Maladie inflammatoire chronique de l'intestin

maximum étant de formes oxydées [1-4]. Le cholestérol a acquis une mauvaise réputation depuis de nombreuses années en raison de la forte corrélation de la consommation de cholestérol et de cholestérol plasmatique total (CT) avec l'incidence de la maladie coronarienne. Le cholestérol et les phytostérols sont sensibles à l'oxydation pen-ment le traitement thermique des aliments. Plus de 30 flics ont été rapportés [5] et de leurs effets néfastes, notamment la cytotoxicité [6], l'athérosclérose [7], la

de la personne. C’est ainsi que certaines personnes trouvent refuge dans la nourriture, et un cercle vicieux apparaît. Chapitre III : les complications : - Diabète non insulinodépendant : type 2 - Maladies cardiaques - Hypertension artérielle - Cancer de l’intestin - Cancer du sein - Autres : cholestérol, apnée du sommeil, arthrose, infertilité, insuffisance veineuse, reflux gastro-oesophagien, incontinence urinaire. - Les principaux risques : III.1. DIABETE

études prospectives et épidémiologiques ont démontré qu’une consommation élevée de légumes et de fruits diminuait le risque de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques. Plus spécifiquement, des études indiquent que la consommation de légumes de la famille des alliacées (oignon, ail, échalote, ciboulette, oignon vert, poireau) pourrait avoir un effet protecteur contre les cancers de l’estomac et de l’intestin. Jusqu’à maintenant, les données sont insuffisantes pour établir un lien avec d’autres types

(Salmonella responsables des gastro-entérites). b) bactéries entérotoxiques : syndrome cholériforme. La toxine peut être ingérée avec un aliment (Staphylococcus aureus, Clostridium botulinum) ou le plus souvent sécrétée sur place au niveau de l’intestin grèle. Les souches bactériennes adhèrent à la muqueuse, se multiplient sans pénétrer dans les cellules et élaborent des toxines qui provoquent sur les entérocytes des altérations fonctionnelles réversibles et transitoires, sans modifications

celui-ci ne reconnaît plus la carte d’identité, on assiste à la destruction de cellules saines = maladies auto-immunes. Exemple : sclérose en plaques, diabète de type 1, le lupus (masque de loup), les thyroïdites auto-immunes, la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, le syndrome de Goujerot-Sjögren, la maladie de Cröhn… 3. Maladies auto-immunes 3 types d’éléments déclencheurs de ces maladies  1) Changement dans la structure de ces auto-antigènes (protéines qui déterminent notre soi » :

d’ADRs 5- Découverte d’événements indésirables induits par les nouveaux médicaments chez les humains a. Fréquence relative des événements reliés et non reliés aux Rx b. Mécanisme de toxicité induite par les Rx c. Échantillon requis pour détecter les maladies induites par Rx d. Méthodes d’évaluation des ADRs 6- Déclaration des ADRs à Canada Vigilance 3 Cas de réaction adverse Une femme de 48 ans a développé une infection urinaire causée par un micro-organisme sensible à la ciprofloxacine. Son

utile pour sauver un rein dont l’abouchement normal dans l’aorte est menacé d’obstruction. Ce type de transplantation "isogénique" ne soulève que des problèmes chirurgicaux. Il peut encore s’agir, dans le cadre d’une intensification thérapeutique de maladies malignes, d’une injection de cellules souches hématopoïétiques autologues de la moelle osseuse ou du sang périphérique, prélevées et retransfusées chez le malade après congélation et cryopréservation. L’allogreffe est une transplantation entre

irritant altèrent les bronches. L'ammoniac (qui sert en principe à la fabrication d'engrais chimiques) diminue la résistance aux maladies virales et peut aggraver les infections respiratoires chroniques. Chacune de ces substances nuisent fortement a la santé humaine, réunies dans la fumée de la cigarette, elles peuvent endommager l'organisme et provoquer des maladies attribuables au tabagisme et même qui peuvent mener jusqu'à la mort. La dépendance correspond à la perte du contrôle de la consommation

-Mycrobactéries : M.tuberculosis = agent tuberculose, M.leprae= agent de la lèpre. -Chlamydiae : C.trachomatis=MST, C.pneumoniae=pneumonie. -Mycoplasmes et ureaplasmes : M.pneumoniae=pneumonie, et M.genitalium et M.hominis=MST. -Spirochètes : Borrelia= maladie de Lyme, et Treponemes= syphilis. 7) Diagnostics : direct : coloration de Gram observée au microscope (prélèvement dans du pue ou des urines). -Culture : à partir de prélèvements cliniques que l’on met en culture durant 48h. -Biologie

considérer comme une affirmation absolue. Et soyons clairs, les auteurs avertissent que l’Aloe Vera, ainsi que les autres produits décrits dans ce support, ne doivent en aucun cas être comparés à des « remèdes miracles » permettant de guérir des maladies aussi grave que le cancer, le sida ou encore la sclérose en plaques, etc.… Les sources utilisées pour l’élaboration de ce document font état de soulagements ou de stabilisations possibles ; tout ceci a été consigné ici sans plus de prétentions. Néanmoins