Lycée Paul-Valéry

malédiction, le lecteur doit se demander comment il doit « comprendre » l’auteur : par sa vie ou par son oeuvre ? par sa biographie ou par ses écrits ? Tout élève de première le sait : l’explication de texte ou la lecture d’une oeuvre intégrale au lycée est presque toujours précédée d’un « point sur l’auteur » ou d’une recherche biographique, qui débouchera sur une « ficheauteur » « pour l’oral du bac » ! Les universités proposent des « cours de littérature et d’histoire littéraire ». L’étudiant

années d’errance », selon ses dires. Il sera tout d'abord étudiant à la| |Sorbonne mais très vite découragé, il poursuivra en hypokhâgne et khâgne à Louis-le-Grand où il prépare le concours d'entrée à l'École | |normale supérieure. Il y côtoie Paul Guth, Henri Queffélec, Robert Verdier et Georges Pompidou avec qui il se liera d'amitié. Il y | |rencontre également Aimé Césaire pour la toute première fois. Après un échec au concours d'entrée, il décide de préparer l'agrégation de |

avec sa mère et ses sœurs, à Paris, au 135bis, boulevard du Montparnasse de 1882 à 1886 puis au 31, boulevard de Port-Royal de 1886 à 1892[1]. Il fait ses études au lycée Louis-Le-Grand où il obtient son baccalauréat de philosophie en 1885 et s'inscrit à l'École libre des sciences politiques pour y préparer une licence de droit[2]. Paul Claudel, selon ses dires, baignait, comme tous les jeunes gens de son âge, dans « le bagne matérialiste du scientisme de l'époque ». Il se convertit au catholicisme

d’expression française 6/ Poètes du signifiant et poètes du signifié III. Le système traditionnel et sa remise en question 1/ La rime 2/ Le vers V. Envoi > p. 20 > p. 25 Bibliographie > p. 25 16 Nouvelle Revue Pédagogique - Lycée / n° 31 / septembre 2008 DOSSIER L’évolution des formes poétiques au XIXe et au XXe siècles I. Ouvertures Pour aborder cette évolution, on peut relever un certain nombre de perceptions et de sentiments nouveaux qui vont expliquer « l’ouverture

Montpellier I. 2008-2009 : Diplômé de l’Institut d’études économiques et juridiques appliquées à la Construction et à l’Habitat (ICH), Montpellier (34). 2007-2008 : Obtention du Diplôme d’Accès aux Etudes Universitaires option A, SUFCO Université Paul Valéry Montpellier 3 (34). EXPERIENCES PROFESSIONNELLES / STAGES 2008-2009 : Stage au sein du Cabinet d’Avocats de Me Caroline PILONE, Montpellier (34) : ▪Prise en charge des dossiers contentieux en droit de l’urbanisme et aménagement ;

abstraction excessive ou présentation caricaturale des concepts exposés. Comme pour beaucoup d’autres disciplines, l’enseignement des SES doit se situer entre la simplification excessive toujours fausse et la complexité inutile, pour paraphraser Paul Valéry. C’est là tout l’art du pédagogue. II. Remarques supplémentaires pour réussir l'oral ⇒ Sur la forme Tout est dit dans le rapport du jury, mais comme je l'ai précisé à l'oral , pour votre tenue vestimentaire comme pour votre comportement, il faut

la présence ou l’absence de l’objet. Il cherche à suggérer son état d’âme mélancolique par le choix des images spéciales et des sonorités rythmiques qui symbolisent ses sentiments. Les principaux représentants de l’école symboliste sont : Mallarmé, Paul Verlaine, Baudlaire, Rimbaud. Théâtre du XIX siècle Alexandre Dumas, Victor Hugo, Alfred de Vigny, Frédéric Soulié et quelques autres, inaugurent un genre nouveau : le drame, libéré des conventions classiques, mêlant la comédie avec la tragédie

1 VEIL Simone (1927 - ) 1) Le témoin : Simone VEIL est née Simone Jacob le 13 juillet 1927 à Nice. Elle est issue d’une famille bourgeoise juive mais laïque. Elle obtient le baccalauréat au lycée de filles à Nice à la veille de son arrestation. Son père André Jacob est architecte et ancien combattant et sa mère Yvonne Steinmetz a fait des études de chimie qu’elle a abandonné à la demande de son mari pour se consacrer à la vie familiale ; elle enseignait dans une école primaire au début

phénoménologistes allemands et de Heidegger (1889) ; enfin l’absurde du Tchèque Franz Kafka, le monologue intérieur de l’Irlandais James Joyce marquent profondément la pensée, le théâtre et le roman français. L’art absrait doit beaucoup à Kandinsky, au Suisse Paul Klee, aux « mobiles » de l’Américain Calder ; en musique, les influences les plus frappantes sont celles d’Igor Stravinsky et de compositeurs germaniques comme Schoenberg, Alban Berg ou Hindemith. Un fait notable est aussi le goût des Occidentaux

brasseries, où la philosophie existentialiste a coexisté avec le jazz américain, dans les caves de la rue de Rennes, que fréquentait notamment Boris Vian. Le quartier est maintenant moins prestigieux sur le plan intellectuel qu'à la grande époque de Jean-Paul Sartre et de Simone de Beauvoir, de la chanteuse emblématique Juliette Gréco ou des cinéastes tels que Jean-Luc Godard et François Truffaut mais aussi des poètes comme Jacques Prévert et des artistes Giacometti. Cependant les artistes y flânent toujours