Maelstrom

s’était arrêté dans son travail. Mais un mot, vingt fois répété, un mot terrible, me révéla la cause de cette agitation qui se propageait à bord du Nautilus. Ce n’était pas à nous que son équipage en voulait ! « Maelstrom ! Maelstrom ! » s’écriait-il. Le Maelstrom ! Un nom plus effrayant dans une situation plus effrayante pouvait-il retentir à notre oreille ? Nous trouvions-nous donc sur ces dangereux parages de la côte norvégienne ? Le Nautilus était-il entraîné dans ce gouffre,

Canadien s’était arrêté dans son travail. Mais un mot, vingt fois répété, un mot terrible, me révéla la cause de cette agitation qui se propageait à bord du Nautilus. Ce n’était pas à nous que son équipage en voulait ! « Maelström ! Maelström ! » s’écriait-il. Le maelström ! Un nom plus effrayant dans une situation plus effrayante pouvait-il retentir à notre oreille ? Nous trouvions-nous donc sur ces dangereux parages de la côte norvégienne ? Le Nautilus était-il entraîné dans ce gouffre,

rapidement, – nous plongeons follement dans l’étreinte du tourbillon, – et, à travers le mugissement, le beuglement et le détonement de l’Océan et de la tempête, le navire tremble, – oh ! Dieu ! – il se dérobe, – il sombre !. 140 Une descente dans le maelstrom Les voies de Dieu, dans la Nature comme dans l’ordre de la Providence, ne sont point nos voies ; et les types que nous concevons n’ont aucune mesure commune avec la vastitude, la profondeur et l’incompréhensibilité de Ses œuvres, qui contiennent

un prince scandinave, dont le navire y périt dans les temps celtiques. En réalité, c’est un passage dangereux, où bien des bâtiments ont été entraînés à leur perte, et qui, pour la mauvaise réputation de ses courants peut le disputer au sinistre Maelström des côtes de Norvège. J. Verne, Le Rayon vert. Observer et réfléchir a. De quoi est-il question dans ce texte ? On parle du gouffre de Corryvrekan. b. Où se situe ce dont on parle ? dans l’archipel des Hébrides c. Quelle est sa principale

humanoïdes gagnent en autonomie pour accompagner bientôt la vie des personnes dépendantes. Ces mondes s'interpénètrent et s'organisent autour d'un unique écosystème avec les règnes minéral, végétal, animal et numérique. Cette dissolution dans un maelström inextricable s’exhibe par l'enregistrement numérique massif et passif de la réalité physique et vivante pour mieux gérer les ressources d'une part et par un mouvement d'étiquetage, de repérage des êtres et des objets nomades pour optimiser la logistique

des heurts relationnels exacerbés jusqu’à la violence, et cette ambiance de travail délétère devient elle-même la source de tous les troubles psychosociaux qui constituent l’essentiel des pathologies actuelles des organismes de travail. Dans ce maelström sans ménagement pour quiconque, vitesse et précipitation sont confondues, le gain de temps se fait au détriment de la qualité et la sécurité, l’action supplante la réflexion, la compétition effrénée étouffe la coopération, la performance domine la

un prince scandinave, dont le navire y périt dans les temps celtiques. En réalité, c’est un passage dangereux, où bien des bâtiments ont été entraînés à leur perte, et qui, pour la mauvaise réputation de ses courants peut le disputer au sinistre Maelström des côtes de Norvège. J. Verne, Le Rayon vert.   a. De quoi est-il question dans ce texte ? On parle du gouffre de Corryvrekan. b. Où se situe ce dont on parle ? dans l’archipel des Hébrides c. Quelle est sa principale particularité ? Il est très

un prince scandinave, dont le navire y périt dans les temps celtiques. En réalité, c’est un passage dangereux, où bien des bâtiments ont été entraînés à leur perte, et qui, pour la mauvaise réputation de ses courants peut le disputer au sinistre Maelström des côtes de Norvège. J. Verne, Le Rayon vert.   a. De quoi est-il question dans ce texte ? On parle du gouffre de Corryvrekan. b. Où se situe ce dont on parle ? dans l’archipel des Hébrides c. Quelle est sa principale particularité ? Il

passant un sale quart d'heure qui a duré, duré ... de trop nombreux quarts d'heures ! Vomissements, diarrhées etc... Une confusion extraordinaire envahissait mon esprit et tous mes points de repère se sont dissous. Le courant fluide et véloce d'un maelstrom dans lequel je me débattais, m'entraînait à sa guise. Expérience difficile et en aucun cas récréative. Le moment le plus douloureux passé, et lorsque j'ai eu bien vidé mon corps des scories qui l'encombraient, Fernando est venu chanter sur moi

debout à mon côté, Par ma robe de saint ou ma barbe de sage Pour m’offrir le poison d’un amour effronté ; ....................................... DAMNATION Le banc inextricable et dur, 311 Les Fleurs du mal La passe au col étroit, le maëlstrom vorace, Agitent moins de sable et de varech impur Que nos cœurs où pourtant tant de ciel se reflète ; Ils sont une jetée à l’air noble et massif, Où le phare reluit, bienfaisante vedette, Mais que mine en dessous le taret corrosif ; On peut