Louis-Ferdinand Céline

plein dans les fesses. Toute la petite tribu, regroupée, silencieuse, de l'autre côté de l'avenue Faidherbe, sous le magnolier, nous regarda finir notre apéritif. On aurait dit qu'ils essayaient de comprendre ce qui venait de leur arriver. Louis-Ferdinand CELINE, Voyage au bout de la nuit (1932) 1. dessalés : sans aucun complexe. 2. le collègue au « corocoro» : le personnage souffre d'une maladie de peau, à laquelle il donne le nom local de « Corocoro », qui l'oblige à se gratter tout le temps. 3

en relief l’origine et la filiation du terme. http://1.static.e-corpus.org/download/notice_file/849583/UliveSchnellThese.pdf John Langshaw Austin « … à quoi ça sert, les mots, quand on est fixé ? A s’engueuler et puis c’est tout. » Louis-Ferdinand CELINE, Voyage au bout de la nuit, p. 296. La pensée d’Austin s’articule autour d’un nouveau modèle mettant en relation le langage et l’action. Cette relation austinienne entre le langage et l’action prend le nom de « verbes performatifs ». Son

s'est noyé dans son s_q1g qui se fige... Ton souvenir en moi lu'it comme un ostensoir! « Spleen et idéal », XLVll. 15 voici deux textes qui évoquent un coucher de soleil. chateaubriand, dansle premier,.décrit un crepuscule en Floride; Loub-Ferdinand Cétiru,' d;; i; second, décrit la tombée de la nuit en Afrique. Le soleil tomba : un rayon grissant à travers re dôme d'une futaieTT scintillait comme une escarbouêre 111 enchâssée dans re reuirrage'sà;-' Ë, ?l9l l" gazons des colonnes croissantes

plus rien avaler !...Merde ! Ca passait pas …Merde, que je me suis dit, je suis malade…J’avais le mal de mer…Je sors à nouveau….Tout ondulait dans la rue…Le trottoir….Les becs de gaz…Les boutiques…Et moi sûrement que j’allais de travers… Louis-Ferdinand Céline, Mort à crédit (1936).

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Voyage au bout de la nuit’’ (1932) roman de Louis-Ferdinand CÉLINE (500 pages) pour lequel on trouve un résumé des notes (page 3) puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 34) l’intérêt littéraire (page 41) l’intérêt documentaire (page 54) l’intérêt psychologique

contre les bourgeois. 2. Germinale : de Zola la misère des ouvriers exploités par les patrons avides d’argent. * Au XXème siècle : Sartre a soutenu les mouvements de libération et de contestation comme la guerre d’Algérie. * Louis Ferdinand Céline a écrit Voyage au bout de la nuit, un roman inspiré par les horreurs de la 1ére guerre mondiale. * Aragon, Éluard et beaucoup d’autres écrivains se sont attachés à décrire les souffrances de leurs compatriotes engagés dans la Résistance

physique et morale. Cependant il est tout de même considéré comme le héros du roman, puisque c’est lui qui agit et par conséquent fait avancer l’histoire. On retrouve un anti héros, par exemple, dans le roman de Louis-Ferdinand Céline, voyage au bout de la nuit, le héros du roman, qui est Ferdinand Bardamu, est un personnage lâche mais surtout très cynique. La lâcheté est le contraire de la qualité que doit posséder un héros digne de ce nom, en effet ce dernier doit souvent faire preuve d’un grand courage

Céline Dossier N°09 réservé aux souscripteurs -------------------------------------------------------------------------------- Voyage au bout de la nuit (intérêt de l'action) pagination du livre de poche Analyse sur Intérêt de l'action Originalité : La parution, en 1932, de ‘’Voyage au bout de la nuit’’, publié par un médecin de banlieue pauvre, qui s’habillait chez les fripiers, fut « le plus saisissant coup de théâtre littéraire de l'entre-deux-guerres », fut considérée comme

allant à leurs affaires ; et il s'en retournait, chaque soir, par le même chemin où il retrouvait encore les mêmes visages qu'il avait vus vieillir. Document 4 : Louis-Ferdinand Céline (1894-1961) Voyage au bout de la nuit (1932) L’auteur raconte son expérience de la Première Guerre Mondiale à travers le personnage de Ferdinand Bardamu « Allez-vous-en tous ! Allez rejoindre vos régiments ! Et vivement ! qu’il gueulait. — Où qu’il est le régiment, mon commandant ? qu’on demandait nous… —

beaucoup de détails sur le milieu dans lequel vit le personnage. Mais certains romanciers vont encore plus loin et nous laisse également en tête une réflexion sur nous-même ou sur la condition de l’homme. C’est le cas par exemple de Louis Ferdinand Céline dans « voyage au bout de la nuit » qui à fait de son roman un roman d’apprentissage. En effet, à travers son personnage Bardamu et les aventures qu’il vit, nous en venons à nous poser des questions sur nous sur l’homme et sa condition. Ses