Louis-Ferdinand Céline

donne la co-présence du locuteur et de l'auditeur pour remédier à une ambiguïté de construction, pour s'assurer, du regard, que l'auditeur a bien compris ce qu' « on veut dire ». De ce fait, la langue orale a une syntaxe simplifiée. Son usage permet à Céline d'accroître le rôle du rythme. On peut remarquer en particulier : - la répétition de ça qui rend la première phrase du livre significative ; - la réduction de la négation verbale à son second terme, « pas » ; - la suppression du pronom dans « Faut

roi thaumaturges” ; “la société féodal”) → relate son exp. lors des combats de la GM 2 ; participation GM 1 & 2- ne pas lire “guerre” de Louis Ferdinand Céline → sortie récemment ; roman autobiographique ; raconte la vision d’un blessé de la Grande Guerre en 1914 à travers le soldat Déstouches, un personnage fictif, qui transcrit les souvenirs de Céline.

L’évolution de la poésie française au XIXe siècle. 24 Le surréalisme, ses représentants et ses traits caractéristiques. 25 La conception proustienne du temps, de la mémoire et de l’art. 26 L’originalité de l’oeuvre d’André Gide. 27 L’oeuvre de Louis-Ferdinand Céline et son originalité. 28 Le roman-fleuve, sa typologie et ses représentants. 29 Le roman catholique en France à l’époque de l’entre-deux-guerres. 30 Divers types de romans de la grandeur humaine - Montherlant, Malraux et Saint-Exupéry.

vue différents sur la vision de l’homme et du monde: N° I : extrait de l’Education sentimentale (1869) de Gustave Flaubert N°2 : extrait du Chien jaune (1931) de George Simenon. N° 3 : extrait du Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Céline. N°4 : extrait de Désert (1980) de Jean-Marie Le Clézio. (ce texte a été étudié en lecture analytique) Lecture complémentaire : La condition humaine (1932) d’André Malraux.

moi, je les trouve inintéressants, et je pense que ces personnages provoque plus la pitié qu'autre chose, ils ne montrent que leurs faiblesses et paraissent souvent pathétiques, contrairement aux héros comme Ferdinand Bardamu dans Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline. C'est un personnage qui paraît fort moralement et qui paraît avoir beaucoup d'imagination, il se dit « en progrès » depuis sa réformation de la Première Guerre mondiale. Bon, j'avoue que le plus souvent

[Vincent Van Gogh] Si l'émotion est une ivresse, la passion est une maladie qui résiste à tous les moyens thérapeutiques... c'est un enchantement qui exclut l'amélioration morale.   [Emmanuel Kant] Au commencement était l'émotion.   [Louis-Ferdinand Céline] Entre les croquis et la toile, la couleur fait foi de tout, la couleur crée l'émotion et laisse jaillir l'étincelle de la création.   [Normand Reid] Une caricature est un genre littéraire de dessin humoristique qui charge certains traits

saviez-vous ? * Les Juifs troglodytes étaient une population juive libyenne vivant dans des habitations excavées dans la roche au sein du djebel Nefoussa. * Scènes de la vie future (1930), de Georges Duhamel, a tout à la fois inspiré Louis-Ferdinand Céline pour l’écriture de quelques scènes du Voyage au bout de la nuit (1932) et Hergé pour sa documentation de Tintin en Amérique (1932). * Un abjad est un alphabet ne notant que des consonnes (ou notant principalement les consonnes), comme

langue dans le temps) et la synchronie (étude de la langue à un moment donné de temps) .D’ailleurs, certains linguistes structuralistes considèrent leur pratique comme une science positive dotée de lois générales, c’était le cas de Meillet l’élève de Ferdinand de Saussure qui a écrit : une linguistique comparée épurée ,de son côté Georges Dumézil ;l’élève de Meillet (1898-1986) va étendre les méthodes de linguistique comparée aux delà de la linguistique, aux mythes et aux institutions *2 Dumézil

Roman publié en 1932, le Voyage au bout de la nuit est un réquisitoire social véhément qui fait la part belle à l’autobiographie. Le héros et narrateur, Ferdinand Bardamu raconte sa vie qui ressemble fort à celle de l’auteur Céline (Louis, Ferdinand, Auguste Destouches, 1894-1961). Le passage étudié correspond au séjour de Ferdinand à Detroit et à son embauche aux usines Ford. […] Et j’ai vu en effet des grands bâtiments trapus et vitrés, des sortes de cages à mouches sans fin, dans lesquelles

étudierons un extrait de Germinal de Zola, publié en 1885. Présent également, un extrait de La princesse de Clèves, de Madame de Lafayette qui a été publié en 1678. Pour finir, nous allons analyser un extrait de Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Céline, publié en 1932. Tous ces extraits ont un point commun : ils évoquent tous des héros particuliers, qui peuvent incarner différentes conception de l’homme et évoluer au cours du roman. On remarque que les romans cités ici ont été écrits à