Malédiction De La Famille De Thèbes

porte ce nom pour Labdacos qui était le roi de Thèbes. Les Labdacides furent voués à un destin tragique à cause d'une malédiction qui frappa Laïos, fils de Labdacos et père d’Oedipe. avant de devenir roi de Thèbes, Laïos, en exil au royaume de Pise tomba amoureux du jeune fils de son hôte, le roi Pélops et l'enleva. Cet acte provoqua la colère de la déesse Héra et entraîna une longue série de drames, qui marqueront le destin d'Oedipe et de toute sa famille. Ses parent proche sont : Labdacos, Laïos, Jocaste

Delphes et apprend avec épouvante qu'il tuera son père et épousera sa mère. Pour fuir son destin, il quitte Corinthe et se rend à Thèbes. Sur la route, il croise l'équipage d'un cortège et une altercation se produit alors : durant celle ci, il tue un vieillard inconnu. Ce vieillard est en réalité son père, Laïos, mais Œdipe ne l'apprendra que plus tard. Lorsqu'il arrive à Thèbes, un double malheur vient de se produire : en effet, le roi vient d'être assassiné. En plus de cela, le pays est bouleversé par

de la décision des dieux dans la conduite des affaires humaines, notamment à travers le sort militaire, ou la malédiction familiale (dans le cas de Thèbes et des Atrides notamment). La vie d'Eschyle est très mal connue4. Né d'un certain Euphorion5, vers 525 av. J.-C., à Éleusis en Attique, ville des mystères en l'honneur de Déméter auxquels il est initié, il appartient à une grande famille athénienne. Il est témoin dans sa jeunesse de la fin de la tyrannie des Pisistratides à Athènes6. Contemporain

roi tsongor Dans une Antiquité imaginaire, le vieux Tsongor, roi de Massaba, souverain d'un empire immense, s'apprête à marier sa fille. Mais au jour des fiançailles, un deuxième prétendant surgit. La guerre éclate : c'est Troie assiégée, c'est Thèbes livrée à la haine. Le monarque s'éteint ; son plus jeune fils s'en va parcourir le continent pour édifier sept tombeaux à l'image de ce que fut le vénéré -et aussi le haïssable -roi Tsongor. Roman des origines, récit épique et initiatique, le livre

d’y ajouter la règle des trois unités, c’est-à-dire :l’unité d’action (une seule intrigue principale, pas d’intrigue secondaire), l’unité de temps (l’action de déroule en vingt-quatre heures) ainsi que l’unité de lieu (Espace unique, ici palais de Thèbes). Afin de ne pas choquer les spectateurs, la règle de la bienséance m’a permis de ne pas faire de violence ou de morts sur scène. Il est vrai que j’ai modifié quelque peu la pièce d’origine en remplaçant le chœur par des confidents ou en focalisant

voie moyenne entre deux exigences aussi défendables et aussi mortelles, dans leur obstination, l'une que l'autre.  Structure de la pièce : Anouilh a repris le cadre général de la pièce de Sophocle. Le rideau s'ouvre au petit matin sur la ville de Thèbes, juste après la proclamation du décret de Créon, au sujet duquel Antigone s'oppose à sa sœur Ismène. Créon apprend d'un garde que le corps de Polynice a reçu les hommages funèbres, puis voit Antigone amenée devant lui et la condamne à mort. Hémon

des concepts et des idéaux ou bien des croyances religieuses. Ces personnages accomplissent donc des actions dont la valeur est symbolique et qui permet d'exposer une doctrine. Le mythe d'Œdipe et sa famille : Œdipe, roi de Thèbes, et fils de Laïos et de Jocaste, roi et reine de Thèbes, a son avenir prédit par un oracle avant sa naissance. Son destin prédit est de tuer son père et d'épouser sa mère. Pour échapper à ce destin, son père Laïos ordonne d'abandonner Œdipe dans la montagne mais

lui donne son nom: qui signifie « celui qui a les pieds enflés ». Puis Oedipe, on allant consulté Apollon, apprend qu'il est maudit et pour se défaire de sa malédiction, quitte sa famille et en chemin, il rencontre un homme et ses serviteurs, pensant que c'est des voleurs, il tue l'homme qui, en fait est son père. Lorsqu'il arrive à Thèbes (le ville que l'ont voit au fond du tableau, il est confronté au sphinx qui assiège la ville. Et le sphinx lui pose une énigme: « Qu'est-ce qui marche à quatre

tragédie » signifie « chant du bouc », chant choral en l’honneur du dieu et à l’animal sacrifié (vertu cathartique du bouc émissaire). A ce culte de Dionysos se sont greffés des récits populaires, des mythes connus, notamment l’histoire des deux grandes familles royales, les Atrides et les Labdacides. Du culturel sur du cultuel. L’originalité des tragédies grecques ne réside pas dans les sujets de ses fables, archiconnues de tous, mais dans la manière de transcrire théâtralement l’épopée d’origine à travers

d’un banquet. (p.39) 8Argument d’Horace de Corneille : lors de la guerre opposant Rome à Albe, une cité rivale, un combat est organisé entre trois frères romains, les Horaces, contre trois Albains, les frères Curiaces. Ironie du sort, les deux familles sont liées, puisque l’un des Horaces est marié à Sabine, une Curiace, tandis que Camille, sœur d’Horace, est fiancée à l’un des Curiaces. (p.42) 9Dans la scène 5 de l’acte IV d’Horace de Corneille, la progression de la violence aboutit au meurtre