électricité avec éqpmts divers, éclairage, électroménager… + chimie. Naissent aussi de nombreux services pourvoyeurs d’emplois : Grands magasins, Tourisme, Secrétariat… = Croissance et industrialisation concentrée en Europe et Amérique du Nord. 1945-1973 = Les Trente Glorieuses, apogée de la 2° RI avec 1° diffusion vers qq rares pôles des PVD, vers l’Urss et surtout le Japon qui devient la 2° puissance mondiale à l’orée des années 80. Depuis les années 90

techniquement possible/ réalisable. Comme Regan le souligne plus tard (en 1990), « J’ai cru en la magie, et les technologues disaient que c’était faisable. » (en 1994) « Et j’y crois toujours ! » Cependant, l’équipe a perdu de vue ses objectifs et s’est concentrée sur l’automatisation du projet et la réduction du facteur humain à un minimum. Peu de temps après que Wolstenholme fut appuyé/secondé dans l’équipe de projet d’Aberdare, lui, Peters et Regan décidèrent qu’il était nécessaire de discuter avec un

surtout en direction des Etats-Unis. III- Le développement de la population urbaine 1) L’explosion urbaine De 1800 à 1914, le nombre de villes Européennes qui comptaient plus de 100 000 habitants est passé de 22 à 184. Elles sont surtout concentrées en Allemagne et en Grande-Bretagne, les pays qui ont connu le plus fort exode rural. La France et la Russie restent un peu en retrait. La France atteint son maximum (en valeur absolue) avec 26,8 millions de ruraux entre 1850 et 1860 : à partir de

capitalisme français un moteur, ou plutôt un frein ? Avant toute chose, il faut déjà discerner le vrai du faux dans le bilan colonial de la France. Marseille souligne d’abord les inconvénients de l’approche historique classique de la colonisation, trop concentrée sur des aspects politiques. Elle est aussi critiquable parce qu’elle insiste sur le faible poids des empires coloniaux dans le commerce et les investissements métropolitains avant 1914 , et néglige totalement le rôle croissant qu’ont joué les empires

révolution Meiji à partir de 1868, en est un bon exemple. L'État crée, à partir de 1872, des entreprises de grande taille: des manufactures de soie, de coton, de laine, de papier, des verreries, des cimente- ries, des entreprises de construction navale, des arsenaux et des sociétés d'exploitation minières. De sorte qu'il possède, en 1872, des entreprises de grande taille: des manufactures de soie, de coton, de laine, de papier, des verreries, des cimente- ries, des entreprises de construction navale, des

celui instituant la Communauté européenne (TCE). Ce traité devait permettre d’assurer un bon fonctionnement des institutions européennes en prévision de l’élargissement proche de l’UE aux pays d’Europe centrale et orientale. Les discussions se sont concentrées sur le poids de chaque État au sein des institutions européennes (nombre de représentants au Parlement, pondération des voix au Conseil de l’Union européenne, nombre de commissaires européens). Le système défini à Nice a abouti à une sur-représentation

richesse mondiale. Selon Wallerstein, la division actuelle du monde en centre, semi-périphérie et périphérie est une caractéristique propre du système mondial. Les pays riches ont un niveau de développement technique de haut niveau et des produits manufacturés de haute complexité, le rôle des pays pauvres quand à eux, se limite à celui d’apporter les matières premières, des produits agricoles et de la main-d’œuvre bon marché aux acteurs en croissance des pays riches. Les pays pauvres sont obligés d’exporter

cours de la même période (OMC 1998). De plus, ces pays ont fortement diversifié leurs relations commerciales du point de vue géographique et sectoriel. La part des produits manufacturés dans leurs exportations est passé de 47% en 1985 à 70% en 1998. Ils détiennent aujourd'hui 25% des exportations mondiales de produits manufacturés, contre moins de 7% au début des années 70. Ceci reflète bien la force du mouvement d'industrialisation de cette partie du monde. Graphique 1 Le mouvement