Macbeth Acte 1 Scene 5

Première LA n°1 Ubu roi Mme Bissuel Séquence 1 Première Ubu roi, d'Alfred Jarry Lecture analytique (type commentaire littéraire) n°1 Acte I, scène 1 Introduction – Amorce (date, contexte, œuvre, auteur) Pièce la plus connue d'Alfred Jarry. Création de la pièce en 1896, à la toute fin du XIXe siècle. Annonce les créations théâtrales du XXe siècle. Œuvre originale, loin des conventions classiques datant du XVIIe siècle, parodie1, satire2 du pouvoir tyrannique passant par le personnage emblématique

du mal qui se dégage de cette contre-morale est que le mal ne fait pas mal à tout le monde, mais que celui qui est capable d’utiliser le mal à ses propres fins en profite en dernière instance. Comment cette contre-morale s’actualise-t-elle dans Macbeth de William Shakespeare, La Profession de foi du vicaire savoyard de Jean-Jacques Rousseau et Les Âmes fortes de Jean Giono ? Nous allons voir que les trois œuvres dressent le portrait d’un mal capable de triompher du bien (I), et que ceux qui

mesure où il en reconnaît l’indignité. L’hypocrisie procéderait du fait de commettre effectivement des actes mauvais sans pour autant se reconnaître en eux ni s’identifier à eux. Elle relèverait de la dissociation entre pensée ou système de valeurs et acte. Or, dans La Profession de foi du vicaire savoyard, Rousseau explique cette possibilité de dissociation à partir des contradictions qui traversent l’être humain. Selon lui, deux dimensions antagonistes interviennent dans nos actes et nos jugements

qui ont reçu un enseignement religieux, pourraient-ils ignorer qu’ils font le mal en tentant d’abuser d’un jeune homme naïf ? et pire encore lorsqu’ils renversent la charge de l’accusation en faisant de la victime un criminel ? (PFVS 45) De même Macbeth n’ignore rien de l’immoralité de son projet homicide lorsqu’il se demande: « pourquoi dois-je céder à l’idée dont l’image d’horreur hérisse mes cheveux ? » (I,3 49). Mais là où Rousseau insiste sur la faiblesse de la volonté comme source du mal, il

Macbeth William Shakespeare Publication: 1606 Source : Livres & Ebooks Notice sur ”Macbeth” En l’année 1034, Duncan succéda sur le trône d’Écosse à son grand-père Malcolm. Il tenait son droit de sa mère Béatrix, fille aînée de Malcolm : la cadette, Doada, était mère de Macbeth, qui se trouvait ainsi cousin-germain de Duncan. Le père de Macbeth était Finleg, thane de Glamis, désigné sous le nom de Sinell dans la tragédie et dans la chronique de Hollinshed, d’après l’autorité d’Hector Boèce

Macbeth William SHAKESPEARE www.livrefrance.com Notice sur Macbeth En l'année 1034, Duncan succéda sur le trône d'Écosse à son grand-père Malcolm. Il tenait son droit de sa mère Béatrix, fille aînée de Malcolm : la cadette, Doada, était mère de Macbeth, qui se trouvait ainsi cousin-germain de Duncan. Le père de Macbeth était Finleg, thane de Glamis, désigné sous le nom de Sinell dans la tragédie et dans la chronique de Hollinshed, d'après l'autorité d'Hector Boèce, à qui a été emprunté le récit

DU LIVRE AU FILM Eric Loyens « La vie d’une œuvre littéraire dans l’histoire est inconcevable sans la participation active de ceux auxquels elle est destinée ». (JAUSS, H.R., 1988)1 1. Introduction à la problématique Qu’est-ce qu’une adaptation ? Comment l’aborder au cinéma ? Les quatre films choisis, de construction différente, participent à la compréhension de notions de cinéma et éclairent, chacun à leur manière, différentes facettes de la littérature, de l’histoire, de la géographie, des sciences

Séquence 1 PremièreUbu roi, d'Alfred Jarry Lecture analytique (type commentaire littéraire) n°2 Acte I, scènes 3 et 4 Introduction – Amorce (date, contexte, oeuvre, auteur) Ubu roi, pièce comique, parodique, satirique, d'Alfred Jarry parue à la toute fin du XIXe siècle, en 1896. Pièce qui joue de l'exemple de modèles illustres, des pièces classiques du XVIIe siècle comme des drames romantiques du XIXe siècle. – Présentation de l'extrait L'acte I s'ouvre par une parodie d'une des scènes les

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente William SHAKESPEARE (Grande-Bretagne) (1564-1616) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Hamlet’’ et ‘’Macbeth’’). Bonne lecture ! Un William Shakespeare est né à Stratford-upon-Avon, troisième d'une famille de huit enfants, qui fut probablement élevé dans la foi catholique, qui fit ses études à l’école communale et les poursuivit peut-être un temps à l'Université d'Oxford

William Shakespeare, The Tragedy of Macbeth – résumé avec citations du texte original Écrite vers 1606, 1ère représentation : 1611, 1ère publication : 1623. Les chiffres entre parenthèses renvoient aux « lignes » numérotées de la traduction de P.-J. Jouve dans l‟éd. GF 2010 (v. p. 6). « YB » = Yves Bonnefoy (trad. Folio). ACTE PREMIER (7 scènes), Scène Première Trois sorcières annoncent un rdv avec un certain Macbeth. « Fair is fool, and fool is fair » (12 ; v. // Mcb, 136) 2 Un Capitaine blessé