Macbeth Commentaire Composé

du récit, chargées de traduire la complexité du réel. Ensuite, l’hétérogénéité et la multiplicité du matériau romanesque qui intervient dans la cohérence et l’unité des textes, réduisant ainsi la part de l’intrigue au profit d’interrogations, de commentaires, d’analyses et d’autres formes du discours. Enfin, une remise en question de l’autorité narrative : la structure énonciative devenant de plus en plus complexe, le lecteur est mis face à une diffraction de la voix du texte. Comme le souligne V.

ornement ; imagination et entendement. La Fontaine. Langage, œuvres ; cri ; apprendre ; écriture. Larmes Lecture Leibniz Liberté, immanente ; comédie ; ornement libre ; peinture ; roman. Ligne, peinture ; dessin ; mouvement. Logique Lumière Lune Luthier Macbeth Machine Maçon Maison Majesté Alain, Système des Beaux-Arts (1920) 8 Marbre Mathématique Matière, résistante ; première ; architecture ; ornement ; meubles ; métiers ; marbre. Maximes Mécanique Méditation Mélancolie Mélodie Mélopée Mémoire

370 PRÉFACE Mettez de la couleur dans votre gris par Hervé SÉRIEYX Qui dira jamais l'indicible ennui distillé par tant de Démosthène de sièges sociaux, d'orateurs ânonnants, cramponnés à leur rétroprojecteur, tentant de compenser, par des commentaires redondants, l'indigence de transparents soporifiques. Nous, les auditeurs, nous la payons cher, cette civilisation de la communication où tout ce qui dirige, pilote, contrôle une organisation se doit dorénavant de parler aux personnes qui la composent

la couleur dans votre gris par Hervé SÉRIEYX © Éditions d’Organisation Qui dira jamais l'indicible ennui distillé par tant de Démosthène de sièges sociaux, d'orateurs ânonnants, cramponnés à leur rétroprojecteur, tentant de compenser, par des commentaires redondants, l'indigence de transparents soporifiques. Nous, les auditeurs, nous la payons cher, cette civilisation de la communication où tout ce qui dirige, pilote, contrôle une organisation se doit dorénavant de parler aux personnes qui la composent

370 PRÉFACE Mettez de la couleur dans votre gris par Hervé SÉRIEYX Qui dira jamais l'indicible ennui distillé par tant de Démosthène de sièges sociaux, d'orateurs ânonnants, cramponnés à leur rétroprojecteur, tentant de compenser, par des commentaires redondants, l'indigence de transparents soporifiques. Nous, les auditeurs, nous la payons cher, cette civilisation de la communication où tout ce qui dirige, pilote, contrôle une organisation se doit dorénavant de parler aux personnes qui la composent

trouvé que Darwin était beaucoup moins sûr de luimême qu'on aime souvent le présenter. Le chapitre intitulé "Les difficultés de la théorie", par exemple, démontre un doute manifeste. En tant que physicien, j'ai été particulièrement intrigué par son commentaire sur le fait que l'œil est apparu." 9 Charles Darwin Le racisme de Darwin ' un des aspects les moins connus, mais tout aussi important, de Darwin est son attitude raciste. Il pensait que les Européens de race blanche étaient plus "avancés"

publiques n’étaient pas de son gibier », dit-il. Pendant qu’il était conseiller à Bordeaux, il se lia d’une tendre amitié avec un autre conseiller de la cour, nommé Étienne La Boëtie. Ce jeune magistrat, qui mourut à l’âge de trente-deux ans, avait composé, dès l’âge de seize ans, un Traité de la servitude volontaire, qui lui avait acquis une grande réputation de savoir. Montaigne a immortalisé son nom par les belles pages qu’il a écrites sur l’amitié qui les unissait. « Si on me presse de dire pourquoi

heurtées), lumière. Position scabreuse qui va faire aussi la gloire du romantisme. ( Univers fantastique William Blake, La Pitié, vers 1795 Disciple de Füssli. Reconnaissance tardive de l’Académie, marginal. Représentation d’un passage du roman Macbeth de Shakespeare surprenante. Vision personnelle et originale. Blake joue avec une iconographie médiéval (icono du gisant, p.ex) ( Détournement originale d’une iconographie de le religion chrétienne mais qui ici n’a plus du tout le même sens Son

proposées), Besançon (1775-1776), Valence (1777) avec mission d'installer l'école d'artillerie qui allait accueillir Bonaparte, et de nouveau Besançon (1778), où il fut promu capitaine en second de sapeurs. Il employa son abondant temps libre à composer des pièces légères, madrigaux ou contes, dont ‘’Les désirs contrariés’’, ‘’Les souvenirs, épître à Églé’’, une ‘’Épître à Margot’’ (1770), deux contes libertins, ‘’La procession’’ et ‘’Le bon choix’’ (publiés dans ‘’L’almanach des muses’’), œuvres

 Pichois, Études baudelairiennes, III, p. 262 à 289. 99. P. Bénichou, "À propos du Guignon. Note sur le travail poétique chez Baudelaire", Études baudelairiennes, III, p. 232 à 240. Pour la traduction voir Le Guignon, note 185. 100. Voir les commentaires de J.-P. Richard, "Profondeur de Baudelaire", dans Poésie et Profondeur, p. 93-94, et de J.-P. Sartre, Baudelaire, p. 220-221. 101. Richard Wagner, Pl II, p. 803. 102. Notes nouvelles sur Edgar Poe, Pl. II, p. 332. Cf. les images voisines du