Louis-Hippolyte La Fontaine

ancien membre des troupes gouvernementales volontaires du Haut?Canada, sir John A. Macdonald. Gouvernement responsable En 1840, le Haut?Canada et le Bas?Canada sont réunis pour former la Province du Canada. Des réformateurs comme sir Louis-Hippolyte La Fontaine et Robert Baldwin, de même que Joseph Howe en Nouvelle-Écosse, collaborent avec les gouverneurs britanniques à l’établissement d’un gouvernement responsable. La première colonie de l’Amérique du Nord britannique à se doter d’un gouvernement

gelées, Ni la mer a tant de poissons, Ni la Beauce tant de moissons, Ni la Bretagne tant d'arènes, Ni l'Auvergne tant de fontaines, Ni la nuit tant de clairs flambeaux, Ni les forêts tant de rameaux, Que je porte au coeur, ma maîtresse, Pour vous de peine et de tristesse Ronsard, 1556 II) Le Romantisme : auteurs et poèmes Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine dit Alphonse de Lamartine, né à Mâcon le 21 octobre 1790 et mort à Paris le 28 février 1869, est un poète, romancier

permettent d’ouvrir l’étude. • Un autre mouvement littéraire et culturel : Le romantisme : – Victor Hugo, Les Chansons des rues et des bois (1865), p. 35 – Victor Hugo, Les Misérables (1862), p. 58 Le nouveau roman et le roman du xxe siècle : – Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), p. 44 – Albert Camus, L’Étranger (1942), p. 62 – Nathalie Sarraute, Planétarium (1959), p. 72 – Alain Robbe-Grillet, Les Gommes (1953), p. 88 L’hyperréalisme : – Ron Mueck, Big Man (2000), p

Perspectives permettent d’ouvrir l’étude. • Un autre mouvement littéraire et culturel : Le romantisme : – Victor Hugo, Les Chansons des rues et des bois (1865), p. 35 – Victor Hugo, Les Misérables (1862), p. 58 Le nouveau roman et le roman du xxe siècle : – Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), p. 44 – Albert Camus, L’Étranger (1942), p. 62 – Nathalie Sarraute, Planétarium (1959), p. 72 – Alain Robbe-Grillet, Les Gommes (1953), p. 88 L’hyperréalisme : – Ron Mueck, Big Man (2000), p. 89 •

1643 Mort du père de Racine, le 6 février. Racine est alors recueilli par sa grand-mère Marie Desmoulins, dont la fille Agnès (née en 1626) devait devenir abbesse de Port-Royal sous le nom de « Mère Agnès de Sainte-Thècle ». 1643 Mort de Louis XIII, Anne d’Autriche est régente. 1644-1645 Racine est recueilli à Port-Royal sur les instances de la Mère Agnès. 1648-1653 Hégémonie française en Europe (traité de Westphalie, 1648). La Fronde en France, la Révolution en Angleterre (Cromwell

subvention de fonctionnement 300,00 subvention de fonctionnement 649,20 subvention de fonctionnement 1 500,00 subvention de fonctionnement 500,00 subvention de fonctionnement 900,00 subvention de fonctionnement Domaine de l'Essor 2 Chemin de la Fontaine Nohan sur Semoy complexe agri. du Mont bernard route de Suippes 2 rue Simon Maison des Associations 63 Avenue 11 novembre 2 place du Pasteur Maison des agriculteurs 2 rue Léon Patoux Salle de musique 15 avenue Jean Mermoz 30 rue Alsace Lorraine 107

21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p.23) 7.L’essor du théâtre. Corneille. (p.29) 8.La préciosité. Voiture. Mlle de Scudéry. (p.34) 9.Molière. La comédie « à l’espagnole ». (p.36) 10.L’appogée du classicisme. Boileau. Racine. La Fontaine. (p.41) 11.Le roman et la nouvelle dans la 2e moitié du XVIIème siècle. Mme de la Fayette. (p.47) 12.Lettres et mémoires : Mme de Sévigné. Cardinal de Retz. Saint-Simon. (p.49) 13.La Rochefoucauld. Vers la fin du siècle. La Bruyère. Fénelon. (p

XVIIIe siècles. Corpus de textes Texte A : La Fontaine, « Les obsèques de la lionne », Fables, livre VIII, 14 Texte B : La Bruyère, Les Caractères, « De la cour » (19, 5) Texte A   La Fontaine, « Les obsèques de la lionne », Fables, livre VIII, 14 Jean de La Fontaine, auteur des célèbres Fables (publiées de 1668 à 1693) qui lui valurent un immense succès, fut un protégé du surintendant Fouquet et resta fidèle à son mécène jusqu’à sa condamnation par Louis XIV. Homme sincère, fidèle en amitié, hostile

Et·les·cieux·ra·yo·nnaient·sous·l'é·char·pe·d'I·sis → « e » prononcé devant une consonne (« échar·pe d'Isis ») ; « -ent » ne signale pas un e caduc et le verbe n'est pas élidable (« rayonnaient » = imparfait, 3e personne du pluriel). (Gérard de Nerval, À Louise d'Or, reine — ou sa variante : Horus —) William Hogarth, Le Poète en détresse. Enfin, le « e » à l'intérieur d'un mot est parfois élidé entre une voyelle et une consonne (syncope) : par exemple, il y a syncope dans « il avouera » (→ a·vou·ra)

5) sépare l’espace maîtrisé par l’art des espaces qu’on abandonne à la nature désordonnée, sauvage, où se jettent les chasseurs, où se cachent les voleurs. Grâce aux miracles de l’art, les forêts sont transformées en « bois », les sources en « fontaines », les rivières en « canaux » (v. 10). Cette maîtrise de l’espace est aussi maîtrise du temps. Dans ces jardins bien clos, il y a « toujours » (v. 6) des fleurs et des ombrages verts et il faut imaginer un « démon » qui écarte les hivers (v. 7).