M Hennebeau

Mais nous pouvons voir aussi un peuple ouvrier. Zola évoque les mineurs de Montsou, qui chante la marseillaise ainsi «  les yeux brulaient, on voyait seulement les trous des bouches noires, chantant la marseillaise » ils ont étaient vu par Mme Hennebeau et ses invités, qui les ont trouvés atroce. Flaubert lui évoque un peuple de Paris, qu'il mentionne «  un prolétaire a barbe noir » ce qui montre que leurs niveau de vie de ces révolté est bas. Donc dans ces deux extraits nous pouvons voir que

nous dirons que comme ce bal n’est qu’une seule fois par an nous comprenons les mineurs de leurs déchainement et de leur joie, ce qui change du contexte du livre qui est plutôt morose . On pourrait comparé ce bal avec le repas organisé par les Hennebeau pour les fiançailles de Paul Négrel et de Cécile chez les Grégoire qui est complètement à l’opposé. Chez les bourgeois ils se préoccupent beaucoup plus par l’argent qui va être perdu par la grève, tandis que dans cette extrait les mineurs mettent

du XIXeme siècle, les grands succés de Zola sont des romans réalistes tel que Germinal. L’extrait de l’œuvre raconte l’émeute de femmes et d’hommes qui pour la majorité travaillent dans les mines. L’émeute se dirige hez le directeur, Monsieur Hennebeau. Dans un premier temps, nous metrerons comment l’auteur dénonce la réalitée sociale, puis nous étudirons l’impression de puissance de la manifestation. L’extrait de Germinal est réaliste. En effet, Emile Zola utilisé un cadre spatio-temporel

commentaire composé Jeudi 4 décembre ( 1S2 + S4°) Apporter le texte de Zola qui suit et avoir répondu à la question qui vous concerne. Texte 2 A l’arrivée des mineurs en grève, Mme Hennebeau, la femme du directeur, a dû se réfugier dans une grange avec quelques uns de ses invités. Mme Hennebeau, très pâle, prise d'une colère contre ces gens qui gâtaient un de ses plaisirs, se tenait en arrière, avec un regard oblique et répugné; tandis que Lucie et Jeanne, malgré leur tremblement, avaient

l’hypocrisie bourgeoise des actionnaires et des nantis, leur mauvaise foi et leur bonne conscience révoltante, à une époque où, le directeur touchant quarante fois plus que ses ouvriers, les profits de la mine ne cessaient d’augmenter. Le luxe des Hennebeau s’accorde à la fainéantise des Grégoire. 4:Un roman à thèse Germinal est pour les mineurs mis en scène le roman de l’apprentissage politique. En effet, les passions individuelles s’effacent ici derrière la nécessité collective de s’engager

Jeanlin, un jeune Maheu. Catherine part avec Chaval à la mine de Deneulin. Il est temps de se révolter. Quatrième partie : Les mineurs forment une délégation et nomment Maheu comme porte-parole. Cette délégation a pour but d'énoncer à monsieur Hennebeau, le porion, les réclamations. Ce dernier se détourne de toute responsabilitié et accuse la Compagnie. La grève gagne peu à peu de l'ampleur de mines en mines. Plusieurs réunions s'organisent pour discuter de la situation. Cinquième partie : Presque

l’écrivain permet au lecteur   de s’identifier plus facilement au héros. Par exemple, dans Germinal de Zola, le lecteur pourra facilement s’identifier à Etienne, travailleur sans histoire, qui va prendre la tête d’un combat contre ses exploiteurs les Hennebeau . Le lecteur pourra aussi s’identifier plus facilement à ces « antihéros » car ils partagent les mêmes faiblesses que lui. N’importe quel adolescent de 17 ans pourrait s’identifier à Holden dans l’Attrape Cœur de J. D. Salinger.        Le personnage

Annales zéro – mars 2011 2 Document n° 2 Willy Ronis, Grève chez Citroën, 1938 Texte n° 3 Les ouvriers d’une mine décident de se mettre en grève. Etienne Lantier, leur porte-parole, expose au directeur, Monsieur Hennebeau, les revendications des mineurs. Enfin, M. Hennebeau entra, boutonné militairement, portant à sa redingote le petit nœud correct de sa décoration. Il parla le premier. - Ah ! vous voilà !... Vous vous révoltez, à ce qu'il paraît... Et il s'interrompit, pour ajouter avec une

peut pas travailler à cause d’une bosse qui la rend infirme. B De plus, certains bourgeois ne travaillent pas, comme les Grégoire ou encore Mme Hennebeau. Ceux-ci profitent de leurs journées pendant que les ouvriers se lèvent vers quatre heures du matin pour aller travailler. "Ce matin-là, les Grégoire s’étaient levés à huit heures. D’habitude ils ne bougeaient guère qu’une heure plus tard, dormant

-Au début, le cortège est décrit de façon objective comme s’il s’agissait d’un documentaire : « Les femmes avaient paru […], les hommes […] ».- Mais, au fur et à mesure, le tableau reflète le regard de l’auteur, puis celui, très subjectif, de ses « vrais » spectateurs : les bourgeois cachés derrière la porte d’une grange, implicitement désignés par le pronom impersonnel « on » (« on ne distinguait que… », « on voyait seulement… ») ; les termes péjoratifs qui qualifient les mineurs révèlent leur