Macroéconomie Investissement épargne Consommation

y a un retour de Keynes. Sa définition est la suivante : « L’objet de l’économie politique est de déterminer les forces qui gouvernent les variations de volumes de la production et de l’emploi dans leur ensemble. » C’est ce qu’on appelle une « macroéconomie ». L’équité de plein emploi est quasi impossible. Il existe un agent qui a une capacité d’action macroéconomique. Il s’agit de l’Etat. Il va redonner confiance aux entreprises du marché. Ainsi, l’économie augmentera. En 1936, Keynes a dit : « J’ai

Acquisition de nouveaux facteurs de production Consommation Investissement Expansion : augmenter la capacité de production Remplacement Nationalisation : faire baisser les coûts Epargne / Investissement : créatrice et non contrainte Epargne forcée : import, autofinance,… d. Biens économiques Utile Rare Disponible Produit par l’homme (travail) ≠ bien libre Au sein des bien économiques, on distingue des biens de Consommation – production Durable – non durable Input – intermédiaire

novatrices : la cause de la misère, ce sont les impôts, en particulier la taille (payée au roi par les roturiers) qui freine la consommation | | | |intérieure. On trouve chez Boisguilbert, une esquisse de plusieurs notions fondamentales en économie : circuit économique, demande globale, équilibre économique, | | | |classes sociales. Pour Boisguilbert, la consommation est la source du développement des richesses, il faut supprimer les impôts qui limitent la demande intérieure | | | |de produits

idées sont novatrices : la cause de la misère, ce sont les impôts, en particulier la taille (payée au roi par les roturiers) qui freine la consommation intérieure. On trouve chez Boisguilbert, une esquisse de plusieurs notions fondamentales en économie : circuit économique, demande globale, équilibre économique, classes sociales. Pour Boisguilbert, la consommation est la source du développement des richesses, il faut supprimer les impôts qui limitent la demande intérieure de produits (agricoles) et

parcourant à la bibliothèque universitaire ou dans une librairie les ouvrages d'économie. Nous en retiendrons 2: - « l'étude de l'humanité dans les affaires ordinaires de la vie » Alfred Marshall; – l'étude de la production, de la répartition et de la consommation des biens et services dans une société humaine. Pour rattacher ces 2 définitions à l'économie nous devons préciser que les affaires ordinaires de la vie sont des affaires économiques et que les biens et services sont économiques. Donc l'économique

chiffres (croissance, inflation, chômage, …) L'économie politique / l'analyse économique : interpréter les phénomènes économiques grâce à des théories. La politique économique : l'analyse de l'action publique dans le domaine économique. Macroéconomie : le niveau d'analyse est le système économique dans son ensemble. Microéconomie : le niveau d'analyse est celui de l'acteur économique (=individu). On cherche à comprendre son comportement. SECTION 2 : La problématique de départ de l'économie

.................52 6 Jean – Pa ul Tsasa – c herc heur Laréq Introduction La macroéconomie, dont le terme a été introduit pour la première fois en 1933 par l’économiste norvégien Ragnar Frisch, est le domaine des sciences économiques qui traite des phénomènes économiques globaux, qui prend comme objet d’étude la compréhension du fonctionnement de l’économie considérée comme un tout. MACROECONOMIE A LONG TERME A COURT TERME L’analyse porte sur les cycles conjoncturels. L’analyse

TD 2 : Taux d’intérêt nominal / taux d’intérêt réel. - Notions vues en TD : Inflation - taux d’intérêt - taux d’intérêt réel/nominal. - Notions vues dans le chapitre I (Les grandes questions que se posent les économistes) : Investissement, consommation, revenus, épargne, emplois et ressources. Problématique : I. : Quels avantages les échanges monétisés présentent-ils par rapport aux échanges non monétisés ? En d’autres termes, quels avantages la monnaie présente-t-elle et quelles fonctions

les consommateurs, les entreprises). En cas de crise économique, l’Etat incite à la consommation car cela génère une activité-› rendre le crédit facile d’accès pour les automobiles, les téléphones, les télévisions,…). L’Etat lutte contre le chômage, il incite les entreprises à créer des emplois (exonération des charges sociales pour les emplois créer ; investissement -› politique favorable aux investissements -›politique fiscale (réduction des taxes sur les entreprises. L’économie est une science

et de la finance, se reconnaît dans la formule devenue célèbre du Chancelier Allemand Helmut Schmidt: "l'investissement d'aujourd’hui c'est l'expansion de demain et l'emploi d'après-demain". Les économistes, ont (toujours ?) considéré que les investissements constituent une condition nécessaire et suffisante de la croissance économique. L'investissement constitue un (le ?) moteur pour la croissance et l'expansion économique. Cette vision de l'expansion, transformée en quasi-loi s'est imposée aux planificateurs