Lorenzaccio De Musset Conclusion

réussi Alexandre Devaux Élève ingénieur à l’École Centrale Paris © Dunod, Paris, 2010 ISBN 978-2-10-055490-4 « Je n'en dirai rien si j'étais le seul malade, mais puisque nous sommes nombreux à souffrir des mêmes maux… » Alfred de Musset, Lorenzaccio Œuvre au programme de français en prépa scientifique, concours 2009 Table des matières Avant-propos Remerciements Découvrir les classes prépas 1 – Qu’est-ce que la prépa ? 2 – Comment choisir sa prépa ? 3 – Le choix de la filière 4 – Quelle

réussi Alexandre Devaux Élève ingénieur à l’École Centrale Paris © Dunod, Paris, 2010 ISBN 978-2-10-055490-4 « Je n'en dirai rien si j'étais le seul malade, mais puisque nous sommes nombreux à souffrir des mêmes maux… » Alfred de Musset, Lorenzaccio Œuvre au programme de français en prépa scientifique, concours 2009 Table des matières Avant-propos 9 Remerciements 11 Découvrir les classes prépas 1 – Qu’est-ce que la prépa ? 15 2 – Comment choisir sa prépa ?

au répertoire de la Comédie-Française et Jean-Pierre Vıncent en a donné une mise en scène de toute beauté. Tous les espoirs sont donc permis. 22 23 Post-scriptum 1999 «Tous les espoirs sont donc permis», écrivions-nous il y a cinq ans, en conclusion. Ce «foisonnement» que nous décrivions en 1994, annonçant «quand il ne l’amorce pas ici et là» un «retour» au texte, n’a fait que s’amplifier. À l’approche du nouveau millénaire, l’auteur est à la fête. Citons quelques exemples emblématiques:

empoisonneuse ») qui accusent pourtant son caractère de mère (« marraine » ; « nourrice »). La pointe finale (« lunatiques ») porte la marque de l’ironie amère et révèle que « l’idée » du texte procède sans doute de cette dérivation inscrite dans la langue. CONCLUSION Une certaine misogynie est peut-être perceptible dans l’inspiration de cette pièce à la fois séduisante et grinçante, dont les critiques nous apprennent qu’elle était dédicacée à 6 Berthe, une femme de « petite vertu ». Le caractère masochiste

..................................48 - Les intrusions de l’auteur …………………………………………………53 - Quelques erreurs temporelles……………………………………………...55 - Les digressions……………………………………………………………..56 - Les figures de style………………………………………………………....57 Conclusion Bibliographie 3 Introduction La littérature française au cours de son histoire a été caractérisée par divers courants et écoles littéraires qui la marquèrent sur tous les plans et les genres. Ainsi le dix-neuvième siècle a connu le romantisme

“Les influences de la prison” : «Par les causes exposées ci-dessus...» page 615 : “Un jour trop tard” : «David attendait avec une vague inquiétude...» page 621 : “Histoire d'une société commerciale” : «Le plan du grand Cointet...» page 627 : “Conclusion” : «Avec le temps, l'Alsacien...» Chronologie : Elle est linéaire, mais la troisième partie est un grand retour en arrière, le raccordement ne se faisant qu’à la fin. Point de vue : Le point de vue est celui d’un narrateur extérieur, omniscient

auteur, le texte B m’appartient. Puis, je dois réfléchir à un plan. Je dois structurer mon plan. Je dois dégager mon plan. Je dégage la problématique et mets tous les éléments du texte. Dans un plan, il y a une introduction, un développement et une conclusion. 4) L’argumentation. Je dois convaincre celui qui me lit. Je le convaincs à travers la structure du plan. - Un plan bien structuré, - Des idées qui s’enchaînent. Je relis les idées avec des connecteurs. Pour chaque moment, il y a des connecteurs

représentés ne pas dépasser vingt-quatre heures (unité de temps). Les pièces de Victor Hugo, Cromwell (1827), Marion Delorme (1829), Hernani (1830), Lucrèce Borgia (1833) et Ruy Blas (1838), mais aussi celles de Musset, la Nuit vénitienne (1830), les Caprices de Marianne (1833), Fantasio (1834), Lorenzaccio (1834), On ne badine pas avec l'amour (1834), reprennent tous les règles de la dramaturgie romantique en multipliant les personnages et les lieux, mêlant le vers et la prose, le style haut et le style bas

les saletés publiques, il représenterait une figure parisienne blême de souffrances physiques et morales. D’après l’analyse de Claude Duchet, le passage s’articule en trois parties (portrait physique ; son explication par la recherche des causes; conclusion qui relégitime l’entreprise romanesque et reverse sur la Maison Vauquer l’ensemble des significations). Le portrait voit d’abord Poiret réduit au non-humain, car il dévalorise Poiret pour en faire un automate, rouage de la machine sociale, être

la progression : certains sonnets sont moins fondés sur une division en deux blocs que sur une progression constante orientée vers la chute. Le Dormeur du val de Rimbaud ; – la chute : le dernier vers du sonnet doit apparaître comme une brève conclusion, brillamment formulée. Ce sera une image expressive résumant le tableau décrit par le poème, une formule satirique spirituelle, une « pointe », un effet de surprise, une sorte de morale éclairant le sens du texte, etc. C’est ainsi que le formule