Ma Chérie

ne me rappel pas te l’avoir dis Ethman : Laisse tomber. Je file, bye. – Pouvons-nous sortir ? J’ai fini mes devoirs ! Elle se précipita pour écrire une réponse, tapant sur le -Désolé chérie, j’ai pleins de choses à faire, Clavier le plus vite possible, au moment ou elle voulu demande a une de tes copines ? L’envoyer, il s’est déconnecté. – Ah ok. Ah non je suis invitée

l'après midi a regarder par la fenêtre. lorsqu'Elle entendit une porte claquer: "- Le voilà, je n'est pas vu le temps passer, calme-toi Mathilde tu es une femme forte. -Bonjour chérie tu en fait une drôle de tête, Qu'est qui ce passe Mathilde? Pourquoi mon poteau feu n est pas prêt? -Je n'est point eu le temps désoler chéri, c'est important désoler pour tous ce que j ai commis tous mes caprices je pense qu' à moi je ne te mérite pas je suis égoïste. Voila aujourd'hui je me suis promener j ai rencontrer

toi-même et les autres. Ne lâche rien. C’est comme ça qu’on réussit dans la vie. » Effet négatif à l’âge adulte : besoin de surdétailler, surcontrôler. Perfectionniste à outrance, même quand ce n’est pas nécessaire Fais plaisir : « Chérie viens mettre la table. Chérie va ranger ta chambre. Voilà une gentille fille comme on les aime ; » Effet négatif à l’âge adulte : tendance à faire passer le besoin des autres avant les siens, avec le risque d’en prendre trop, donc d’être débordé et de s’oublier

traitement la nuit quand j’étais en train de lire je me sens de quelqu’un s’approche de moi, et je entendis près de mon oreille. « Je voyais devant moi une masse brillante, opaque et blanche . Au centre de cette masse je vis la figure de mon frère chéri, les yeux brillants et la bouche souriante .L'apparition, accompagnée par le son de la voix, était trop courte et trop soudaine pour être appelée un rêve ; et semblait trop nette et trop précise pour être l'effet de mon imagination. Sa voix était si

sentiments à l'autre. Souvent nous n'osons pas dire certaines choses par pudeur ou timidité. L'écrit permet de s'exprimer plus facilement et avec plus d'intensité. Je t'aime de façon éternelle et sincère... Je t'embrasse tendrement. Ta chérie (ou ton chérie)

c'était un ange, rendons à Dieu. Hélas ! Elle était trop heureuse. Oh ! Je souffre bien. Il me tarde de pleurer avec toi et avec mes trois pauvres enfants bien-aimés. Ma Dédé chérie, aie du courage, et vous trois. Je vais arriver. Nous allons pleurer ensemble, mes pauvres bien-aimés. A tout à l'heure, mon Adèle chérie. Que ces affreux coups, du moins, resserrent et rapprochent nos coeurs qui s'aiment".

fiction la plus courte et la plus réellement possible sur Harry Potter j'en compte plus de 102 aujourd'hui, quelques unes sont en ligne sur un site internet dédiée au Fan, mais toute les autres sont a l'état de brouillon sur papier à carreaux. Mon chéri, Je profite de ce moment d'accalmie pour livrer sur ce parchemin ce que je ressens. Tu dors à mes côtés, dans ton petit lit. Les poings fermés, les sourcils froncés, tu as l'air soucieux. Comme si toi, petit être innocent, se doutait des heures sombres

les prend dans ses sales mains, les balance contre un mur, les malmène, les griffe... Et toi tu jouis presque de ça. Parce que tu penses que pour lui tu pourrais t...out donner. Même ton âme. Mais elle est trop belle et trop pure pour lui ton âme, chérie. Tu es si enfantine, si naîve et si jolie : regarde comme les étoiles brillent pour toi. Lui, il ne vaut pas ça. T'as toujours cru que c'était un ange mais derrière sa jolie gueule, c'est le diable qui se cache... J'entends ton coeur battre la chamade

orange langoureux et d’un jaune électrisant. Que dire de ces longs mois de grise température où ta présence / est mythique, toi qui es si égoïste de te laisser désirer. Mon cœur désespère dans l’attente vaine de revoir un jour ton or me revenir et me chérir. Oh soleil, que je t’aime. Après les ténèbres vint une lumière si éblouissante que mes pupilles ne purent la contempler dans toute sa splendeur Contrairement à sa jumelle nocturne aux doux rayons d’un argent paisible le Soleil m’illuminait

principale auquel le lecteur s’attache. Cependant, par la suite, il fut rude de me détaché de ce personnage, dont la présentation, plutôt touchante, avait été faite au début du récit, comme lorsqu’elle s’occupe de son mari qu’elle semble chérir : (Mary s’adresse à son mari) « Chéri, veux-tu que j’aille chercher tes pantoufles ? ». Puis, la chute de l’histoire est parvenue à me faire rire grâce à l’humour noir bien dosé, qui m’a montré que nous pouvons être amusés par beaucoup de chose, même par la tragédie