Malone Meurt

vous croyez ? – Pas vous ? – Disons que c’est possible mais l’affaire ne me semble pas encore claire. – Pas claire ? Si ça n’est pas clair, qu’est-ce qui peut l’être ? Voilà un jeune homme qui apprend brusquement que, si un certain homme plus âgé meurt, il héritera d’une fortune. Que fait-il ? Il ne dit rien à personne mais il invente un prétexte quelconque pour sortir et voir son client ce soir-là. Il attend jusqu’à ce que la seule personne de la maison soit au lit et, dans la solitude d’une chambre

spores du bacille du charbon utilisées dans les courriers incriminés proviennent de la même souche, et qu'elles étaient très concentrées dans les poudres contenues dans les courriers. 31 octobre 2001 Une femme, employée dans un hôpital de New York, meurt du charbon sans qu'on puisse découvrir l'origine de son infection. 6 novembre 2001 Les équipes de spécialistes qui recherchent l'origine de la souche d'anthrax utilisée estiment qu’elle possède les mêmes qualités que celles généralement associées

tabac. ELÏPOPHAK{Ë} adj. délicieux (pour les liquides) : Okï elïpophak Boisson délicieuse. -ELÏK{U} (tëlïkhe) v. tuer à main nue, attaquer : Ëwelïkjai Tu le tues ; Ëwelïktëi Vous le tuez/Vous l’attaquez ; Helïkë! Attaquons ! ELÏKUPÏNME n. celui qui ne meurt pas. (Celui qui, lors des attaques, arrivait à s’échapper.) (arch.). Cf. -emïneka. ELO n. euro (empr. fr.) : Tapsik sin? Tin elo Combien ça coûte ? Dix euros. ELOPA N. résine : Wapa elopa Résine du wapa. Cf. wapa. ELOSE n. onze (empr. aluku ?). ELUWA

d’attendre que je dise quelque chose. Je lui réponds par un sourire de sphinx. — Salut, dis-je d’une voix mielleuse. — Salut. Tu te sens comment ? Ses yeux pétillent d’humour. — Bien, merci. Et toi ? — En pleine forme, mademoiselle Steele. Il meurt d’envie que je lui demande ma culotte, ça crève les yeux. — Tiens, je ne pensais pas que tu étais un fan de Sinatra. Il hausse les sourcils. — J’ai des goûts éclectiques, mademoiselle Steele, murmure-t-il. Il s’approche de moi comme une panthère

d'attendre que je dise quelque chose. Je lui réponds par un sourire de sphinx. — Salut, dis-je d'une voix mielleuse. — Salut. Tu te sens comment ? Ses yeux pétillent d'humour. — Bien, merci. Et toi ? — En pleine forme, mademoiselle Steele. Il meurt d'envie que je lui demande ma culotte, ça crève les yeux. — Tiens, je ne pensais pas que tu étais un fan de Sinatra. Il hausse les sourcils. — J'ai des goûts éclectiques, mademoiselle Steele, murmure-t-il. Il s'approche de moi comme une panthère

l'air d'attendre que je dise quelque chose. Je lui réponds par un sourire de sphinx. — Salut, dis-je d'une voix mielleuse. — Salut. Tu te sens comment ? Ses yeux pétillent d'humour. — Bien, merci. Et toi ? — En pleine forme, mademoiselle Steele. Il meurt d'envie que je lui demande ma culotte, ça crève les yeux. — Tiens, je ne pensais pas que tu étais un fan de Sinatra. Il hausse les sourcils. — J'ai des goûts éclectiques, mademoiselle Steele, murmure-t-il. Il s'approche de moi comme une panthère. Son

l'air d'attendre que je dise quelque chose. Je lui réponds par un sourire de sphinx. — Salut, dis-je d'une voix mielleuse. — Salut. Tu te sens comment ? Ses yeux pétillent d'humour. — Bien, merci. Et toi ? — En pleine forme, mademoiselle Steele. Il meurt d'envie que je lui demande ma culotte, ça crève les yeux. — Tiens, je ne pensais pas que tu étais un fan de Sinatra. Il hausse les sourcils. — J'ai des goûts éclectiques, mademoiselle Steele, murmure-t-il. Il s'approche de moi comme une panthère. Son

d'attendre que je dise quelque chose. Je lui réponds par un sourire de sphinx. — Salut, dis-je d'une voix mielleuse. — Salut. Tu te sens comment ? Ses yeux pétillent d'humour. — Bien, merci. Et toi ? — En pleine forme, mademoiselle Steele. Il meurt d'envie que je lui demande ma culotte, ça crève les yeux. — Tiens, je ne pensais pas que tu étais un fan de Sinatra. Il hausse les sourcils. — J'ai des goûts éclectiques, mademoiselle Steele, murmure-t-il. Il s'approche de moi comme une panthère

sommes partis pour des lieux différents, nous avons dérivé loin l’un de l’autre. Il n’y a là rien de très étrange, me semble-t-il. Nos vies nous emportent selon des modes que nous ne pouvons maîtriser, et presque rien ne nous reste. Ce presque rien meurt avec nous et la mort est quelque chose qui nous arrive chaque jour. Voilà sept ans en novembre que j’ai reçu une lettre d’une femme nommée Sophie Fanshawe. « Vous ne me connaissez pas », commençait sa missive, « et je m’excuse de vous écrire

‘massification’ (the pressure and willingness to conform), an altogether more generalized concept entirely in keeping with his preoccupation with the individual as a victim. Bérenger, who is potentially as ‘massifiable’ as anyone else, reappears in Le Roi se meurt (1962) which strikes a more personal note in this account of how he faces death by disintegration. Here is the misère but also the grandeur of man who is rescued by no God. Ionesco put even more of himself in his later work – his family, his health