Lynchage

décolonisation des colonies GB s’est mieux passée. Puis conflit de Suez où les GB, FR et IL ont occupé le canal de Suez. Va diviser l’opinion des britanniques, les journaux vt prendre position très forte contre gvt GB. FR en parle bcp moins mais surtout « lynchage » par USA qui ne va pas soutenir la GB. 1er fois que « rupture » entre GB et USA Idem pour DZ : USA ne va pas soutenir la FR, au contraire : soutient au indépendantistes. Les journaux sont mal à l aise. Suez divise l’opinion en FR, très peu évoqué

bibliothèques, les écoles, les universités, les Noirs étaient soit exclus, soit séparés des Blancs. Les mariages interraciaux étaient interdits et les rapports sexuels entre les deux communautés étaient condamnés à divers peine pouvant aller jusqu'au lynchage. Les Afro-Américains avaient le statut de citoyens américains mais des citoyens de seconde zone. Tel était le climat humiliant dans lequel vivait les Noirs. La Reconstruction, de 1863 à 1877, est une période d’intenses bouleversements dans le Sud

écoles, églises) et d’où mêmes les « notables » (professions libérales, petits entrepreneurs) ne peuvent espérer sortir. En effet, s’installer dans un quartier/immeuble blanc entraînait souvent des réactions violentes qui pouvaient aller jusqu’au lynchage de la part du voisinage. Un ghetto américain est une enclave de désolation urbaine et humaine qui peut dépasser par sa taille une grosse ville de province. Il faut plus de vingt-cinq minutes en voiture pour traverser celui du West Side de Chicago

manifestations-répressions. Mais à la différence des autres, la contestation dans ces deux pays basculera dans la guerre. Le conflit libyen, qui a débuté par des manifestations à Benghazi le 17 février, ne s'achève que le 20 octobre à Syrte par le lynchage du colonel Mouammar Kadhafi, qui, après quarante-deux ans de règne, était le plus http://abonnes.lemonde.fr/libye/article/2014/01/13/le-grand-jeu-de-riyad-pour-etouffer-les-printemps-arabes_4346993_1496980.html?xtmc=arabie_saoudite… 3/12

Harlem où il aurait assisté alors à l’un des premiers meetings de Marcus Garvey, bien que, d’après la chronologie, cela soit improbable [9] William J. Duiker, Hô Chi Minh, A Life, New York, Hyperion,... [9] , et déclara plus tard avoir été témoin de lynchages dans le Sud. Le Paria n’eut jamais un lectorat important, mais la police le prenait très au sérieux et achetait la plupart des exemplaires pour tenter d’empêcher sa diffusion dans les colonies (participant ainsi, de fait, à son financement). Comme

"un fils ne porera pas la faute de son père, ni un père celle de son fils. Celui qui a péché c'est lui qui moura". On va tenir compte de l'intention coupable ou l'absence d'intention. Au début la sanction du meurtre était une sorte de vendetta/lynchage organisée par la société l'initiative du plus proche parent de la victime. L'auteur d'un homicide involontaire n'était pasp uni de mort. Il lui fallait néanmoins s'exiler. En revanche, les Hébreux interdisaient à la famile de la vicitme d'accepter

négriers enrichis, les livres des affranchis, les liquidations d’héritages, la valeur des monnaies, les bilans chiffrés du commerce triangulaire, les relevés des médecins de bord, les primes payées aux chasseurs d’esclaves fugitifs, les récits de lynchages, les minutes des procès et le décompte des exécutions !!! Tout est là pour nous expliquer le macabre passé et la barbarie d’un système économique fondé sur la transformation en capital de la plus value extorquée à des travailleurs forcés : les esclaves

la découverte de l’or californien, l’engouement pour l’Ouest est en effet loin d’être total. Il y a certes les mormons. De 1847 à 1849, ils fondent Salt Lake City dans l’Utah (« la terre du miel »), ayant fui les persécutions religieuses après le lynchage de leur prophète Joseph Smith. Il y a aussi quelques fermiers et des artisans ruinés par les crises économiques. Mais la crainte qu’inspirent les Indiens, les difficultés de communication, le récit de certains colons qui expriment leur désillusion

blanches à bout pointu, garantissant leur anonymat ; cela leur donne l’apparence de fantômes. Leurs dirigeants se font appeler « Grand Sorcier » ou « Grand dragon », leur objectif étant de terroriser au maximum la population noire. Incendies, viols, lynchages, meurtres, pendaison, tous les moyens sont bons. Dans le Sud, les crimes commis par des Blancs à l’encontre des Noirs sont pratiquement impunis, les tribunaux restant aux mains des Blancs. Le Ku Klux Klan connaîtra des éclipses mais renaîtra quelques

but de restreindre la plupart des droits accordés aux anciens esclaves après la guerre de Sécession. Des milliers de Noirs américains émigrent vers le Nord où ils vont souvent s’entasser dans des ghettos, comme Harlem à New York. Dans le Sud, les lynchages et les persécutions du Ku Klux Klan se multiplient. 1896 : l’arrêt Plessy v. Ferguson autorise les États eux-mêmes à pratiquer la ségrégation, à condition que les conditions offertes aux deux races soient « séparées mais égales »