Long terme

posséder des savoirs. Cette approche a un travail certain car elle peut être reliée à des modes d’apprentissage…par les savoirs. Mais aussi, n’oublions pas que les connaissances procédurales sont beaucoup plus facilement stockées dans la mémoire à long terme que les connaissances déclaratives. On notera 2 phénomènes dessus : les connaissances procédurales et les connaissances déclaratives. 2. L’approche par le savoir faire L’on peut dire d’une certaine manière que le savoir-faire consiste à savoir

Maintenant imagine ton acteur avec des cheveux verts. Tu viens de traiter de l'information tout comme l'ordinateur, maintenant tu peux faire un effort de mémorisation pour placer cette image dans ta mémoire de stockage, appelée aussi mémoire à long terme, pour la réutiliser plus tard. | Venons-en aux limites de notre mémoire. Nous sommes, tout comme l'ordinateur, limités par notre mémoire de travail et notre mémoire de stockage. Dans le cas de l'ordinateur, on compte la mémoire en bits d'information

Les lobes temporaux permettent la consolidation de l'information, et l'hippocampe de même que les structures qui y sont reliés, sont essentiels à la consolidation de l'information. À cet égard, le néocortex est impliqué dans l'emmagasinage à long terme de l'information, mais ce ne sont pas les seules structures impliquées dans les processus mnésiques, ou engrammes, notamment inconscients (Janowsky, 1994; Harris, 1995; Papalia & Olds, 1988). La mémorisation implique donc une interaction entre

fois plus de rêves dits prémonitoires que les hommes. Explications possibles Différentes explications sont avancées. La première est que le cerveau enregistre l’événement une microseconde avant et le répertorie dans les souvenirs de la mémoire à long terme . Cela est un dysfonctionnement du cerveau autrement appelé le sentiment de déjà-vu. La deuxième, que certains scientifiques avancent, est que le cerveau serait capable de créer un "scénario". La troisième explication serait la possible existence

-certains auteurs ont remis en cause la distinction radical entre MCT et MLT. Malgré tous ces 2 concepts restent utilisés encore aujourd’hui. Ces nuances s’expliquent par le fait qu’une info puisse être mise en mémoire à long terme alors qu’elle n’est pas dans la mémoire à court terme. Il y a donc un lien direct entre mémoire iconique et MLT. D’autres parle d’une autre mémoire  ressemblante a la MCT: la mémoire de travail (MDT) Selon Craik et Lochart (1972) : il n’existe pas vraiment de différence

cerveau, on voit très clairement que ce geste correspond à une petite tâche de couleurs. Que ce soit frotter le bras ou passer la main dans les cheveux, on a commencé à faire ce geste consciemment en activant une succession de forêts de neurones le long de multiples chemins neuronaux très mobiles et très changeant. Mais au fil des années, on a continué à répéter ce même geste sans plus savoir pourquoi. Les innombrables chemins neuronaux ont alors laissés la place à une voie neuronale plus directe

même façon de traiter l’information. On parle donc d’individualité de chacun mais de processus de catégorisions inné. La représentation est une notion centrale de la psychologie cognitive. Elles sont les contenus de pensée auxquelles réfèrent le terme : comprendre. Ces attributions significatives comme ces inférences font appel à des connaissances. La construction des interprétations vise à établir la cohérence entre les éléments de la situation, les éléments inférés et les informations contenues

mémoires de la personne : - la mémoire du travail qui permet de retenir les informations dans l’immédiat pour les garder à disposition afin de résoudre rapidement les problèmes, d’organiser notre discours, de prendre des décisions ; - la mémoire à long terme qui a pour finalité essentielle de garder l’information longtemps. C’est l’atteinte de cette mémoire qui fait que la personne malade ne sait pas où elle se trouve, ni comment elle est venue, qu’elle perd ses repères jusqu’à ne plus se retrouver

IMMEDIATE : Dans la mémoire immédiate, votre esprit retient des informations pour quelques secondes ou quelques minutes. Une telle mémoire est fragile. LA MEMOIRE A LONG TERME : Elle implique les informations que vous retenez avec un effort parce qu’elles sont personnellement significatives ou importantes pour vous. La mémoire à long terme se subdivise en trois types : 1. Les mémoires épisodiques : Ce sont personnelles sur des expériences vécues à des moments précis. 2. Les mémoires procédurales

activateur dans l’hippocampe et l’amygdale. Son rôle dans la mémoire spatiale et la mémoire à long terme a été caractérisé grâce à des souris âgées, qui présentent une perte de mémoire spatiale ainsi qu’une diminution de la synthèse protéique dans l’hippocampe, nécessaire à l’établissement de la mémoire à long terme. Il a été montré que l’augmentation de CREB dans l’amygdale basolatéral facilite la mémoire à long terme. D’autres études ont montrés que la perte de mémoire est liée à la forme phosphorylée