Luzerne cultivée

être relativisé. La mort reste très présente dans la réalité quotidienne. La mortalité des adolescents est également importante. On voit au 18e siècle se diffuser des livres particuliers : les ars moriendi, arts de mourir. La population est plus cultivée mais ne lit pas forcément Voltaire et Diderot. Les gens doivent apprendre à s’accommoder de ce qu’ils vivent. Ils s’accoutument à la mort des enfants : les récits de ces morts donnent l’impression d’une indifférence des parents ; mais la mort fait

l’Evapotranspiration de référence (Eto Penman Montheith). Tableau 4: Besoins en eau (1) des cultures dans les Doukkala Cultures Besoin annuel en eau (m3/ ha) Mois de pointe Besoin au mois de pointe (mm) Blés 2 843 Mars/Avril 102.5 Betterave 6 280 Avril/Mai 122 Luzerne 13 440 Juill/Août 185 Bersim 3500 Sept/Oct 100 Maïs 5 440 Juin/Juill 168 Maraîch. d’hiver 3 004 Février/Mars 68 Source : ORMVAD Figure 10: Eto et Pluie efficace dans les Doukkala 180 160 140 120 100 80 60 40 20 0 sept oct nov déc janv févr mars

se situe dans le Nord de l’Aube, en Champagne crayeuse, région caractérisée par un paysage de grandes plaines céréalières. L’assolement classique de cette région agricole est le suivant : colza, blé, orge de printemps, betterave, pomme de terre, luzerne. Le parcellaire est vaste, ce qui contribue à homogénéiser ce paysage de plaine. Les surfaces non directement productives (ou éléments fixes du paysage), telles que les haies et les boisements, sont rares. On observe quelques bois de Pins noirs et

les feuilles et les fleurs des plantes fourragères naturelles ou cultivées. Lorsque ces plantes sont récoltées après la floraison, ils comportent également une certaine proportion de graines ou de grains (ensilage de maïs, ensilage de sorgho, …). Les plantes fourragères utilisées pour l’alimentation des bovins et des ovins sont nombreuses : l’herbe (qu’elle soit issue de prairies naturelles ou cultivées), les légumineuses (luzerne, trèfles, …), les céréales utilisées en plante entière (maïs, sorgho

région présente tous les aspects du paysage saharien avec leurs contrastes frappants. La rivière coule Ouest-Est. Ses rives cultivées forment un ruban vert tacheté de ksour gris et se déroulant dans une vallée aride et pierreuse, dépourvue de toute végétation. Et cependant, le regard se repose agréablement sur ce cordon de verdure formé par des champs de maïs et de luzerne. Dans les jardins très proches des ksour il y a quelques arbres grêles. À l'arrivée du Sultan, de nombreux groupes de femmes

l'exploitation) avec acharnement les parcelles mises en vente par l'aristocratie et la bourgeoisie. L’augmentation des surfaces cultivées jusqu'en 1870 : déboisements souvent excessifs, assèchement des marais, polders (Flandres, Vendée, Camargue, Dombes, Sologne, Brenne) et landes (Bretagne, Gascogne), réduction des jachères, par l'engrais et les cultures nouvelles (maïs, pomme de terre, luzerne, trèfle, Betteraves sucrières). François de Neufchâteau estime la jachère à 6.753.000 hectares en 1840 et 3.700.000

au sommet des tiges (fleurs et fruits secs) LE CHAMP Proposez au moins deux explications possibles à cette forte diminution de la biodiversité de la flore messicole ? L’utilisation des pesticides comme les herbicides qui éliminent les plantes cultivées ; l’utilisation massive d’engrais qui modifient la composition du sol ; l’uniformisation des cultures ; la disparition des insectes pollinisateurs LA HAIE Le prunellier PRUNELLIER Fleurs ; fruits ; branches Fauvette à tête noire Bruant

conditionnement, d’étiquetage et de stockage. Actuellement, 15 règlements techniques, qui précisent les modalités de production, du contrôle, du conditionnement et de la certification, sont homologués. Ils concernent les principales espèces végétales cultivées au Maroc.(Céréales d’automne, céréales de printemps, légumineuses alimentaires et fourragères, le tournesol hybride, les cultures oléagineuses, le coton, la betterave industrielle et fourragère, les semences standard de légumes, la pomme de terre

avec trois sous systèmes : (1) pastoral (pâturage en forêts et en terrain jachère), (2) cultures fourragères irriguées et (3) grandes cultures céréalières. A El Jadida, on trouve différents sous systèmes (1) cultures fourragères irriguées (Bersim, Luzerne), (2) non irriguées (orge, avoine et vesce avoine), (3) cultures céréalières (blé tendre, blé dur, orge), (4) culture industrielle (betterave à sucre) et (5) cultures maraîchères. Celles- ci sont intensives sur la côte (serres, tunnels) et plus ou

nombre d'innovations apparaissent sous l'influence des Hollandais et des Anglais et se répandent dans la seconde moitié du XVIIIe siècle dans certaines parties de l'Europe : notamment l'introduction des cultures fourragères (trèfle, sainfoin, luzerne) dans le cycle de la production agricole, qui permet la suppression de la jachère et le développement de l'élevage. D'autre part, par le biais de la sélection des races, est améliorée la qualité du bétail. Enfin, la culture de la pomme de terre