Majorité absolue

une dizaine de Partis Politiques qui sont représentés mais aucun n’est dominant pour faire une majorité en ralliant d’autres partis. PC : 20 à 25% des suffrages depuis 1946 qui se situe toujours dans l’opposition. MRP (centre droite), SFIO, mais aussi radicaux socialistes, républicains sociaux (gaulliste : RPF. opposition), rassemblement des gauches républicaines (centristes). Pour former une majorité, il faut une coalition. En 1958, il y a les radicaux socialistes, quelques gaullistes, la SFIO et

peuple que va se développer l’ensemble des éléments relatifs à l’organisation des élections et donc apparaitre les différents modes de scrutins. L’origine des modes de scrutin set donc très ancienne. Le premier fut le scrutin majoritaire (majorité relative puis absolue) puis proportionnel dans la recherche de plus de démocratie et enfin le scrutin mixte dans les démocraties contemporaine. Les effets des modes de scrutin dépassent la seule répartition des sièges. Il joue un rôle plus ou moins positif

eux-mêmes en définissant ce qu'ils estiment être l'intérêt et la volonté des citoyens) et le mandat collectif (un seul député qui ne représente pas les élections de sa circonscription mais la nation toute entière). La remise en cause de la monarchie absolue au milieu du XVIIIe siècle en France s'accompagne de l'idée que le peuple doit exercer le pouvoir. Pour autant, cet exercice direct du pouvoir par le peuple a quelques inconvénients : le désintérêt des citoyens et leur incompétence pour statuer sur

éléments de proportionnalités. La majorité stable est garantie par la prise en compte des votes dès le premier tour : si une liste obtient plus de la majorité des suffrages exprimés, la moitié des sièges lui est d’abord attribuée, le reste des sièges est ensuite réparti à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne entre cette liste et les autres listes, à condition qu’elles aient obtenu au moins 5% des suffrages. Si aucune des liste n’a obtenue la majorité des suffrages exprimés au premier

pouvons nous demander si la menace qui pèse sur l’affranchissement de l’individu ultra moderne, ne repose pas sur une application poussée à l’extrême des principes démocratiques modernes. B. La démocratie ultra moderne ou la tyrannie de la majorité Depuis l’Epoque médiévale se façonne une idée moderne de la démocratie. Cette dernière semble faire naturellement partie de la culture de la modernité dans la mesure où les Lumières se sont intéressés à la notion d’individu. Cependant si au

démocraties occidentales en général. Son œuvre a depuis peu une influence considérable sur le libéralisme et la pensée politique, au même titre que Hobbes, Montesquieu et Rousseau. Il n’emploie que l’observation directe, et l'on peut constater le manque absolu de comparaisons historiques est l’une de ses lacunes. L’entreprise originale de Tocqueville a donc été de considérer la démocratie comme un objet, non de démonstration, mais d’observation. Tocqueville face à l'instabilité institutionnelle, à

le rôle des parlemantaires sous la Ve République, étaient les suivants : " Quand tu es dans l'opposition tu ne peux pas l'ouvrir, et quand tu es dans la majorité, on te demande la fermer" . Qu'en pensez vous? La formule repose sur le fait que l'opposition, au sein du parlement, n'a pas la possibilité de contester, et que concernant la majorité parlementaire, les moyens de contester seraient présents, mais que la pression exercée sur celle-ci la contraint fortement à ne pas protester . Cela amène

Velléité : Intention peu ferme, qui n’est pas suivie d’une décision ou d’un acte réel. Avoir des velléités de travailler. Salvatrice Piétaille Brisis Quai d’Orsay Exhumer Turpitude Mortifère Repenti Majorité absolue Majorité qualifiée Majorité relative Triumvirat Anthropique Ineptie In situ Taylorisme De tout acabit = de toute sorte Châtiés Exégèse Pallier de gouvernement = ordre de gouvernement Anosmatique Province = pro victis = pour

le bonheur de l’homme : « …le développement le plus large et le plus harmonieux de toutes ses facultés en un tout complet et cohérent. »[4] La démocratie amène son lot de problèmes et le plus sérieux est sûrement, pour Mill, la tyrannie de la majorité / la tyrannie de l'opinion publique. Lorsque le gouvernement est représentatif, le peuple n’a plus à se prémunir contre lui. Le problème change de source, c’est maintenant de la société que les individus doivent se protéger: « Se protéger contre

président de la rpéublique est élu à la majorité absolue des suffrages exprimés ». Majorité absolue : il a fallut organiser les elections de façons à ce qu'on puisse etre sur que le candidat ait été élu à 50% +1 voix. Il a fallu combiner la pluralité des candidature, en les limitant (grace au parainage), avec la majorité absolue. On a donc organisé une éléction a deux tours. Au premier tour, il est très improbable que l'un des candidats ait à lui seule la majorité absolue, d'où la necessité de prévoir un