Malediction Des Atrides

l’expression de la douleur, se transforme cependant en message d’espoir dans l’homme ainsi qu’en une réflexion sur la Tragédie. Ce message n’est qu’éphémère, puisque bientôt, au réveil d’Oreste, la tragédie reprendra ses droits et la malédiction qui pèse sur les Atrides n’aura de cesse de se réaliser. Commentaire composé scène d’exposition d’Electre de Jean Giraudoux IINTRODUCTION : Electre appartient à ces histoires que l’on appelle « mythes » parce qu’elles relatent des faits imaginaires non

acquittement. C'est par ce pardon que s'acheva la tragique destinée des Atrides. Certains disent que c'est à la suite de ce procès que les Érinyes acceptèrent de jouer un rôle différent, celui de gardiennes de la justice, et qu'elles prirent le nom d'Euménides. Leur culte était surtout célébré à Athènes. Elles reçurent individuellement les noms de Alecto, Tisiphone et Mégère. Atrides C'est l'histoire d'une famille, que la malédiction qui poursuivit tous ses membres rendit célèbre. Elle inspira bien

l'interprétation de la funeste prédiction de l'oracle a pu être faussée. La répétition du nom "ciel"v.3 avec l'adjectif "juste" renforce l'argument de Clytemnestre qui persuade alors à son mari que le destin de l'innocente Iphigénie ne peut être une malédiction causée par les dieux. De plus, Clytemnestre attire la pitié car elle semble impuissante face à l'injustice que subit sa fille. En effet, alors que Iphigénie est caractérisée par "l'innocence" v.4 et par le nom "victime" v.9, Clytemnestre accuse

Séverine qui devient sa maîtresse. Flore les surprends et créé alors un accident sur la ligne puis se suicide. Jacques et Séverine s'enfuient mais celui-ci l'égorge. Il finit par mourir sous son train. * La malédiction des Macquart se rapproche de celle des Atrides : Le destin des Atrides est marqué par le meurtre, le parricide, l'infanticide et l'inceste. Atrée et Thyeste sont deux frères ayant tués leurs demi-frère et se battant pour le trône. Thyeste vole la toison d'or mais Atrée parviens

Mytho Dans la mythologie grecque, Pélops , fils de Tantale et Dioné (ou d'Euryanassa selon les auteurs), fut l'ancêtre des Atrides à Mycènes et donna son nom au Péloponnèse. Il fut aussi l'éromène (l'amant) de Poséidon1. Son père le découpa en morceaux et le servit en ragout au cours d'un festin offert aux dieux. Ils se rendirent immédiatement compte de la terrible nature de cette nourriture à l'exception toutefois de Déméter toujours fortement troublée par la disparition de sa fille mangea une

commencements » Il y a différents types de mythes : -Cosmogoniques (création de l’univers) -Théogoniques (apparition des premiers Dieux) -Antrogoniques (création des hommes) Electre appartient à la famille des Atrides (la deuxième grande famille est celle d’Antigone, les Labdacides) Tout vient d’une malédiction : Tantale a commit le pêché d’ubris (orgueil) car il a donné son fils Pélops à manger aux Dieux. Ceux-ci ont maudit Tantale et ses descendants. La souffrance va se faire ressentir dès la génération

 *Questionnaire sur le théâtre : 2°8 * 1) Quelles sont les origines de la tragédie classique ? Quels auteurs ont inspiré Corneille et Racine ? 2) Qu’appelle-t-on « la malédiction des Atrides » ? 3) Quel schéma tragique structure la tragédie Andromaque de Racine ? 4) Quels sont les 2 ressorts du tragique selon Aristote et Boileau dans leur Art Poétique ? 5) Qu’appelle-t-on la règle des 3 unités ? 6) Quelle est l’origine de la comédie classique ? Quels

une imploration, une supplication (« Au nom des dieux »). Électre supplie l'étranger de lui remettre l'urne qui contient les cendres de son frère. Cette requête va déjà permettre d'exprimer la souffrance présente et passée qui rappelle la malédiction des Atrides, « en serrant sa cendre contre [son] cœur, [Électre] pleure et gémit à la fois sur [elle]-même et sur toute sa race. A partir de là, le chant funèbre peut débuter. Un « lamento » commence toujours par le nom de celui qui est pleuré, ici Oreste

perpétrant ce crime sur son frère, Egisthe, tout comme Clytemnestre, s’est souillé, car il a déversé le sang de son frère. Or, selon la rhétorique du sang » la souillure entraîne le loimos, autrement dit le fléau qui peut-être assimilé à la malédiction des Atride. Alors, est amorcé l’engrenage qui attend un rétablissement de l’ordre premier. Le temps est alors arrêté puisque ceux qui sont souillés, sensés être bannis de la Cité sont au pouvoir, et toute action dans cette tragédie est mûrie à travers

faibles. Antoine Adam dit aussi que les personnages sont entrainés par les fatalités de leur sang. Il est vrai que pour Oreste, son destin est écrit dans ses gênes car faisant parti de la famille des Atrides il ne peut qu’hériter d’un destin malheureux, il est victime de la malédiction des Atrides et écope alors d’une folie externe mais aussi interne. Pour les autres personnages cela est différent, ils sont victimes d’une fatalité humaine, interne. En effet, ils sont victimes de leur passion. Celle-ci