Lécole Positivisme

vie, sa volonté de mourir. Mara dentro. Cependant la morale est une question personnelle, qui ne concerne que moi. Cependant, l’euthanasie engage plusieurs personnes. Donc la loi n’a pas a imposé la morale aux individus. Hobbes, positivisme juridique Le mot positivisme renvoie à Auguste Comte (anachronisme). Etat théologique, Etat métaphysique, Etat scientifique. La connaissance trouvera son apogée dans la science. Il ne s’agit plus de rendre compte de la réalité de ce que l’on ne voit pas. Par

littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient que la race, le milieu naturel, social et politique et le moment au cours duquel est créée une œuvre littéraire définissent ses traits spécifiques

pensé qu’il allait promouvoir la démocratie partout dans le monde durant 19ème siècle. Le 20ème siècle a démontré qu’une constitution ne suffisait pas a protéger une démocratie. Aujourd’hui il a deux grands courants : a) Le positivisme juridique Pour le positivisme, le droit est une science. Et donc on ne peut observer scientifiquement que le droit positif. Le droit positif : Ensemble des règles juridiques qui existent à un moment donné, dans un endroit donné. Pour les auteurs positivistes

l’analyse de ces manières. Naît de la volonté de comprendre la société, aux confluents de trois révolutions : politique (révolution française), économique (la révolution industrielle) et intellectuelle (le triomphe du rationalisme, de la science et du positivisme). Postulat : le social a des lois de fonctionnement qui lui sont propres et qu’il est possible d’élucider. Vision positiviste par excellence (on peut par l’observation et la mesure mettre en lumière les lois qui régissent les rapports humains)

relève pas d’un idéal, part de l’idée que le droit se justifie en lui-même, il n’y a rien au-dessus du droit positif. Le droit est là parce que c’est le droit Positivisme juridique qui s’explique par deux périodes : ∙ le positivisme étatique se fonce sur l’Etat ∙ le positivisme sociologique se fonde sur la société. A- Positivisme étatique : Il part de l’idée que l’on respecte la loi parce que c’est la loi : le droit s’impose car il est engendré par l’Etat = théorie plus récente que le

littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors s'attacher à découvrir les lois qui régissent la littérature. C'est ainsi qu'il soutient que la race, le milieu naturel, social et politique et le moment au cours duquel est créée une œuvre littéraire définissent ses traits spécifiques

dans une règle de droit positif. A partir du moment où c'est du droit positif en vigueur, il faut le respecter qu'il soit juste ou non. On devine les inconvénients de ne croire qu'au droit positif (=positivisme juridique différent de jus-naturalisme). Finalement entre jus-naturalisme et positivisme la différence est stérile. Évidemment le droit positif en vigueur lui même est fondé sur certaine valeur, il poursuit un idéal de justice. Ex : depuis la II ième GM, dans toute les démocraties libérales

scientifique au cas où elle survivrait à nos divers tests. – La théorie est mise à l'épreuve en procédant à des applications empiriques des conclusions qui peuvent être tirées. – Dans la première moitié du 19e, Comte formalise les principes du positivisme et propose une hiérarchisation des différentes sciences dont est exclue l'économie. Pourtant les éco classiques et néo classiques se sont appuyés sur une vision positiviste du monde et de son fonctionnement, cad une vision qui considère une notion

Les droits africains entre positivisme et pluralisme (article paru dansBulletin des séances de l’Académie royale des sciences d’outre-mer, 46 (2000) 279-292) Jacques Vanderlinden (vanderj@UMoncton.CA) Introduction - À propos de positivisme et pluralisme Depuis un peu plus d’un quart de siècle le pluralisme juridique est revenu à la mode et le positivisme, qui a dominé les études juridiques pendant la plus grande partie du siècle précédent, est sur la défensive encore qu’il présente sur son rival

 science,  c’est  à  dire,  rejet  des  fondements  extérieurs  au  droit  lui-­‐même.       Les  doctrines  positivistes  sont  très  rigoureuses.   1. Le  positivisme  juridique       Pour  le  positivisme  juridique,  le  droit  est  l’ensemble  des  règles  en  vigueur  à  une  époque  donnée   dans  une  époque  donnée.  Pour  les  positivistes,  le  droit