Mammographie

verre où règne un vide très poussé, un filament métallique chauffé (cathode) émet des électrons qui sont attirés et accélérés par une différence de potentiel vers l’anode, constituée d’un métal lourd (W –tungstène- le + souvent, Mo pour tubes à mammographies). L’énergie moyenne du rayonnement polyénergétique de freinage est d’autant plus élevée que l’énergie moyenne des électrons du faisceau incident est plus élevée. Dans un tube à RX conventionnel, elle est au maximun de 200Kev, mais peut atteindre

médicaments pris. A cet examen, viennent s’ajouter un bilan biologique (notamment les bilans lipidiques à la recherche d’anomalies des taux de triglycérides, cholestérol et de glycémie) et une consultation de cardiologie avec électrocardiogramme. Une mammographie est évidemment obligatoire tout comme la consultation d’anesthésie, au moins trois jours avant l’intervention. Parfois, un anxiolytique à faible dose peut être prescrit cinq jours avant l’opération en cas d’anxiété. De nombreux documents légaux

primitives les plus fréquentes chez la femme tandis que chez l’homme, ce sont les cancers bronchiques, du pancréas et de l’estomac. Lorsque la pleurésie paraît isolée, il est recommandé de limiter le bilan à un scanner thoraco-abdomino-pelvien, une mammographie et une fibroscopie bronchique. La nature néoplasique de la pleurésie peut être suspectée dès la présentation clinique. L’âge supérieur à 50 ans, le contexte d’altération de l’état général, le caractère douloureux de l’épanchement (inconstant)

secondaires tardifs*. On parle aussi d’effet indésirable. Examen d’imagerie : examen qui permet d’obtenir des images d’une partie du corps ou d’un organe. Il existe deux types d’examens d’imagerie : les examens radiologiques (radiographie*, mammographie*, échographie*, scanner*, IRM*) et les examens de médecine nucléaire (scintigraphie*, TEP*). G Effet secondaire immédiat : effet secondaire à court terme (nausées, perte de cheveux, etc.). Temporaire, il disparaît généralement après

applications de chacun des domaines traités ne sont données ici qu’à titre d’exemples. De nombreux autres cas peuvent êtres traités. La radiologie : Scoliose, angiographie cérébrale, radios de la poitrine, études du mal de dos aigu, myélographie, mammographie, trauma du genou, radios des extrémités, angiographie cervicocérébrale, radios abdominales et gastroentérologicales, choléscintigraphie, uréthrographie, ryélographie intraveineuse… Les ultrasons : Echographie de la poitrine, échographie artérielle

importante est la tomodensitométrie (TDM), qui est d'obtenir une projection informatique en trois dimensions à partir de chevauchement des coupes d'organes à étudier, produite par une mince collimaté faisceau de rayons X qui tourne autour de lui. La mammographie est une technique d'imagerie utilisée pour l'exploration de la poitrine, ce qui permet d'étudier les tissus mous avec un contraste élevé et le diagnostic des lésions mammaires bénignes et malignes, même de petites dimensions. La radiologie dentaire

hiérarchiques du pavillon d’Imagerie Médicale de l’Hôpital Central de Yaoundé Le matériel radiologique est composée de : * 02 appareils de radio X standards os poumons avec développement semi numérique et analogique * 1 appareil de mammographie avec développement analogique * 1 appareil de scanner * 1 échographe II- But et durée de l’étude 1- But de l’étude Cette étude a pour but de montrer l’importance de l’utilisation des produits de contraste dans le diagnostic

compl´ementaires qui peuvent ˆetre : – Un ou plusieurs bilan(s) : un bilan standard, s´erologique, hormonal, infectieux ou un caryotype. – Une exploration : une hyst´eroscopie, une cœlioscopie, une hyst´erographie ou un spermogramme. – Une radiologie : mammographie, radio-thorax, etc. – Une ´echographie : ´echographie mammaire, ´echographie gyn´ecologique, ´echographie morphologique, etc. Figure 6: M´ etamod` ele repr´ esentant la gestion des examens compl´ ementaires 3.3 Architecture Client/serveur

cancer du sein étant responsable de plus de 11 000 décès annuels (1). Depuis 1990, l’incidence des carcinomes mammaires augmente mais la mortalité tend à diminuer. Une hypothèse pour expliquer cette tendance est le développement du dépistage par mammographie et donc la découverte de lésions à des stades précoces (2). 2. FACTEURS DE RISQUE Les causes exactes des cancers du sein restent inconnues, mais des facteurs génétiques et environnementaux contribuent à leur développement. a) Facteurs

familiaux (notion de fibrome), personnels médicaux, chirurgicaux, gynécologiques (infertilité, THS, Contraception hormonale) et obstétricaux (FCS à répétition). Examen clinique On appréciera : - L'état général ( anémie), - L'examen de seins (+/- mammographie), - L'examen de l'abdomen (masse abdomino-pelvienne) et des fosses lombaires. - L'examen gynécologique : - Sous spéculum => état du col +/- FCV, prolapsus ou IUE masqué, - Toucher vaginal => volume de l'utérus, déformation par des fibromes multiples