Maison de la Mutualité

certaines prestations et ils tiennent à garder leurs avantages. Ils demandent alors la mise en place d'un plafond de cotisation. Le plafond s'applique à l'assiette du salaire. 2- les résistances quant aux modalités de gestion C'est d'une part la mutualité qui va revendiquer la gestion des caisses. Les sociétés de secours mutuel qui n'entendent pas se faire éjecter du système veulent gérer les caisses de sécurité sociale. D'autre part la CFDT souhaite attribuer la gestion de la branche famille à

spécifique. C’est un secteur en plein développement qui aujourd’hui se banalise. (Une simple carte MASTERCARD ou VISA offre les mêmes garanties). LES MUTUELLES. Les mutuelles, elles, ne relèvent pas du Codes des Assurances mais du Code de la Mutualité. Ce sont des organismes à but non lucratif. Elles reposent sur une mutualisation des risques qui s’opèrent généralement au sein d’une même collectivité de travail, ou socioprofessionnel. Par exemple, toute profession ou toute catégorie peuvent se

opère en tant que banque de détail et banque d’investissement. La Société générale marocaine de Banques était souvent désigner sous l'acronyme SGMB. La banque porte aujourd'hui le nom de Société générale Maroc, pour se rapprocher plus du nom de sa maison mère, le Groupe Société générale, un des plus grands groupes bancaires de la zone euro. Elle occupe une place de choix dans le paysage bancaire marocain : -4ème banque privée et 1ère banque avec un actionnaire de référence international

- a constitué autour de lui un "patrimoine" individuel exposé à la perte et à la ruine : maison, voiture, biens matériels, compte en banque…

voie de développement comme le Maroc, l’assurance tient une importance particulière dans le processus d’expansion économique générale. 3- Rôle international : L’assurance implique le groupement d’une multitude de risque au sein d’une même mutualité et plus les risques sont disséminés, plus la stabilité des entreprises est grande et la sécurité des assurés et sauvegardée. Ce qui a nécessitait l’intervention de la réassurance qui ne peu s’imaginer que dans un contexte international et qui

rnevire Résidence dep. H EL LACRET CHARs M N MAISOER ARTI DE QU BIOUX DE Ru 13:46 13:47 13:48 13:49 14:36 15:05 15:54 Rue Tou Allée BraquG. e 12:24 12:26 13:18 13:20 a CHE LA RO g ÉP ita n Collège rd un N.-D. es Vign des M. Cité Admi. Mutualité sociale et agricole CAF IUFM S INOCHE AU C TE PLACERABMBU DE LA RA BARRE AU G N MBUTE Coupée Théâtre 1 12:22 13:16 du V a llo n R . d e B o urgo Coll. Pasteur ROCC rA RITA ri PAIX SQUARE HÉDE Av. d LA leu u Gendarmerie UPÉE e LA CO

nourriture, un vêtement convenable et un genre de vie qui ne soit pas contraire à sa santé" (L'Esprit des Lois). Des idées-force émergent des cahiers de doléances qui sont l'expression populaire des besoins : • l'administration des hôpitaux et des maisons de charité par l'Etat, • la médecine et hôpital gratuit pour les pauvres, l'instauration de pensions pour les vieillards, les pères de famille nombreuse, les infirmes. L'assistance : un devoir de santé Le Comité de Santé présidé par La Rochefoucault-Liancourt

Présentation du crédit populaire du Maroc Section 1 : Historique Tout a commencé le 25 mai 1926, quand le Dahir portant sur la création du modèle organisationnel de la Banque Populaire a été adopté. Fondées dès le départ sur les bases de mutualité et de coopération qui font toute leur particularité, les premières Banques Populaires à vocation régionale ont vu le jour dès la fin des années 1920. Avec l’avènement de l’indépendance, la Banque Populaire est appelée à devenir le noyau dur de ce

bazar qui baptisa les premières collections du couturier du terme de « new look » et les popularisa auprès des lectrices et clientes américaines au tournant des années 1940-1950. Une frénésie de création marque cette période. Ainsi comptait-on 106 maisons pouvant se prévaloir du label « haute couture » à la fin des années 1940. Ces années marquent, également, l’explosion véritable de l’industrie du parfum, laquelle acquit son autonomie, par rapport à la haute couture. À quelques exceptions, la tendance

les paysans d'un village pour une exploitation en commun des champs et du bétail. Les participants sont payés en nature et en argent selon le travail fourni (l'État contrôle la production, un fonctionnaire de l'État dirige). Ils peuvent posséder une maison, un coin de terre, un bétail individuel et de la volaille. Le sovkhoze exploite les terres nouvellement conquises à l'agriculture : c'est une ferme d'État qui sert d'exploitation - pilote où on expérimente continuellement de nouvelles