Louise Weiss

trentaine de poèmes. Au moment de la chute de Fouquet, La Fontaine reste son plus fidèle défenseur. Il écrit à cette occasion «l'ode au roi» et «Élégie aux nymphes de Vaux». Cette fidélité à Fouquet lui valut rapidement la haine de Colbert, puis celle de Louis XIV lui-même. Mais il peut compter sur ses amis Molière, Boileau et Racine et sur la Duchesse de Bouillon et de la Duchesse d'Orléans. -1664-1682 : Publication de cinq livres de fables. -1684 : Entre à l’Académie et prend la place de Colbert.

contrôlent plus que la Guyenne, Bayonne, Brest, Calais et Cherbourg. [pic] La France en 1435 Le redressement est provisoire. La folie de Charles VI plonge le pays dans la guerre civile entre Philippe Le Hardi duc de Bourgogne, oncle du roi, et Louis d'Orléans, frère du roi. Ce dernier prend le contrôle de l'état et s'allie avec des seigneurs du Sud Ouest hostiles au roi d'Angleterre. L'accent de ces méridoniaux va donner le nom des partisans du duc d'Orléans: les Armagnacs. Le duc de Bourgogne

 La domination du pouvoir politique [modifier] L’influence des jésuites sur le pouvoir politique et sur Louis XIV est soulignée par les actions du père de La Chaise, confesseur de Louis XIV. Celui-ci est présenté au chapitre VIII comme le responsable de la persécution des protestants, mais également au chapitre IX comme un des responsables de l’incarcération de l’Ingénu à la Bastille, suite à la réception d’une lettre par un de ses espions, lui aussi jésuite et présenté au chapitre VIII, qui

Maurice)(1773), puis il devint célèbre avec ses trois premiers volumes de ses Études de la nature (1784). Nommé intendant du Jardin des Plantes, il en écrivit le quatrième et dernier volume, Paul et Virginie (1788), qui consacra sa gloire littéraire. En 1792, Louis XVI le nomma intendant du Jardin des Plantes, ensuite nommé professeur à l'École normale sous la Révolution, élu membre de l'Institut en 1795, de l'accadémie françaide en 1803, il fut comblé d'honneurs par Napoléon. Il meurt à Eragny-sur-Oise le 21

pour décrire l’évolution des styles (voir style Louis XIV, etc.) alors qu’à l’époque, l’Allemagne est divisée en une myriade de micro-États, le Kleinstaaterei. Il faut attendre une génération et 1878 pour que le « style baroque » fasse son entrée dans le Dictionnaire de L’Académie française et que la définition perde un peu de son caractère dépréciatif[6]. Il est vrai que l’impératrice Eugénie a remis au goût du jour les mignardises et le style Louis XV et qu’est né, ce que nous appelons le néobaroque[7]

Anne d’Autriche, la mère adulée, Marie Mancini, le premier amour, Marie-Thérèse, la reine effacée, Louise de la Vallière, la maîtresse dévouée, Athénaïs de Montespan, la favorite resplendissante, la duchesse de Fontanges, la maîtresse oubliée, Mme de Maintenon, la maîtresse épousée, la princesse Palatine, la belle-sœur amoureuse, Adélaïde, la petite-fille qui égaya sa vieillesse, … Louis XIV a aimé chacune d’elles, et elles l’aimèrent en retour, sans aucun doute. Amour, passion, rancunes, simplicité

Couronnement de Charlemagne 987 : Avènement d’Hugues Capet XIIIème siècle après J.C : Siècle de Louis IX (St Louis ; le temps des cathédrales) 1453 : Chute de Constantinople Milieu du XVème siècle après J.C : La Bible de Gutenberg 1492 : Prise de Grenade et Christophe Colomb en Amérique XVIème siècle après J.C : Réformes protestantes (Luther, Calvin) 3 Quatrième : 1661-1715 : Règne personnel de Louis XIV (Versailles) Milieu du XVIIIème siècle : L’Encyclopédie Deuxième moitié du XVIIIème siècle :

une volonté de rupture avec les modèles du passé : les libertins affirment ainsi leur volonté de penser par eux-mêmes et font de la recherche du bonheur sur cette terre le but ultime de l'existence humaine. Pourtant, à partir de 1661, le règne de Louis XIV marque le début d'une nouvelle ère politique qui coïncide avec un changement profond des valeurs : rejetant la vision baroque du monde, le classicisme se positionne comme un mouvement symétriquement inverse. Pour les classiques, en effet, le monde

nouveau provoqués et plus particulièrement par le cinquième acte. Les dévots étaient scandalisés. . Louis XIV, qui, dit-on, n'avait pas désapprouvé la comédie, laissa triompher les adversaires de Molière car il pense que cette pièce une menace sérieuse, car il défend des théories subversives qui remettent en question la validité d'une société et d'une monarchie dont l'axe principal est la religion. Pour Louis XIV, il représente De plus, ce courant de pensée se répand parmi la noblesse, que Dom Juan symbolise

délimitent le Siècle des lumières sont la mort de Louis XIV, en 1715, et le coup d'état perpétré par Napoléon Bonaparte, le 18 Brumaire an VIII (9 novembre 1799), annonciateur de l'empire. Entre ces deux extrêmes, le siècle se décompose en plusieurs temps: d'abord la Régence (1715 - 1723), puis les règnes de Louis XVLouis XV (1723 - 1774) et de Louis XVI (1774 - 1791), enfin la Révolution française (1789 - 1799). Dans le domaine des arts, Louis XIV vieillissant voulait "de l'enfance répandue en