Ma Bohème Lyrisme

les autres. (D'Alembert, Voltaire etc). Fin 18e, le «clan » des philosophes apparaît de plus en plus comme l'élite du monde des lettres qui monopolise le fonctionnement du champ littéraire au détriment d'écrivains frustrés dans leur ambition. (la « bohème littéraire » : un groupe qui n'arrive pas à percer dont certains furent porte parole de la révolution et souhaitaient faire sauter le blocage culturel de cette période. Imprimés, presse, théâtre, l'encyclopédie a connu plusieurs rééditions. Plus

penche et s’allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues de l’eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l’eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents. Je crois boire un vin de bohème, Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème D’étoiles mon cœur. Etude : Dans ce poème le poète nous parle d’une femme dont il fait l’éloge de la beauté et de la grâce, ce poème est en fait un hymne à l’amour. Histoire du poème : Ce poème

Il faut remonter à la fin du XVIII avec un poète, Chénier, guillotiné par la révolution française. Il n’y a pas vraiment de poésie. • Lamartine → premier fois depuis longtemps. • Voltaire → il était avant poète que philosophe. Bohèmes historiques de Voltaire à l’école par les enfants. Ecrivant des contes aussi. N’avait pas eu un poète par excellence. Le théâtre c’était considéré comme poésie du s.XVIII. Il faut se remonté au XVI. Les poèmes étaient très longs. Renaissance

presqu’en totalité l’ensemble des préoccupations dramatiques des deux poètes. Dans le cas des deux auteurs, le début de leurs carrières se trouve sous le signe du théâtre, comme ambiance (pour Nerval, v. les évocations de La bohême galante ou Petits châteaux de Bohême), ainsi que pour leurs préoccupations professionnelles On connaît l’apprentissage théâtral d’Eminescu, période pendant laquelle on distingue comme moment de référence la traduction de l’ouvrage de H. T. Rötcher, L’art de la représentation

personnelle. C’est le début du grand lyrisme personnel dans la littérature occidentale. Il est très important de dire « je » en littérature (cf. Philipe Lejeune). Les Latins vont avoir rapidement conscience d’avoir créé quelque chose d’original. Le grammairien Quintilien a déclaré : « Elegia Graecos provocamus » (« Grâce à l’élégie, nous avons défiés les Grecs »). Si l’on excepte Sappho, on a avec l’élégie érotique romaine la première expression d’un lyrisme de l’amour personnel et subjectif. Le

semble elle-même une métaphore de la dépendance réciproque des amants. La reine trouvera la baguette et rejoindra Tristan avant d’être contrainte de retourner auprès de son époux. Le serment en vers est devenu le symbole de l’amour courtois et du lyrisme médiéval. 16 © Groupe Eyrolles « Telle est la mesure d’aimer Que nul n’y doit raison garder. » Marie de France, « Lai d’Equitan », XIIe siècle C’est une curieuse histoire que raconte le « Lai d’Equitan » de Marie de France, celle d’amants

tristesse, au cœur de l’existence quotidienne du noir. DEUXIEME PARTIE : LES INFLUENCES SUR LA « MUSIQUE SAVANTE » I. Antonin DVORAK. A. Biographie et présentation de l’œuvre. 1. Biographie d’Antonin DVORAK. Né à Nelahozeves en Bohême le 8 septembre 1841. Il apprend tout d’abord l’orgue, du piano et du violon en 1857. Il joue dans l’orchestre du Théâtre de Prague en 1862, où il joue des œuvres de SMETANA sous la direction du compositeur. Il écrit ses deux premières symphonies en

à Paris (Allemagne) en 1628, François de Malherbe naît au cœur d’une famille noble protestante et s’intéresse très tôt à la poésie. Il rejoint la cour parisienne et est nommé poète officiel. Il soutient une poésie rigoureusement structurée, où le lyrisme prédomine. Il se plaît à présenter sa conception de l’art poétique dans des ouvrages tels que « Remarques sur Desportes ». Il s’éteint en 1628. Le recueil de la totalité de ses poèmes paraîtra à titre posthume deux ans plus tard. Malherbe influencera

souvenir que le monde est petit ! Auteur : Charles Baudelaire (1821-1867)      Baudelaire n'accepte pas le remariage de sa mère avec le général Aupick. Placé d'abord en pension à Lyon, il étudia ensuite à Paris. Il vécut une vie d'insouciance et de bohème jusqu'en 1841 où il embarqua de force pour un long voyage à destination des Indes. Il s'arrêta dans l'île de la Réunion (raison du goût de l'exotisme dans son œuvre). De retour en France il vécu une vie de dandy (opium et alcool). Poussé par le besoin

« Épitaphe », qui conjugue à la fois un semblant d’oxymore et une antanaclase certaine ; la même substantivation de l’adjectif se note dans « Elizir d’amor ». « D’ordinaire, tous ces drôles / Ont assez bon œil ici » (p. 136) ; l’occurrence de « Bohême de chic » renvoie à une certaine acception du titre du recueil tout entier en cristallisant les éléments d’une herméneutique : « Drôle, en ma sauce jaune / De chic et de mépris » (p. 79) ; la forme présente dans « Un jeune qui s’en va » active