Lorenzaccio Musset

Littérature, suite Lorenzaccio 2) l'atmosphère de la scène  Assez curieusement, la scène de la mort du duc est plutôt positive. On a l'impression que Lorenzo se libère par cet acte de sa fameuse tunique de Nessus. Pour le faire percevoir aux spectateurs, Musset le montre sur le bord d'une fenêtre, espace ouvert sur le monde extérieur. Le personnage médite sur sa libération salvatrice, et il trouve des accents lyriques (p173) il retrouve l'espace d'un instant le ton de la poésie Lamartinienne

4 : Au XIXème siècle, le mouvement romantique se développe, plus particulièrement le drame romantique. Il se voit particulièrement au théâtre avec Hugo, avec Hernani ou encore Lorenzaccio par Musset. Le romantisme se caractérise par l’expression des sentiments. Musset est un auteur romantique français, il écrit Lorenzaccio en 1834, une pièce à succès qui caractérise le drame romantique. Lorenzo est présenté dans le premier acte comme une personnage corrompu par la débauche mais dans l’acte IV scène

LES FEMMES DANS LORENZACCIO Les femmes sont peu représentées dans ce drame romantique mais pourtant elles sont à la genèse de l’œuvre et ont contribué à son succès. En effet, Lorenzaccio est à l’origine une œuvre de la maîtresse de George Sand, écrite sans doute entre 1830-1831. Elle ne publie pas son manuscrit mais le donne à Musset. Celui-ci reprend une vingtaine de répliques et étoffe considérablement la trame narrative de George Sand qui faisait du meurtre d’Alexandre une intrigue de palais

Commentaire Composé « Lorenzaccio » est une pièce éponyme de Alfred de Musset qui traite des tribulations du personnage principal à Florence au temps d’Alexandre de Médicis. Dans ce commentaire compose, nous étudierons la scène 6 de l’acte premier qui met en scène la mère de Lorenzo et la tante de ce dernier. D’abord, nous vérins la dramaturgie originale de la scène puis nous étudierons les deux protagonistes et enfin nous verrons comment cette scène constituent les vues différentes que l’on

la règle des trois unités car elle étouffe le génie. Refus de la règle de bienséance : par souci de réalisme, les romantiques veulent montrer sur scène ce qui existe (meurtres, suicides, duels, etc. ; Cf. Chatterton, Ruy Blas, Hernani et Lorenzaccio de Musset). Rejet du drame bourgeois : dans celui-ci, on est fidèle aux décors, aux costumes, etc. pour imiter la réalité. Les romantiques refusent cette illusion de faire vrai au nom de l’imagination, de l’expression du génie. Des héros singuliers

RESUME – LORENZACCIO, Alfred de MUSSET (1834) ACTE I Acte I, scène 1 Une nuit, dans un jardin de Florence, Lorenzo et Giomo accompagnent Alexandre de Médicis. Ils attendent une belle jeune fille que le duc a payée pour aller avec lui au bal de Nasi. Celle-ci se fait attendre, quand son frère - Maffio - la voit traverser le jardin. Inquiété par sa fugue, il la poursuit et tombe nez à nez avec le duc, Giomo et Lorenzo. Il leur demande ce que cela signifie. Il les menace de rapporter les

précise les concepts jusque-là épars qui définissent l'esthétique du drame. Ce texte est un véritable model de drame romantique et c'est lui qui sera à l'origine de toute la production postérieure. Musset est également un grand auteur de drames romantique avec : Chatterton, Ruy Blas, Hernani et Lorenzaccio Le drame romantique en général se veut différent du théâtre classique, en effet Il refuse la règle des trois unités parce que les romantiques veulent se libérer de la forme car selon eux ; elle

DM Littérature Introduction Lorenzaccio, héros éponyme de la pièce de Musset, est un jeune homme noble, efféminé, débauché mais pur d’une certaine manière qui a pour but d’aider les Florentins en les libérant de leur tyran Alexandre de Médicis (également protecteur de Lorenzo). De nombreux metteurs en scène ont fait jouer le rôle de Lorenzo par de femmes depuis la création de la pièce par Sarah Bernhardt en 1896 mais Georges Lavaudant en 1989 et Jean-Pierre Vincent en 2000 ont choisi de faire

pièce. Les didascalies donnent donc un sens au texte et à la pièce que le metteur en scène n’a pas le droit de changer. On pourrait penser que l’auteur ne voulait pas que le metteur en scène déroge à l’idée qu’il avait de sa pièce. Dans Lorenzaccio d’Alfred de Musset, les didascalies sont présentes et décrivent tous les faits et gestes des acteurs “il s’assoit sur un banc” et quelques lignes plus tard “une horloge sonne”. Lors de la représentation de la pièce, ici le metteur en scène n’aura pas le

la règle des trois unités car elle étouffe le génie. Refus de la règle de bienséance : par souci de réalisme, les romantiques veulent montrer sur scène ce qui existe (meurtres, suicides, duels, etc. ; Cf. Chatterton, Ruy Blas, Hernani et Lorenzaccio de Musset). Le mélange des genres, la diversité : les romantiques prétendent qu’on peut écrire une pièce de théâtre en mélangeant les tons, refusant ainsi qu’il n’y ait que du tragique dans une tragédie, que du comique dans une comédie, etc. [Remarque