Longue-vue

Narrateur et point de vue narratif Le narrateur​ est celui qui raconte l’histoire. Il ne faut pas le confondre avec l’auteur du récit (la personne réelle qui a écrit le texte) ni avec les personnages (le narrateur n’est pas forcément un personnage du récit). Le point de vue​ est un choix que fait le narrateur pour raconter son histoire: il choisit ​ un angle de vue, un jeu de “caméras”. Le point de vue est en relation avec ce qu’il sait des faits et des événements. Il existe ​ - deux types de narrateur:

vitesse d'obturation, le diaphragme, la durée de l'éclair (réglage de puissance du flash). DES ARRIERES PLANS DIFFERENTS Ces deux photos de fleurs ont été prises le même jour dans des conditions d'éclairage identiques, mais l'angle de prise de vue l'effet du flash sur l'exposition générale sont très différents. a la puissance du flash a été réglée de façon à équilibrer la lumière du ciel à l'arrière-plan, ce qui donne une exposition homogène toute l'image. À gauche, le flash a assombri l'arrière-plan

Titres: Kissing the war goodbye. V-J Day in times square. Date de la prise de vue: 14 août 1945. Contexte historique: La guerre avait prit fin. Le Japon venait de se rendre. Edith Shain-enfermera. Uno de ellos, George Mendonsa, visitó hace unos pocos años el Mitsubishi Electric Research Laboratories de Cambridge, donde digitalizaron su rostro y lo sometieron a algoritmos de "rejuvenecimiento". Los técnicos del laboratorio afirman que el resultado es idéntico al joven de la foto. Por otro lado, el

documentaire qui démontre une démarche réaliste avec un point de vue subjectif déterminé en faisant le portrait critique de la ville et qui dénonce entre autres les inégalités sociales ainsi qu'une certaine forme de voyeurisme. Ce film est ce que Jean Vigo appelle un point de vue documenté, c'est-à-dire que la caméra doit être considérée comme un document aussi bien à la prise de vue qu'au montage, auquel est attaché un point de vue étayé pour une fin déterminée qui exige qu'on prenne position

Octobre 2015 - 10h / 13h & 14h / 17h * ( 2 équipes de TD à chaque séance , soient 10 à 12 étudiants ) * Scène à reconstituer : Une personne, (homme ou femme), est assise, seule à la terrasse d’un café. Ce café se trouve sur le port de Nice. En prise de vue subjective, le serveur apporte un verre de vin rouge à son client, et le pose sur la table. Lorsque la main du consommateur prend le verre pour le porter à ses lèvres, on doit percevoir clairement, la couleur rouge du vin, en transparence solaire. Une

de lutte au sein du parking, le promoteur est exclu du parking et nous serions témoins en cas de poursuite judiciaire. N.B : Ce présent règlement intérieur prendra effet selon la loi en rigueur à partir de sa date de publication et de sa prise de vue et approbation par le client(e). La Direction :

comme prônées principalement par Evans, visent à mettre au point un protocole pour conserver le mieux possible les traces : Impersonnalité Impersonnalité : l’impersonnalité est un critère de qualité. Il s’agit de l’impersonnalité de la prise de vue mais aussi de l’impersonnalité du modèle qui, lui aussi, doit être un parfait anonyme Refus des marques traditionnelles de l’art : pas de transfiguration de la réalité, pas d’apport d’élément personnel, refus d’une trop grand maîtrise de la composition

plan * Insert ou très gros plan : permet de souligner un détail qui prend alors une valeur accrue. Plus l’objectif se rapproche plus l’objectivité disparaît au profit de l’émotion et des sentiments. 3) La prise de vue Il y 4 angles de prise de vue * La vue frontale : place les personnages face à nous il devient notre interlocuteur, son regard nous interpelle directement, de même lorsque le personnage est de dos nous nous identifions à lui. * Le personnage est de ¾ : il se livre

pour fixer un souvenir, les photographies provoquent une émotion chez celui qui les regarde, hors quoi de plus subjectif qu’une «émotion » ? Par ailleurs, le fait que chaque photographie ne représente qu’une image figée à l’instant de la prise de vue fausse aussi la fidélité à la réalité. Le cas de la photographie journalistique est plus complexe car la représentation d’un évènement correspond à une face de la réalité, celle qu’à choisi de montrer le reporter, ou celle qu’a choisi de retenir l’agence

scène est appelée une séquence, lorsque toute la scène se déroule sans mouvement de la caméra, on parle de plan séquence. Une séquence est formée d’une succession de plans : chaque plan = une vue d’une scène depuis une position (qui correspond à une caméra). A chaque changement de position (appelée prise de vue), on change de plan. Contexte : Chapitre II L’URSS de Staline et particulièrement la propagande et la collectivisation.