Lécole Positivisme

conscient de ses limites et modeste aussi dans ses ambitions. L’esprit positif est selon Comte, le dernier état de l’esprit et on peut penser qu’il pourra répondre à notre besoin de connaissance et de vérité. C’est en tout ce que croit et revendique le POSITIVISME du XIXème siècle. 2) Au niveau de la démarche. « Quand l’esprit se présente à la culture scientifique, il n’est jamais jeune, il est même très vieux, il a l’âge de ses préjugés » (G BACHELARD). Et ses préjugés sont issus de l’opinion,

européenne, en tant qu'elles sont réduites à leur dimension positiviste, et crise des valeurs de l'humanité. Il s'agit d'une seule et même crise, dont Husserl tente de déceler l'unité profonde. Cette unité se comprendra mieux si l'on montre bien que le positivisme, précisément, opère une séparation entre recherche scientifique et quête du sens. Une telle dissociation renvoie à son tour à une crise plus radicale encore, qui affecte la philosophie elle-même. Crise de la philosophie, crise du sens L'absence

sa conformité aux normes qui lui sont supérieures. Critique : de dire que la norme est valide est conforme, ne veut pas dire qu'elle est bonne. 2) Positivisme Sociologique:Le droit est dans la société, dans la masse des consciences individuelles, car le droit positif se doit de consacrer le droit objectif : ce que veut la société. 3) Positivisme réaliste : TROPER, Holmes, Ross. : Le droit n'est que l'expression de la volonté de l'état, la norme est dans l'interprétation faite de l'énoncé.

profonde ruine. Pour combler ce vide spirituel, les écrivains vont alors se tourner vers divers courants littéraires. Le romantisme, véritable « révolte contre l’anonymat auquel soumettent une histoire tyrannique et une urbanisation effrénée 1» et le positivisme, qui va au contraire se trouver stimulé par la révolution industrielle qui prend son essor en 1851. Ces deux mouvements antagonistes vont alors plonger de nombreux auteurs dans un profond débat : la science est-elle, comme l’écrira Zola, un moteur

industrielle est la montée denouvelles classes sociales :les ouvriers, les travailleurs. 3 / le contexte intellectuel Le positivisme est le système philosophique fondé par Auguste Comte (1798-1857) se réclamant de la seuleconnaissance des faits, de la vérification des connaissances par l’expérience et qui considère que seuls les faits expérimentés ont une valeur universelle. Le positivisme utilise les sciences. AuXIXème siècle de nombreux progrès scientifiques sont apparus, qui ont amélioré considérablement

constitutionnel est l’ensemble de normes dit au sens objet normatif Norme : Kelsen Hans autrichien né à Prague, enseigné à Vienne il fuit son pays pour ses origines juives car l’Allemagne nazie a pris emprise sur l’Autriche. C’est le pape du positivisme sens de cet acte (acte de volonté) Signification objective d’un énoncé prescriptif. Toute idée naturelle est supprimé, l’idée est « énoncé qui dit ce qui doit être »Les normes relèvent sur l’idéal univers intelligible L’univers normatif est insaisissable

Zola et le naturalisme Observateur sans concession de la vérité des rapports humains, le romancier deviendra la figure emblématique d’un mouvement qui chercha, au XIXe siècle, à marier la littérature et la science. L’évolution du naturalisme - Le mot «naturalisme» apparaît à la fin du XVIe siècle. Il est forgé à partir du latin naturalis pour désigner une doctrine philosophique qui refuse toute logique «surnaturelle» et tend à tout expliquer à partir de la nature elle-même. Cette idée se

progrès est la foi dans l’Homme, dans la raison et dans le pouvoir de la technique de changer radicalement la vie humaine. 1 Fabien Darvey HIC-Notes de cours Unil SSP-2011-2012 Dans les sciences historiques, la foi dans l’Homme arrive via le positivisme historique qui aura comme objectif de collecter et de faire parler les documents comme signe de triomphe. Il y a une sorte de compréhension linéaire. Dans la culture romanesque, les ouvrages de Jules Verne magnifient le progrès. Ils s’ancrent dans

................................................. 129 7.1 INTRODUCTION ............................................................................................................................................. 129 7.2. Auguste Comte et le positivisme ......................................................................................................... 130 7.2.2 L’erreur dans les différentes conceptions pédagogiques .................................................................. 131 8

notion théologique de la grâce (voir jésuitisme et jansénisme). En politique aussi le sens du mot progrès est forgé par ceux qui croient qu'une évolution sociale est vraiment possible15. Au XIXe siècle, des idéologies comme le fouriérisme et le positivisme affirment que la nature humaine est améliorable en soi, et que l'on peut s'opposer à la décadence16. Au XXe siècle, les années 1930, 1940 et 1950 sont marquées par l'antimodernisme, tandis que les années 1960 et 1970 voient revenir un nouveau