Machiavel Humaniste Le Prince

............................. 49 Leçon 1 L’humanisme ........................................................................ 50 Dossier La révolution de l’imprimerie.................................................. 51 Leçon 2 Les idées des humanistes ...................................................... 52 Leçon 3 L’affirmation de la Renaissance ............................................ 53 Dossier Un foyer majeur de la Renaissance : Florence ........................ 53 Fiche de révision

que le roi vient chercher lorsqu’il part en guerre.     Les humanistes 1/ La rupture avec le Moyen Age A la fin du XVe siècle, les intellectuels, qu’on appelle les humanistes, ne se satisfont plus du savoir enseigné dans les universités. Ils se mettent à étudier avec passion les œuvres de l’Antiquité grecque et romaine oubliées ou négligées au Moyen age. Au Moyen Age, on s’intéressait surtout à Dieu et à l’au-delà. Les humanistes, qui reprennent les idées de l’Antiquité, mettent l’homme au centre

aussi des conséquences politiques (la « guerre des paysans » en Allemagne à partir de 1525, la contestation par les princes protestants de leur soumission à l’Eglise catholique) et des conséquences économiques qui seront analysées plus tard par Max Weber. b) Sur le plan politique, on assiste d’abord à une évolution importante des idées avec la publication du Prince de Nicolas Machiavel (1531), de La République de Jean Bodin (1571) et du Léviathan de Thomas Hobbes (1651). Mais on assiste aussi à des

Saint Paul : tout ce que les empereurs ordonnent, c’est le christ qui l’ordonne. Le bien peut se faire de deux manières à l’égard des hommes égarés : par les discours des prédicateurs, et par les lois des princes catholiques. En 411, il admet que l’hérésie soit combattue aussi par les princes, et pas seulement par les prédicateurs. Saint Augustin estime que, quand les empereurs font de mauvaises lois, c’est une épreuve pour la foi, et il faut obéir. Tous les rois doivent servir Dieu, en faisant

père fondateur de l’histoire du Droit. Il enseigne à Bourges et à Valence et se rapproche des protestants. Il y a une analyse linguistique, grammaticale de l’évolution des textes, du contexte historique. Il utilise la richesse de l’apport des humanistes du XVIème siècle. Le commentaire que fait CUJAS des définitions du Droit est dans Les Institutes de JUSTINIEN. Commentaires des définitions du Droit dans Les Institutes de JUSTINIEN par CUJAS : « Chapitre 1 : De la justice et du Droit », JUSTINIEN

Rome, Bologne et Venise et passe les dernières années de sa vie en France, à l'invitation du roi François Ier. Léonard de Vinci est souvent décrit comme l'archétype et le symbole de l'homme de la Renaissance, un génie universel et un philosophe humaniste dont la curiosité infinie est seulement égalée par la force d'invention[1]. Nombre d'auteurs et d'historiens le considèrent comme l'un des plus grands peintres de tous les temps et certains comme la personne la plus talentueuse dans le plus grand

apparaît : les bourgeois. Ils apprennent à écrire, à lire, à devenir indépendant. Il y a une augmentation des échanges commerciaux. Les communes disent qu’ils ne sont soumis à aucuns seigneurs. C’est au sein des villes construites que sont née les humanistes de la renaissance (scientifiques modernes, penseurs modernes, historiens modernes etc.). L’humanisme est un courant de pensée inventé par Érasme. *** géopolitique est aussi une cause de la conflictualité sociale. Rousseau dit (texte 10) que dès

supérieure. Prise de conscience du Droit I A priori milieu hostile DI car Souveraineté supérieure et no liée. Pour Machiavel : théorie négatrice du droit des gens, seul l’intérêt guide le droit du prince, pas de respect de la parole donnée donc pas d’engagement I. Jean Bodin : Compatible et contribue au droit interne, développe 6 livres : De la République », respect des traités par le prince. Renaissance : 1ière présentation systématique du DI ac prof théologie = Fransisco De Vitoria et Suarez : Principe

(Locke). • du droit de résistance à la tyrannie : une théorie de la résistance s'élabore après les guerres de religion contre l'obéissance passive, l'appel à la conscience du prince ou la confiance en la Justice divine (développée par les huguenots et les ligueurs catholiques). Contre un prince corrompu ou la tyrannie, des conditions exceptionnelles comme occasions de la rupture du contrat de confiance entre le peuple et ses mandataires forment la base d'une théorie morale de la résistance

à voir de belles personnes. [...] La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle [...] » Le duc Sujet 1 de Nemours qui tombera amoureux d’elle, n’a d’ailleurs rien à lui envier : « Ce prince était un chef-d’œuvre de la nature ; ce qu’il avait de moins admirable, c’était d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son