Macbeth Acte 2 Scene 3

UBU ROI Alfred Jarry © Hatier, 2002 ISBN 2-218 74130-X LIRE L’ŒUVRE QUESTIONNAIRE DE LECTURE LE TITRE 1. Le titre de la pièce est un écho au théâtre antique dont Œdipe roi de Sophocle constitue l’exemple scolaire canonique ; la première hypothèse de lecture serait alors celle d’une pièce qui s’inscrirait dans cette filiation et qui reprendrait ce modèle en vue de le détourner. Hypothèse évidemment infirmée dès les premiers mots de la pièce. Le nom « Ubu » ne renvoie pour sa part à aucune

une loi dramaturgique : tous les éléments s’enchaînent de manière nécessaire car les dieux dominent la vie des hommes. Le héros tragique se dissocie de l’ordre divin. B/ L’ordre humain. Valeurs du possible et de l’impossible. Le tragique met en scène la limite que l’ordre divin impose à l’homme. Il est impossible à Titus de quitter Bérénice, à Chimène d’épouser Rodrigue. Le héros tragique résiste au Destin, refuse de s’y soumettre et se bat vainement, cf Camus (sf héros tragqiues passifs de Racine)

de représentation 13 b) La scénographie 14 III. Evolution du rôle du metteur en scène 15 IV. Evolution de la mise en scène 16 a) Les lumières 16 b) Le son 20 c) Décors et accessoires 20 V. Metteurs en scène connus 21 a) Les importants metteurs en scène de l’antiquité 21 b) Les importants metteurs en scène du Moyen-Age 21 c) Les importants metteurs en scènes du VIIe au XIXe siècle 21 d) Les importants metteurs en scène contemporains 22 VI. Les grands auteurs dramatiques 23 a) Sophocle 23 b) Shakespeare

condition humaine1. Mais mal subi et mal commis sont liés, ne serait-ce que parce que la souffrance subie par les uns est généralement le résultat d’un mal commis par d’autres : la femme et les enfants de Macduff subissent les effets du mal exercé par Macbeth, M. Numance meurt parce qu’il subit le chantage de Firmin. Dans ce sens, le mal physique découle du mal moral. Dire « le mal », c’est donc en réalité penser sous une catégorie unique une diversité de réalités, qu’il faut examiner avec circonspection

propagande politique durant la 1ère Guerre Mondiale ? L’œuvre d’art et le pouvoir : la représentation et mise en scène du pouvoir (propagande) HG 3è3 et 3è 4 : Affiches de propagande ; cartes postales. Problématique 2: Comment l'art se met-il au service de la propagande politique dans les régimes totalitaires? L’œuvre d’art et le pouvoir : la représentation et mise en scène du pouvoir (propagande) HG 3e1; 3e2: Affiche pour le 17e Congrès du Parti communiste d’URSS, Victor Deni, 1934

Cocteau, récité par l'auteur ; le prologue d'Antigone de Jean Anouilh. Un acte : Partie d'une pièce correspondant à une étape importante dans le déroulement de l'action. Les tragédies classiques sont divisées en cinq actes, l'action culminant généralement au quatrième . Une scène : Partie d'un acte ou d'un tableau au cours de laquelle le plateau est occupé par les mêmes personnages. Un tableau : Partie d'un acte caractérisée par un changement de décor, donc de lieu. Dans l'acte II de

COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262-3) Le prologue : Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur ; le prologue d'Antigone de Jean Anouilh. Un acte : Partie d'une pièce correspondant à une étape

COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262-3) Le prologue : Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur ; le prologue d'Antigone de Jean Anouilh. Un acte : Partie d'une pièce correspondant à une étape importante

Au premier à bord, Ophélie m’a parut comme une jeune fille obéissante et sans grande personnalité dans l’acte I scène 3. Elle accepte docilement les leçons de son frère Laërte qui la met en garde contre les dangers de l’amour et promet de l’écouter. Mais cette impression est vite effacée quand elle lui conseille à son tour, et non sans ironie, de bien se comporter lui-même! Ce qui prouve qu’elle est loin d’être sotte et effacée. De même, elle est respectueuse et soumise devant son père Polonius qui

dans la vie mais autorisée dans la dramaturgie. De ce point de vue, d’ailleurs, la littérature est plus puissante car elle permet, en reposant sur l’imaginaire du lecteur, de faire passer aussi une douleur physique. Il y a 2 types de conflit : 1. statique (vécu passivement) 2. dynamique (vécu activement) Il ne faut pas confondre le spectaculaire (plus spécifique au cinéma) et le conflit. Le spectaculaire attire mais il doit toujours en «   faire plus   », subissant un phénomène d’érosion. Le conflit