Maloya

l'objectif. *ambiance musicale Une sélection musicale de toutes origines et de toutes époques vient agrémenter l'ambiance décontractée du Kabarhum®. Le son est réglé pour ne pas fatiguer l'oreille, les morceaux flirtent entre rock, soul, salsa, Jazz, maloya, reggae. Pas d'exclusive, un éclectisme musical tant dans les années que dans les genres, pour partager des bons moments, pour réveiller les meilleurs souvenirs.

mélanges inédits, leurs langues formant le créole réunionnais, leurs religions se rencontrant autour d'un syncrétisme original, leurs gastronomies nourrissant ensemble la cuisine réunionnaise et leurs musiques fusionnant pour donner le séga et le maloya. Ce métissage original est considéré comme un atout essentiel pour le premier secteur économique de l'île : l'industrie touristique locale, à qui elle doit son surnom d'Île intense.

mélanges inédits, leurs langues formant le créole réunionnais, leurs religions se rencontrant autour d'un syncrétisme original, leurs gastronomies nourrissant ensemble la cuisine réunionnaise et leurs musiques fusionnant pour donner le séga et le maloya. Ce métissage original est considéré comme un atout essentiel pour le premier secteur économique de l'île : l'industrie touristique locale, à qui elle doit son surnom d'Île intense.

mélanges inédits, leurs langues formant le créole réunionnais, leurs religions se rencontrant autour d'un syncrétisme original, leurs gastronomies nourrissant ensemble la cuisine réunionnaise et leurs musiques fusionnant pour donner le séga et le maloya. Ce métissage original est considéré comme un atout essentiel pour le premier secteur économique de l'île : l'industrie touristique locale, à qui elle doit son surnom d'Île intense.

marque, comme autant de signes extérieurs de réussite économique, etc. Si les interdits placés sur des spécificités culturelles locales ont disparu, la dénégation du particularisme réunionnais est encore souvent une réalité. Si la musique (et la danse) maloya, par exemple, n’est plus considérée comme une activité subversive de l’ordre social, et n’est plus interdite dans l’île comme il y a encore une trentaine d’années (cette expression artistique est même, nous le verrons plus loin, désormais valorisée

(Camille Sudre) par recours du CSA au préfet (Télé Freedom émettait clandestinement), des émeutes éclatèrent car c'était, à l'époque, le seul média et moyen d'expression libre, qui diffusait des films d'arts martiaux, des films pornographiques et le maloya. https://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:edTkBQLHKwQJ:www.ccee.re/IMG/pdf/RAPPORT_AUDIOVISUEL_201010_adopte_20101020.pdf+&hl=fr&pid=bl&srcid=ADGEESgSp7BQucSvUt615leXFGeAVR50q3JpPMPKqGJbDCnInQTccmo5B1cn-P8wwIWOhV0RzQxMh6QL4B3

à celui de la métropole. L’opposition politique gaulliste /communiste se renforce et ceux-ci dans la revendication autonomiste vont poser la question identitaire de la Réunion en mettant l’accent sur le créole ou la musique réunionnaise surtout le maloya considéré comme la musique des esclaves. A) le rattrapage (par rapport à la métropole) Il se manifeste dans beaucoup de domaines 1) les infrastructures : c’est l’époque des « grands chantiers » : Internes :route en corniche terminée en

L’Ile de la Réunion a une histoire récente. Ce sont les occidentaux qui la colonisèrent au XV eme siècle. La culture réunionnaise provient des esclaves qui ont peuplé l’île et du métissage qui s’en suivi. Il en découle une musique comme le séga ou le maloya et un langage parlé : le créole 2) LA FAUNE : a) les poissons : Sur le côté ouest et sud de l’île, bien protégé par la barrière de corail, on trouve le lagon. Dans ce lagon se développent beaucoup de poissons tropicaux. Par exemple : le papillon

avec fɛ · ni ... ye · ye avec soin nɛmɛnɛmɛ avenir sini avertir lasɔmi avertissement lasɔmili aveugle fiyentɔ avion pankurun · awiyɔn avocat (justice) awoka avoir bɛ ... fɛ · bɛ ... bolo avoir du chagrin hami avoir honte maloya avoir lieu jɔ̀ avoir l'habitude de deli avoir peur siran · jɔrɛ avortement kɔnɔtiɲɛ avouer jɔ̀ avril awirili · awirilikalo

Vic Moan ailleurs, ou encore un bien dru « chœurs des femmes à barbes de Paris » composé de Jeanne Cherhal, Olivia Ruiz et Nina Morato. Et aussi, capturé sur ses terres réunionnaises, ce vieux lion sage de Danyel Waro qui a accepté d’improviser un maloya déchirant sur Dis-moi que tu ne pleure pas, miroir de ce Tell me that you don’t cry croisé plus tôt dans l’album. Emily Loizeau, qui se décrit volontiers comme « une mélancolique de l’enfance », sans nostalgie, mais comme empourprée de cette tendresse