Machisme

intéressés au bénéfice. Au chapitre des avantages en nature, les patrons n’ont que l’embarras du choix: de la basique voiture de fonction jusqu’au personnel domestique (une évolution récente). Le poste est encore une chasse gardée des hommes. Le machisme a encore de beaux jours dans l’entreprise. Dans notre enquête, très peu de «PDGère» apparaissent malgré l’existence de femmes très compétentes et à l’expertise avérée dans les états major de sociétés. Il leur reste donc à franchir la dernière marche

exceptionnelle, rejaillissent sur l'amant(e). Sur la scène sociale, ce type d'autorité n'est pas du tout rare même si, sous ses formes !cs plus pures, il est voué à un certain éphémère. En réalité, le caudillo sud­ américain ne compte pas seulement sur son « machisme », et l'étalage des signes extérieurs de sa virilité, pour conquérir et surtout conserver l'appareil d'Etat. De même dans les pays occidentaux, si, avec la personnalisation du pouvoir, les tech­ niques du marketing politique cherchent toujours à

qui est sur cette image nous a fait penser à la relation entre l’homme et la femme: la belle Natacha (au regard discret) et Homme avec un grand H Sergei qui sert à unifier toutes les qualités masculines négatives en lui (l’amour des femmes voir le machisme et la drague). Un autre exemple significatif est présenté dans le même manuel sur la page 296. C’est un dialogue entre deux femmes accompagnées d’une image d’une femme splendide en train de dévorer un délicieux gâteau. L’image est accompagnée

table des matières simple, l’annonce publicitaire amplifie et caricature les tendances, leur donne une forte visibilité sociale. Dans le même temps, certaines valeurs opposées se développent, soulignant les premières : retour ou développement du machisme, réification des individus, porno chic. sable des tâches ménagères : les publicitaires ont longtemps puisé dans ce vivier de représentations. Celles-ci ont la vie dure, même si les années 80 ont partiellement démonté le modèle, montrant une femme

d’attractivité ; – l’esprit d’entreprise : innovant, imaginatif, impressionnant ; – la compétence : sécurité, confiance, ambition, rigueur ; – le prestige : style, charme, élégance ; – l’arrogance : agressivité, caractère impitoyable, auto-centré ; – le machisme : masculinité, dureté, caractère rude, frustre ; – la simplicité : l’absence de formalisme, la facilité d’accès. Chacune de ces composantes peut ensuite être mesurée et donner lieu à un diagramme sous forme de tableaux de bord afin de mieux visualiser

mais c’est mieux que d’être gouvernés par Garang » ; ou encore « le SPLA pense que nous ne sommes pas des hommes. Nous leur montrerons que nous sommes des hommes »[297]. Ceci Cela renvoie certes à la description de la culture de la violence et du machisme de chez Hutchinson, mais il faut aussi voir que les miliciens redoutent d’être désarmés durant la période intérimaire qui suivrait la conclusion d’un traité de paix. Il est permis de penser que certains envisagent mal de perdre leurs armes et la

femmes que des hommes. La séduction a beaucoup à voir avec l’art. • • C’est une question de moyens matériels. Je suis bien reçue dans mes démarches mais il faut rencontrer les bonnes personnes. Ben voilà. Nous sommes entourées d’une espèce de machisme latent. Il faut regarder qui sont les grands coiffeurs, les grands cuisiniers. Les femmes ne sont pas encore à l’égal de l’homme – on grappille. On n’a jamais dit qu’un homme valait tant de chameaux… Ces beaux messieurs nous ont gentiment donné

de femme qu‟elle subissait depuis tout ce temps ne servait pas vraiment à grand chose. Accepter tous les inconvénients d‟être une femme n‟est rien quand cela est justifié par la plus belle des choses : avoir un enfant. Mais pourquoi supporter le machisme, faire des compromis avec un homme qui pourrait être un bon père et un bon mari mais qui est un amant déplorable, pourquoi ne pas chercher à obtenir tous les avantages qui sont ceux de la gente masculine si on a perdu l‟essentiel des avantages liés

elle en gardera un souvenir indélébile car c’est ce jour-là qu’elle a perçu nettement, la préférence de ses parents pour les garçons. Or, dans une société qui, au sortir de l’enfance, initie la fille à l’ordre et la soumission et le garçon, au machisme et à la domination, la petite fille voit dans ce favoritisme masculin un éventuel danger qui pourrait, à l’avenir, voiler son existence, voire l’effacer. Par ailleurs, dans l’environnement le plus proche, elle remarquait l’attribution

dénonciations d’articles ou de programmes mal travaillés ou mensongers. Elles peuvent éventuellement aller jusqu’à la publication de documents plus ou moins censurés. Elles évoquent aussi des problèmes relationnels dans les conseils de rédaction (sexisme, machisme, racisme...). Dans certains cas, elles dénoncent la collusion entre le monde de la presse et celui de la politique ou de l’économie. Elles font référence et tendent à permettre aux membres de la profession d’affirmer leur indépendance. > Réunion