Luigi Cherubini

Frédéric Chopin ou Franz Lisztau piano. * - En France Au cours du XIXe siècle, le romantisme gagne l’opéra et c’est Paris qui en est le foyer. La plupart des opéras romantiques sont composés par des compositeurs vivant en France, tels que Luigi Cherubini ou Daniel-François-Esprit Auber. L’apogée du style est marqué par les œuvres de Giacomo Meyerbeer. Les Troyens d'Hector Berlioz est d'abord ignoré, tandis que Faust de Charles Gounod est l’un des opéras français les plus populaires du milieu du

l'encaustique sur des panneaux de bois. Les figures, placées de face, sont notamment dotées de grands yeux au regard fixe. Le portrait a été surnommé Zenobia en raison de la ressemblance des traits avec ceux de la fille (Zenobia) du compositeur italien Luigi Cherubini (1760-1842). Portrait de femme, dite Zenobia, v. 130-161. Musée archéologique, Florence. Encyclopédie Encarta Scala/Art Resource, NY Durant la période romaine, l’Égypte connaît une paix relative ; sa frontière méridionale, à Assouan, n’est

prêter à sourire : en le touchant de sa baguette, elle contraint à l’immobilité le malheureux qui allait annoncer à Jason la mort affreuse du roi et de Créuse. Elle s’envole pour finir sur un char traîné par deux dragons, et Jason se tue. En 1797, Luigi Cherubini compose une Médée, poème dramatique qui ne connut pas, à l’époque, un grand succès, mais qui fit l’objet, en 1985-86, d’une reprise spectaculaire à l’Opéra de Paris : la sauvagerie de Médée et l’opposition entre deux cultures y étaient accentuées

(Direction des Flux Documentaires) Soutenu par : Thi NGUYEN En : Octobre 2009 Sous la direction de : M. Philippe ACCARD Ce mémoire a été réalisé dans le cadre de l'apprentissage au sein de : GENERALI France (2-8 Rue Luigi Cherubini, 93 200 Saint Denis) D’octobre 2008 à octobre 2009 Maître d'apprentissage : M. Franck MARION Charte anti-plagiat Je soussigné, Thi NGUYEN, étudiante à l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, Département

d’instrumentistes pour la fosse de l’Opéra, d’autre part, pourvoyeur des musiques de l’armée. En effet, le Conservatoire naît, en fait, de la fusion de l’Institut national de musique et de l’École Royale de Chant. Ses premiers directeurs (Bernard Sarette, Luigi Cherubini, Daniel-Esprit-François de Saint-Auber…) contribueront à maintenir et développer, malgré les différents changements de régimes (l’Empire, la Restauration), une excellence qui trouve sa consécration dès 1803 avec la création du Prix de Rome. Néanmoins