Lvmh Structure Organisationnelle

états financiers selon les normes de ce pays. Plusieurs entreprises sont tenues de produire des états financiers selon deux référentiels comptables complètement différents : Résultat Millions d’euros ALCATEL ALSTROM AVENTIS DANONE France Telecom LVMH TOTALFINA Vivendi Universal French GAAP -4693 -139 1505 132 -8280 10 7658 -13597 US GAAP -4937 -296 738 205 -19278 -1016 5271 -1172 Capitaux propres French GAAP 9630 1753 12021 5947 21087 6901 33932 36748 US GAAP 20788 -159 17786 5554 11411 4075 71260

c’est ce que l’on appelle le pouvoir de marché. Ce pouvoir de marché dépend de la structure du marché et des comportements d’entreprise. C’est le modèle SCP (Structure – Comportement – Performances). La structure du marché, on vise sa plus ou moins grande concentration (le nombre d’acteurs par exemple), la différenciation plus ou moins grande des produits, l’existence de barrières à l’entrée du marché…La structure du marché détermine les comportements des opérateurs. Le comportement des opérateurs

connaissances pour contribuer à apporter cet éclairage. Les auteuRs Le professeur Patrick Georges est neurochirurgien, il se passionne pour l’amélioration du management et de l’organisation des entreprises en développant le concept d’intelligence organisationnelle. Une partie importante de son temps est consacrée à la neurochirurgie, en particulier aux opérations des maladies du cerveau chez les enfants. L’autre partie est destinée à la formation et au conseil visant l’amélioration de la gestion de l’entreprise

valeur du numérique. Tout un code de savoirs et de savoir-faire doit se développer. On entre ici dans une nouvelle dynamique de la cognition sociale (qui est la capacité pour un groupe de se remémorer, de penser, de raisonner et de construire une structure de savoirs collectifs). Etre connecté au flux ou être en dehors de celui-ci nous oblige à certains types de comportements dont la technologie est le facteur de différenciation. La personne elle-même change de statut : elle devient un interacteur

consolidé Objectif : le bilan financier 100 1 Bilan-liquidité, bilan fonctionnel et bilan « pool de fonds » 2 La construction du bilan financier fonctionnel 101 108 116 118 3 Fonds de roulement fonctionnel et ratios de structure 4 Présentation du bilan « pool de fonds » Le compte de résultat et les autres documents Section 1 47 120 Analyse financière du compte de résultat 120 121 130 133 136 136 138 139 1 Les opérations d’exploitation

Banque : elle est mon univers, mon refuge, mon objectif, mon moteur. La confiance plac宓 par mes directeurs hi本archiques n'a jamais 俸�prise en d復aut : je crois 社re, pour le bienfait de ces structures, un �社re bancaire � Ma disponibilit�est totale (en 2003, j'ai effectu�26 missions �l'俸ranger) et je recherche une structure comme la v進re, capable d'envoyer aux quatre coins du monde un collaborateur pugnace et �d卜i�� J'esp半e ne pas vous avoir importun�par mon style, mais je crois 社re sinc半ement un collaborateur

économique qui s’est développée depuis l’été 2007 s’est déroulée en trois temps : elle a successivement atteint les marchés, les banques et l’économie réelle. On est en effet passé d’un problème de marché (les subprime et leur diffusion via les produits structurés) à une crise financière (le marché des refinancements à court terme) puis à une crise bancaire, laquelle a eu, à son tour, des répercussions macroéconomiques. 1| LE DÉCLENCHEMENT DE LA CRISE 1|1 La sous-évaluation du risque Dans un environnement

opportunités juridiques de la distribution 28 2 LES ENTREPRISES DE LA DISTRIBUTION Par Guy Basset et André Fady 35 Section 1 Les entreprises de distribution selon les méthodes de vente 36 Section 2 Les entreprises de distribution selon les structures de fonctionnement 49 50672_ManDist_pVaVIII Page VI Jeudi, 7. septembre 2006 10:29 10 VI 3 MANAGEMENT DE LA DISTRIBUTION LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR ET LE POINT DE VENTE Par André Fady et Sophie Rieunier 60 Section 1 Les motivations

hypothèses limitatives qui caractérisent les marchés financiers parfaits1, la structure financière des entreprises n’aurait aucun effet sur leurs décisions de produire ou d’investir, et donc sur leurs valeurs. Mais, ce théorème de neutralité de la structure financière a suscité de nombreuses critiques en raison, notamment, des décalages entre ses implications théoriques et l’importance accordée en pratique au choix d’une structure financière adéquate pour l’entreprise. Les théories qui ont suivi ont

7 8 15 18 22 28 Section 1 Section 2 Section 3 Section 4 Section 5 2 LES ENTREPRISES DE LA DISTRIBUTION Par Guy Basset et André Fady Les entreprises de distribution selon les méthodes de vente Les entreprises de distribution selon les structures de fonctionnement 35 36 49 Section 1 Section 2 VI MANAGEMENT DE LA DISTRIBUTION 3 LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR ET LE POINT DE VENTE Par André Fady et Sophie Rieunier Les motivations à la fréquentation du magasin Le choix d’un