Lécole Positivisme

(alphabétisation) ⇨ Les élites préservent leurs valeurs ⇨ Apparition de la « masse » I. Du culte de la science à la fin des tranquilles certitudes A. Le moment positiviste et scientiste 1. Définition et diffusion du positivisme et du scientisme ( Auguste Comte, entre 1830 et 1857 : La science est la religion de l’avenir et permet de percer les mystères de la nature, les mécanismes de l’univers et les secrets de la création. ⇨ Foi absolue en la science qui conduit

l'Homme" : ces droits sont universels parce que la "nature humaine" est identique chez tous les humains. Le 19° siècle, siècle de la science et de la technique, voit apparaître le positivisme, c'est à dire le rejet de la métaphysique et la recherche de la connaissance par les faits. Appliqué au droit, le positivisme entend partir du "droit positif" ( le droit en vigueur à un moment donné ) pour construire une science du droit. Il estime que seuls les faits sont connaissables, pas les valeurs ; il

1995, p.320). Jean Carbonnier est aussi un théoricien du droit qui essaie de trouver un critère à la juridicité (ce qui distingue la morale et le droit). Pour lui, il s'agit du juge et non de la sanction. Cette affirmation est une contestation du positivisme kelsenien selon lequel toute règle doit être assortie d'une sanction. Il a étudié le rôle de la monnaie en insistant notamment sur la spécificité unique de la monnaie au sein des autres types de biens : sa fongibilité absolue.

Induction, abduction .......................................................................................................................... 1 Définition 3. Auguste Comte et le positivisme........................................................................................................ 2 Définition 4. Positivisme logique ............................................................................................................................ 2 Définition 5. Le vérificationnisme, le principe

2) le romancier doit procéder comme les hommes de sciences, doit procéder par observation et par expérimentation. Pourquoi raconte-t-il cela? Comme tous les intellectuels, il s'intéresse à la science car la science au 19è siècle, c'est le positivisme, c'est la croyance dans le progrès de l'humanité grâce à la science. Cela va culminer avec Jules Verne, mais c'est vraiment avec Zola que la pensée scientifique en littérature va atteindre la notoriété. Quelques hommes qui vont influencer Zola

et lui offre des perspectives de vie meilleures. Ce vitrail témoigne de l’essor de la foi en la science : ici, un scientifique est représenté dans un lieu de culte. En quelque sorte, la science devient le phénomène capable de tout expliquer : le positivisme concurrence dont la religion qui assurait cette fonction jusque là. A la fin du XIXème siècle, les scientifiques revendiquent ce rôle nouveau. 1 • Le début du XXème siècle marque le recul du scientisme sous l’impulsion de nouvelles découvertes

colérique, etc.) On explique les choses en mettant le sujet dans une classe. C’est une psychologie des types qui remontrait à Aristote ▪ Psychologie en situation cartésienne, identique à Canguilhem. ▪ Psychologie d’état positif (behaviorisme, positivisme). ▪ Psychologie fondée sur la pensée biologique. ▪ Psychologie appliquée (psychométrie ou psychologie des tests). ▪ Psychologie psychanalyse. ▪ Psychologie réflexive ou philosophique. Pour Gagey aussi, chacun de ces courants à

Thérèse Raquin Zola 1867 Texte de la Préface p 8 à 9 depuis « Dans Thérèse Raquin, j'ai voulu » jusqu'à « les chirurgiens font sur des cadavres »(Expliquer les raisons de cette préface, signaler que T. Raquin est antérieure à son grand projet des Rougon-Macquart mais que ce roman contient déjà le thème principal de sa saga qui se veut une démonstration scientifique ou presque) Internet : Personnage éponyme, Thérèse Raquin tire son nom de deux étymologies : Thérèse : qui en grec veut dire "qui

19ème siècle a eu l'éclatement du "jus commune" = Droit universel pour tout le monde, s'opposant à des droits purement nationaux, à la faveure des codifications nationales. La notion de droit à valeur universelle recherché, tombe en discrédit. Le positivisme a été favorisé par la naissance des nationalismes. On a éstimé que le droit était inhérent à des nations. Ceci a été très marqué par le Pan-Germanisme, qui a donné lieu à une codificaiton d'un système spécifique, a conduis à la constitution de

Section 2 : La doctrine matérialiste ou positive.  Dans cette doctrine on considère que le droit est un fait de société et que toutes les sociétés ont leurs propres règles de droit.  Il y a deux distinctions à faire :  4. le positivisme étatique (=juridique) : la règle de droit s’impose du seul fait u’elle est l’expression de la volonté de l’Etat. Elle doit être respecter,non pas parce qu’elle est juste (contrairement à ce que dit le droit naturel), mais parce qu’elle traduit l’autorité