Louis de Fontanes

fait, nous pouvons considérer qu’il peut avoir des distorsions du témoignage comme des élaborations secondaires, analogues à celles issues des illusions moïques de l'analysant. Ce texte, pourrait se comparer à « ma mère musicienne, est morte… » De Louis Wolson, dans lequel l'auteur du « Schizo et les langues » relate par le détail l'évolution du cancer de sa mère, observée à partir de sa propre position mélancolique. Mais dans « Mars », Fritz a le souci du style. Il ne veut pas seulement témoigner

j’arrête pas de me donner des règles et aussitôt je les oublie. L’année dernière je me suis donné pour règle de plus tripoter les filles que je trouve emmerdeuses. Et pourtant, la même semaine  – le jour même je crois bien— avec cette andouille d’Anne-Louise Shermann, on a passé toute la soirée à se papouiller. Le sexe, c’est vraiment quelque chose que j’arrive pas à comprendre. Je vous jure ça me dépasse. Comme je restais planté là, il m’est venu à l’idée que la môme Jane, je pourrais lui bigophoner

j’arrête pas de me donner des règles et aussitôt je les oublie. L’année dernière je me suis donné pour règle de plus tripoter les filles que je trouve emmerdeuses. Et pourtant, la même semaine – le jour même je crois bien— avec cette andouille d’Anne-Louise Shermann, on a passé toute la soirée à se papouiller. Le sexe, c’est vraiment quelque chose que j’arrive pas à comprendre. Je vous jure ça me dépasse. Comme je restais planté là, il m’est venu à l’idée que la môme Jane, je pourrais lui bigophoner

fabiano_beserra@yahoo.com.br, fbertol@midicom.com.br, fboabaid@terra.com.br, fd.lando@terra.com.br, felipediehl@uol.com.br, fenili@terra.com.br, ffortes@via-rs.net, filatelicajunges@terra.com.br, financeiro@sintrajufe.org.br, flavio@demostenes.adv.br, fontan@brturbo.com.br, gaparticipacoes@brturbo.com.br, giorgia@engevix-sc.com.br, gisela.viademonte@rbs.com.br, giselebercht@terra.com.br, guindani@guindani.com.br, herminio@cgtee.gov.br, homeopharma18@hotmail.com, humbertoruga@unidosnet.com.br, impercon@portweb

passo a causa delle grandi pietre del selciato e c'erano per terra mazzi di fiori che le donne in corsetto rosso offrivano ai viaggiatori. Si sentivano suonare le campane, nitrire i muli, insieme con gli accordi delle chitarre e il mormorio delle fontane, il cui vapore andava a rinfrescare cumuli di frutta disposta a piramide ai piedi di pallide statue sorridenti sotto gli zampilli dell'acqua. E poi, una sera, arrivavano in un villaggio di pescatori, ove le reti scure asciugavano al vento lungo le